C'est la sensation qu'il eut en entendant pour la dernière fois le cri perçant du corbeau au-dessus de sa tête. À ce moment là, il rejeta la tête en arrière et se tut pour toujours. Innocente, indifférente, la taïga contemplait son corps sans vie. Le cri du corbeau devenait de plus en plus perçant. À présent, la vue du sang n'inspirait plus la moindre émotion au cœur de Sidor. p. 41