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Shibuya Hell tome 1 sur 11
EAN : 9782811643492
240 pages
Pika Edition (01/04/2020)
3.72/5   27 notes
Résumé :
Shibuya, quartier ultra branché de Tokyo. 14h50.
J’ai toujours espéré qu’un événement bousculerait un jour mon quotidien de lycéen un peu morne. Le genre de rebondissement que le cinéaste amateur que je suis peut voir dans ses films préférés… mais pas ce genre-là. J’ai vu des passants se faire dévorer par ces… poissons géants, qui sont apparus tout à coup, flottant partout dans le quartier… Ces créatures sont réelles. Ce ne sont ni des effets spéciaux ni des ... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (14) Voir plus Ajouter une critique
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Le quartier de Shibuya à Tokyo subit encore les ravages d'un cauchemar. On y croisera des poissons volants psychopathes qui adorent la chair humaine.
D'abord des poissons géants qui peuvent même bouffer des hélicoptères, mais aussi des petits poissons qui peuvent pénétrer l'organisme et vous dévorer de l'intérieur. (Des petits, des gros comme dans la chanson).

Charmant.

Mais le pire dans tout cela, c'est qu'ils ont des bulles de pensées, ce qui rajoute encore plus de surréalisme.

Je ne connaissais qu'un seul poisson volant dans ma vie, c'était dans Arizona Dream de Emir Kusturica. Alors, je ne sais pas, j'avais Iggy Pop dans la tête chantant In the Death Car pendant la lecture. Probablement pas le but recherché.

Shibuya se retrouve encerclé par une une sorte de bocal, les habitants ne peuvent fuir le quartier. Nous suivons un petit groupe de personne et Hajime, notre héro cinéphile. Cinéphile? Alors, hommage au cinéma bis? Parce qu'avec la sharkexploitation, on a vite compris le No limit scénaristique (cohérence et logique à la poubelle, héro avec des capacités de résistance physique et psychologique insoupçonnées, intervention farfelue à outrance) qui nous pousse à pénétrer un cauchemar improbable et absurde. du dadaïsme sanglant? Avons-nous quitter un jour le mouvement ou le récidivions-nous ? Car l'absurde est partout, certes dans les Arts mais également dans la vie de tous les jours, dans notre travail, dans notre foyer, dans nos lois, dans notre système politique, dans notre système judiciaire, dans nos rapports avec nos concitoyens... Alors, ne soyons pas trop surpris de croiser un jour des poissons géants volants qui bouffent des gens...
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Shibuya Hell me tentait beaucoup depuis sa sortie en 2020. Je l'ai vu passer un peu partout, sur la blogosphère, sur Bookstagram et j'étais donc très curieuse de le découvrir à mon tour. J'ai eu la possibilité de le lire grâce à la médiathèque de ma ville qui en a fait l'acquisition. Et je ne regrette pas.

Shibuya. Quartier branché et moderne de Tokyo, au Japon. Centre névralgique où se réunissent des millions de personnes. Hajime, jeune lycéen, passionné de cinéma, qui veut tourner son propre film, avec ses propres moyens à l'aide de son caméscope qu'il emmène partout avec lui, se retrouve alors au centre d'un événement tragique qui va bouleverser son quotidien et ce n'est pas un euphémisme ! D'innombrables poissons rouges volants bien réels vont faire leur apparition et commencent à tuer des gens en masse pour les dévorer ! le quartier de Shibuya se retrouve alors comme enfermé dans un bocal géant, coupé du reste du monde ! Nous suivons donc un petit groupe de survivants qui vont tout faire pour rejoindre les points de rendez-vous d'évacuation de l'armée. A leurs risques et périls !

Les scènes sont violentes à souhait, sanglantes, horrifiques, gore même. C'est un manga pour public averti surtout ! J'insiste ! Je suis assez habituée à des scènes de ce genre mais il y en a quand même qui étaient presque insoutenables ! Et tout le monde n'a pas la même sensibilité !

L'originalité vient surtout des poissons rouges. Mais d'où est venue cette idée de poissons rouges tueurs ? C'est complétement WTF ! Nous avons donc des poissons rouges volants, évoluant dans les airs et non pas dans l'eau, qui sont de taille différente (petit, grand, géant), à des stades différents (adulte, alevin, oeuf). Comme pour les vrais poissons rouges, ils sont sensibles aux variations de température (n'aiment pas la chaleur). Chose étrange, ils sont capables de s'exprimer. Ils laissent échapper de petites expressions mais ça n'a queue ni tête, et je ne comprend pas le message caché (parce que ça doit vouloir dire quelque chose... forcément !). Par exemple : c'est bon/bonjour/maman/aïe/déjà le matin ?/à quoi on joue ?... C'est flippant. Je pense qu'il y a encore beaucoup à apprendre sur eux. Après tout, ça ne fait que commencer !

Mais pour le reste, le schéma reste assez classique. C'est du vu et revu. Il y a l'élément déclencheur, la panique, les morts en masse, les survivants, la course contre la montre... Après, ça reste efficace. C'est un thriller haletant avec beaucoup d'action. ça m'a même fait penser au film Dernier train pour Busan !

