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sur 9979 notes
Ce livre a, dans ma mémoire, une histoire..... Plus jeune une amie m'avait dit son enthousiasme à sa lecture et je ne sais pourquoi, ce qu'elle me disait à l'époque -de ce "petit" livre en format poche,, je m'en suis fait une idée d'ennui, de langueur et donc jusqu'à ce jour je ne l'avais jamais lu. Alors certes je ne l'ai pas lu mais je l'ai écouté avec beaucoup d'intérêt et dès les premières pages, la voix de Christiane Jehanne m'a emportée sur les chemins du Cher, en Sologne, sur les terres de François Seurel et d'Augustin Meaulnes, terres natales d'Alain Fournier.

Ce roman, un classique de la littérature française et le seul d'Alain Fournier puisqu'il paraît en 1913 et que l'auteur décèdera en 1914 dans les premiers combats de la première guerre mondiale, retrace l'amitié des deux jeunes gens mais également la quête d'Augustin Meaulnes pour retrouver Yvonne de Galais, aperçue pendant un bal costumé dans un lieu mystérieux, inconnu et impossible à retrouver. Mais Augustin est un homme d'amour et d'honneur. Ayant fait une promesse à un jeune bohémien c'est deux recherches qu'il va mener : celle de retrouver Yvonne mais également tenir la promesse faite au bohémien.

C'est un roman charmant qui possède beaucoup de qualités, à mon avis. Il a le charme de ces romans qui décrivent la vie d'une époque,  ses usages et ambiances, avec en particulier l'école de Monsieur Seurel, père du narrateur où exerce également sa mère, Millie. Sans lourdeur mais très habilement l'auteur glisse ce qu'il faut de détails pour imaginer le décor.

L'auteur glisse habilement plusieurs intrigues, des ellipses narratives qui entretiennent le mystère, les interrogations pour finalement se révéler en fin de roman avec ce qu'il faut de coïncidences, de romance mais également de drames pour en faire une construction littéraire parfaitement réussie.

Il y est donc question d'amour mais aussi une belle histoire d'amitié et d'aventures entre deux jeunes hommes, François et Augustin Meaulnes, ce grand Meaulnes qui impressionne tant le narrateur par son côté aventureux, chevaleresque et à la belle âme.

J'ai passé un délicieux moment à les suivre, à découvrir les différents secrets qui entourent ce domaine mystérieux ainsi que ses habitants, à parcourir les chemins avec eux et à imaginer le bal costumé au Pays perdu. J'ai aimé la délicatesse avec laquelle l'auteur décrit que ce soit les scènes du quotidien mais également l'admiration de François pour ce Meaulnes qui va le sortir de sa vie habituelle mais aussi l'attachement de l'auteur aux villes et paysages de son enfance, que ce soit Nançay ou La Chapelle d'Angillon.

Mais pourquoi je ne l'ai pas lu plus tôt ayant cette fausse idée de ce qui s'y trouvait mais  je suis ravie d'avoir enfin passé outre mes aprioris et j'ai trouvé la voix de Christiane Jehanne totalement adaptée au récit et à son ambiance. 

J'ai jeté un coup d'oeil sur la biographie de l'auteur et ai découvert qu'il avait été lui-même amoureux d'une Yvonne déjà fiancée à un autre homme, je pense qu'il s'est peut-être (sûrement) inspirée de cet amour impossible pour créer le personnage d'Yvonne de Galais mais aussi des terres de son enfance dans le Berry.

J'ai beaucoup aimé.
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Je relis parfois ce grand classique de la littérature française dont la lecture m'a tant marquée durant l'adolescence et je ressens toujours ce même trouble.
Aujourd'hui, le Grand Meaulnes entre enfin dans la Pléiade, la prestigieuse collection de Gallimard, et ce n'est que justice pour ce roman mythique.
Qui n'a pas tremblé, rêvé, soupiré en découvrant le destin d'Augustin Meaulnes, ce garçon venu d'ailleurs et qui va tomber amoureux d'Yvonne de Galais rencontrée à une fête costumée au domaine des Sablonnières ? Il n'aura de cesse de retrouver la jeune fille qui, à peine entrevue, s'est évaporée. le narrateur de cette quête amoureuse n'est autre que François, son ami, amoureux éperdu et malheureux de la même femme. Mais le grand Meaulnes va laisser sa jeune épouse à cause d'une promesse faite à son frère, Franz de Galais.
Le Grand Meaulnes est l'unique roman d'Alain Fournier, disparu en septembre 1914 dans la tourmente de la guerre. Ce destin tragique s'inscrit en creux dans l'intrigue romanesque du roman.
Cette histoire au charme puissant mêle roman d'amour et fantastique. L'écriture est subtile et d'une grande poésie.
Beaucoup de romans de cette époque paraissent aujourd'hui désuets mais, comme son auteur demeuré éternellement jeune, le Grand Meaulnes échappe aux ravages du temps et reste un grand roman intemporel qu'il faut avoir lu au moins une fois.

