«Si loin qu’on aille» est écrit comme journal de marche. C’est le voyageur, le marcheur des causses, des montagnes, des bords de lac, des prairies, qui parle. Le regard qu’il pose sur les paysages se traduit en mots, chargés d’émotions, chaque pierre, chaque brume est un mystère qu’il ne résout pas, mais qu’il traduit par un questionnement sans cesse renouvelé sur la condition de l’homme.
Max Alhau s’adresse au quotidien des hommes, il marche, à chaque jour u... >Voir plus