La suite de la BD fantaisiste sur la grande cuisine !
Ce tome 2 est à la hauteur du premier et nous décrit la dégringolade du « Clos des épices » de son statut de restaurant de prestige au restaurant de quartier (pertes de ses étoiles), malgré l'effort incroyable fourni par nos 2 héros et leur bande de copains.
Donc, malgré toutes les mauvaises nouvelles, nos 2 héros décident de maintenir le resto…sauf que tout le monde les fuis.
En catastrophe, ils doivent retrouver du personnel qu'ils finissent par trouver mais sans qualification. Ils doivent alors les former : mission accomplies avec brio. Cependant ce nouveau personnel va accomplir bien malgré eux de grandes maladresses qui n'échapperont pas aux inspecteurs du plus prestigieux des guides de la gastronomie.
La sanction sera sans appel.
Le dessin très coloré est fort sympathique rappelant toujours les styles manga, le scénario tient la route (Merci M. Arleston) et l'humour toujours « tranchant ».
Une bonne suite, qui va nous amener, je l'espère, vers un final d'apothéose….
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J'avais beaucoup aimé le premier tome mais là je suis un peu déçue.
Les deux héros du Clos des épices essayent de trouver une solution pour que le restaurant ne fasse pas faillite. Pour remporter un gros chèque ils vont participer au jeu télévisé "Cook and fight". Parallèlement leur cousin italien, et secondairement mafieux, vient s'installer au Clos des épices pour enquêter secrètement sur la mort du patron.
Bien que l'humour et l'ambiance du premier tome sont toujours là, j'ai trouvé qu'il ne se passait pas grand chose dans ce tome. de plus, l'introduction du personnage du cousin est fait un peu à la va vite.
Mais ça reste quand même une bonne lecture.
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Quand quelqu'un laisse une addition de plus de 300 euros par tête, il peut manger autant de bouts de pain qu'il veut.
A ce prix, il a aussi le droit d'être désagréable, impoli, grossier, et on lui répondra toujours avec le sourire !
Cucur....bitacées? Je vous préviens: si c'est des trucs sexuels, moi je le fais pas!
La cuisine n'est pas sexuelle, mais sensuelle, mademoiselle !
Voui mais on boit vot' capital, la!
Hey bin ressers-zy un coup, d'mon capital !