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Le grand Meaulnes d'Alain Fournier m'a fait regretter sa disparition tragique. Son talent aurait sûrement produit une oeuvre récompensée par les honneurs. L'Histoire et la Grande Guerre en auront décidé autrement. Cette promenade à la croisée des chemins de l'adolescence et de l'âge adulte, au rythme d'un temps passé que l'agitation perpétuelle du monde actuel rend enviable, à travers les bois et les prés d'une campagne crue, simple, lumineuse aux parfums oubliés m'a procuré beaucoup d'émotions. Celles de souvenirs enfouis. Les visites à la ferme de mes grands-parents à peine connus, de courses folles dans les blés, des senteurs chaudes de l'été. Celles des amours enfantines et des premiers baisers dans la grange. La nostalgie de l'adolescence tandis que le décompte s'alourdit inexorablement ne m'a pas quitté durant tout le livre. La nostalgie des jours heureux dans un monde qui peut paraître désuet non plus. Hier et avant-hier étaient différents. Aujourd'hui pose question à quelqu'un comme moi né au siècle dernier et dont la mémoire recèle d'images qui bien qu'avantageusement déformées reflètent des valeurs que l'individualisme, l'égoïsme, l'adoration du veau d'or mettent en lambeaux. Je finis par la superbe écriture au vocabulaire précis. Une fluidité qui va à l'essentiel.
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Oeuvre la plus lue dans le monde après le Petit Prince

« À la fin du xixe siècle, par un froid dimanche de novembre, un garçon de quinze ans, François Seurel, qui habite auprès de ses parents instituteurs une longue maison rouge –l'école du village–, attend la venue d'Augustin que sa mère a décidé de mettre ici en pension pour qu'il suive le cours supérieur: l'arrivée du grand Meaulnes à Sainte-Agathe va bouleverser l'enfance finissante de François…

Lorsqu'en 1913 paraît le roman d'AlainFournier, bien des thèmes qu'il met en scène –saltimbanques, fêtes enfantines, domaines mystérieux– appartiennent à la littérature passée, et le lecteur songe à Nerval et à Sylvie. Mais en dépassant le réalisme du xixe siècle pour s'établir, entre aventure et nostalgie, aux frontières du merveilleux, il ouvre à un monde d'une sensibilité toujours frémissante, et qui n'a pas vieilli. »
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Evidemment, il s'agit là d'une re-lecture, car qui n'a pas été amené à découvrir le "Grand Meaulnes" du temps de ses années collège?
A l'époque, je ne me souviens pas avoir été particulièrement marquée, une "lecture obligatoire", ni trop exaltante, ni trop ennuyeuse... Je croyais n'en n'avoir plus guère de souvenirs...
L'ayant croisé par hasard au cours de mes pérégrinations dans mes vieux cartons de jeunesse, je tombe sur ce vieux roman, et décide d'y jeter un oeil (ou deux).
Bien m'en a pris, car j'en ai eu un ressenti tout à fait différent ! Ah, maturité, quand tu nous tient ! D'une part, j'ai pris conscience que j'en avais gardé beaucoup plus de souvenirs que ce que je croyais : au fur et à mesure du récit, différents éléments de l'intrigue me revenait. Ouf, ma mémoire à long terme n'est pas aussi HS que prévu ! ;)
Ensuite, j'ai pris plaisir à re-découvrir l'écriture d'Alain-Fournier, élégante, fluide, romantique, naturelle. Une fois de plus, la guerre nous a privé d'un talent dont nous n'aurons pas la chance de prendre toute la mesure...
Je me suis replongée dans cette atmosphère désuette de début de siècle avec délectation : la vie quotidienne, la vie scolaire, les "hobbies" des petits jeunes , leur "mode vestimentaire"... très instructif ! J'ai respiré un bon bol d'air pur grâce à toutes ces descriptions de la nature en pleine Sologne, l'amour de "son pays" de l'auteur transpire à chaque ligne !
Enfin, je l'avoue, le scenarion lui-même ne m'a pas plus transcendée qu'à l'époque : une histoire d'amour quelque peu rocambolesque, des personnages trop "typiquement littéraires". le héros, le Grand Meaulnes, à la personnalité perturbée à souhait, pur représentant du mouvement du Romantisme, torturé psychologiquement, perpétuellement "en quête", d'un lieu, d'une personne... de lui-même au fond ? Et le narrateur, qui s'exprime à la première personne, l'éternel personnage "faire-valoir", le pendant transparent du "vrai héros", qui vit sa vie par procuration (comme dirait l'autre), mais sans poste de télévision.
Bref, un moment de douce nostalgie, pas désagréable, qui nous fait dire : ah oui, la façon d'écrire a quand même drôlement changé en un siècle !!!
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Beaucoup de babeliotes ayant chroniqué ce livre disent l'avoir lu à l'adolescence, ce qui n'est pas mon cas. C'est un livre qui a eu beaucoup de succès. Il y a quelques années, je me suis fixé l'objectif de lire un certain nombre de livre de littérature classique. A cette suite, j'ai mis « le grand Meaulnes » dans mon pense bête ce qui explique le choix actuel de cette lecture.

En écoutant parler de ce livre pour moi, il était question des premiers amours d'adolescents et d'une fête dans un château de Sologne et je pensais que ce château s'appelait : « le grand Meaulnes ». Entendez, comme les approches superficielles peuvent être déroutantes.

Ce livre, je l'ai téléchargé au format Word. Jusqu'à présent, je n'ai lu que des livres en version courante, c'est-à-dire papier. Il m'a fallu un certain temps pour différencier les modes d'affichages et la façon d'aller retrouver la page où je m'étais arrêté. Ces nouvelles difficultés étant métrisées, je n'étais pas emballé par cette histoire d'écoliers que je trouvais fade, dépourvue de rebondissement, d'intrigue, jusqu'à la troisième partie du livre que j'ai subitement trouvée addictive.

Le narrateur est l'écolier François Seurel, quinze ans, fils de professeur et se destinant lui-même après son bac à lauréat de suivre des études à l'école normale de Borges.

Lors de ses études secondaires un nouvel élève arrive C'est Augustin, le grand Meaulnes. François se lie d'amitié avec lui, mais un jour ou il fallait aller chercher avec un cheval attelé à une voiture les grands parents de François, Meaulnes pris l'initiative, sans rien dire à personne, de le faire, alors qu'il n'était pas le jeune assigné à cette tâche. Il se perd en cours de route pour arriver à un château ou une grande fête était organisée pour les fiançailles de Frantz, un fils de la famille de Galais. Lors de cette fête Augustin vit mademoiselle Yvonne de Galais, jeune fille d'une extrême beauté dont il tomba éperdument amoureux.

La fête finie, il rentra à l'école. Il apprit qu'Yvonne était partie à Paris. Pour la revoir, il partit lui-même à Paris disant à sa mère qu'il y allait pour achever ses études. de Paris, Meaulnes envoi trois lettres à François qui en dehors de ces lettres-là n'a reçu aucun courrier de Meaulnes. Par le courrier François apprend qu'Augustin n'arrive pas à voir Yvonne dans la maison indiquée. Jour après jours, il ne remarque aucun éclairage, mais un jour une jeune femme tout de noir vêtu vient s'assoir sur le même banc que lui. Augustin, ce dit que cette jeune femme pourrait peut-être savoir quelque chose à propos d'Yvonne. En effet celle-ci lui indique qu'Yvonne n'est plus à Paris parce qu'elle est mariée et son frère est parti, personne ne sait où.

François a son oncle Florentin qui tiens un commerce au Vieux-Nançay qui est la même commune que celle du domaine des de Galais. Il organisera une réception champêtre où les jeunes François, Yvonne et d'autres pourront se rencontrer et il est clair que Meaulnes y est le bienvenu. François va l'annoncer à Meaulnes.

En dire plus serait à mon avis mettre à jour l'intrigue.

J'ai remarqué dans ce roman des coïncidences qui relèvent de l'irréel, de l'impensable, du peu probable et j'ai fait le constat que pas mal d'auteurs avaient cette technique d'écriture, sans doute ravive telle l'attention du lecteur par l'extraordinaire.

Augustin recherche l'être aimé qui le fascine mais il me paraît instable, s'engageant sur trop de plans à la fois et à courir plusieurs lièvres ….

Alain Fournier a écrit ce roman s'inspirant de ses propres élans amoureux envers une femme qu'il dénommait Simone.

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Le Grand Meaulnes est un livre qu'on referme avec un poids au creux du ventre. Et des regrets. Regrets que ce soit si court, regrets qu'il n'y en ait pas d'autres, regrets d'une période lointaine parée d'une lumière si particulière. C'est le livre des sentiments exacerbés, des amours déçues. Il y a une poésie, une douceur, une magie omniprésentes, tout autant qu'une cruauté terrible dans la fatalité qui touche les personnages au travers de leur destin et de ce qui ne se concrétisera jamais pour eux, de ce qui reste hors de portée, aussi flou que les rêves.

Cette seconde lecture près de vingt-cinq ans après la première est étonnante parce qu'elle a gardé toute la force de la première fois, toute la portée onirique découverte à l'adolescence. le Grand Meaulnes, c'est Augustin Meaulnes et son exaltation, c'est l'amitié absolue de deux gamins dissemblables réunis par un secret, ce sont les escapades au bord de l'eau, les rives boueuse, les champs odorants, les ruelles d'un village morne qui devient terrain de jeux, les bagarres, les rivalités, les petits commerces disparus, une époque révolue empreinte d'un parfum d'innocence et de simplicité. C'est l'école buissonnière, le bruit des pupitres que l'on referme sur ses trésors, les salles de classe glacées l'hiver, étouffantes l'été. Et tellement plus encore : c'est l'enfance qui s'efface, le difficile passage à l'âge adulte, les premiers émois, les serments qu'on ne peut renier, la folie de la jeunesse, les illusions perdues, l'amour avec Yvonne, l'aventure avec Frantz... Et L'histoire d'une quête vouée à l'échec, de rencontres qui marqueront les personnages à vie.

J'ai tourné les pages avec la même admiration et la même fascination que lorsque j'étais plus jeune. Je me suis immergée dans son atmosphère désuète et romantique avec le même plaisir qu'à quinze ans, l'âge de François Seurel. J'ai plongé dans les mystères du pays perdu et du Domaine des Sablonnières avec une excitation semblable à celle de l'époque. Il faut une sacré magie dans un livre pour offrir la même qualité d'expérience à plus de vingt ans d'intervalle. Ou être un conteur hors pair, comme c'était le cas de ce jeune homme, Alain-Fournier, disparu trop tôt. Je ne sais pas si ce livre aura ce genre d'impact sur vous, mais je ne peux que vous conseiller de le découvrir. le Grand Meaulnes est plus qu'un classique : c'est le souvenir d'une époque révolue, protégée, marquée par l'innocence et la magie. Un pan d'histoire qu'on referme avec le coeur brisé.
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J'avais lu ce livre dans le cadre de mes cours de français pendant mon adolescence et j'avais été enchantée par le style et l'histoire.
Je voulais donc le relire avec toutes les années écoulées.
Eh bien, je n'ai pas été déçue.
Le roman est magnifique de sincérité, de sensibilité, d'amitié, d'amour.
Dommage que l'auteur est tombé au champ de bataille, il nous aurait sûrement livrés d'autres chefs d'oeuvres.
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C'est assez curieux mais j'ai l'impression d'avoir commencé un livre et d'en avoir terminé un autre, mais de façon très naturelle. Comment dire, je m'attendais à un banal roman d'apprentissage sur la vie dans un collège de province, et assez rapidement le voyage initiatique de Meaulnes m'a beaucoup destabilisée. Je me suis demandé si l'on ne s'orientait pas vers de la fantasy, aussi étrange que cela puisse paraître, avec cette ambiance tellement onirique...

Et puis, le roman gagne peu à peu en profondeur, s'enrichit à mesure que les protagonistes deviennent davantage indépendants, suivant leurs propres orientations. Il s'élargit également pour s'intéresser aux personnages secondaires, directement impactés par les aspirations de Meaulnes et de son alter ego Frantz (que l'on pourrait rapprocher de Peter Pan). La dernière partie est très intéressante parce que ces deux-là restent au centre de l'intrigue mais tout en filigrane. Tout cela est très bien fait.

Au final, on pourrait parler de roman d'apprentissage à l'envers puisque ce ne sont pas les principaux intéressés qui mûrissent mais les autres autour d'eux. Quant à l'écriture, pour un roman du début du XXème, elle m'a paru étonnamment moderne et accessible, sans recherche ostentatoire.
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Ce roman continue de m'émouvoir, j'y retrouve certains détails de la vie quotidienne : les soirées en famille, l'attente des jours de fête, une ancienne atmosphère d'école, la douceur poétique des promenades à la campagne, une nature complice. Ensuite, une aventure initiatique, un passage essentiel : celui de l'enfance heureuse à l'adolescence où tous les rêves sont possibles, mais aussi tous les déchirements, les angoisses, l'amitié sincère et surtout l'amour fou. Mais aussi, les premières désillusions d'adulte s'installent.
Je possède toujours mon premier exemplaire, maintenant jauni, à la couverture légèrement cornée ; certains passages du livre sont soulignés ou cochés, juste pour me rappeler le charme de ses phrases, la force évocatrice de ses mots. Un roman que je relis assez régulièrement avec le même plaisir, une nécessité pour mon bien-être imaginatif et assoiffé de nostalgie ; jamais lassée par cette fiction aux allures de conte mystérieux, féerique et idéaliste.


Lien : https://billetsdelecture.blo..
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Le Grand Meaulnes, d'Alain-Fournier

Quand Meaulnes arrive chez les Seurel c'est pour :

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