Je n'ai pas grand chose à dire sur les personnages. Là aussi, ils sont assez stéréotypés, clichés. le héros, Hajime, est un garçon passe-partout, qui n'a pas vraiment d'amis, qui aime le cinéma. C'est dans des moments comme ceux-là (apocalypse et Cie) que ce genre de personnage se révèle, évolue grandement ! Il y a aussi une demoiselle qui veut faire carrière comme idole, je sens venir la romance entre eux d'ailleurs !

Les dessins sont ultra modernes, riches en détail, il y a beaucoup de contenu, c'est le cas de le dire ! Les poissons rouges sont vraiment très bien faits et il y en a absolument partout ! Attention aux ichtyophobes (personnes ayant la phobie des poissons) !

Une bonne entrée en matière. Ce premier tome est plutôt cool, j'ai bien aimé ! Je suis curieuse de découvrir la suite !
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☼ Mon avis ☼


" Shibuya Hell " est la toute première série de l'auteur Hiroumi Aoi.
Le manga a commencé au Japon en 2016 aux éditions Square Enix et elle est toujours en cours avec neuf tomes.
En France, les deux premiers tomes sont sortis simultanément, le trois juin de cette année.

La couverture représente un énorme poisson rouge qui est recouvert de sang.
Lorsque, je regarde les yeux du poisson, j'ai cette impression qu'il me regarde, c'est assez terrifiant.
Personnellement, je suis complètement fan de ce genre de jaquette remplie de sang et qui en plus attire l'oeil.
Sous la jaquette, j'ai particulièrement aimé, l'idée de l'auteur d'insérer le quartier de Shibuya avec des vraies humains et avec un énorme poisson volant.
" Shibuya Hell " possède une histoire complètement décalée de la réalité, cette fois-ci, il ne s'agit pas de requin qui tue des humains, ni de piranha mais bien des poissons rouges !
On parle bien de ces petits êtres rouges qui adorent manger et qui sont à ce jour considérés comme des animaux domestiques.
Dans ce manga, les poissons rouges ne possèdent aucune différence physique, ils sont très représentatifs des poissons que nous connaissons.
On peut très bien se demander comment, ils font pour manger autant d'humains et surtout grâce à quoi puisqu'ils ne possèdent pas de dent.
Bien sûr, c'est le genre de mangas à prendre aux seconds degrés, c'est un tome très divertissant et qui change vraiment de l'ordinaire.

Durant ce premier tome, on peut apercevoir la fuite des humains face à ces créatures assoiffées de sang, il y a de nombreuses poursuites, les lieux changent et les morts s'enchaînent très rapidement.
En défilant les pages, on apprend petit à petit quelques éléments qui permettent aux personnages de mieux comprendre le comportement de ces êtres.
En tout cas, le manga possède un très bon rythme et on n'a vraiment pas le temps de s'ennuyer.

Dans ce tome, nous allons découvrir de nombreux personnages fort intéressants, comme par exemple l'officier Anko Yukino, ou bien l'agent Fujimori qui sont pour moi mes personnages préférés.
J'ai bien aimé le choix de l'auteur pour le héros principal, même s'il ressemble à un personnage basique, il rend la lecture très intéressante.
Quant à Arisa Usui, je l'apprécie pour sa promesse à ça première fan, son but est l'un des éléments qui donnent envie de continuer la série.

" Shibuya Hell " est le genre de manga ou face à l'horreur, les masques tombent, on découvre le vrai visage des protagonistes.
Chaque personnage qu'on va croiser, à de nombreux projets qui les motivent à rester en vie, que ce soit pour lui-même, pour quelqu'un d'autre, ou pour terminer une tâche importante.
Au final, même si la détermination varie entre les humains, un seul but les unis tous, celui de rester en vie.
J'aime également voir les réactions des personnages, tout le monde ne réagit pas de la même façon face aux différentes situations.
Certains sont purement égoïstes et d'autres se sacrifient pour sauver ceux qui ont le plus de chances de réussir, puis ta les personnes qui n'ont tout simplement pas de chance ...
C'est le genre de concept que j'adore, et moi-même face à cette situation, je ne sais pas comment j'aurais réagi.
Est que, j'aurais joué stratégiquement et je serais resté avec le maximum de personnes au risque de vivre plus longtemps ou non...
Car la bêtise humaine peux surgir à tout instant.
Ou bien je reste avec une petite communauté mais à la première seconde ou il y a un danger je laisse tout le monde mourir, ou bien je fais cavalier seul.
C'est vraiment intéressant de s'imaginer à la place des personnages et pourtant, nous-mêmes, ne pouvons pas prédire comment on aurait réagi face au danger.

Les graphismes de ce manga sont tout simplement bluffants, on ressent parfaitement l'horreur, les réactions des personnages sont en général très bien respectées, seule une séquence m'a dérangé.
J'ai été surprise de voir la réaction de Chitose quand Hajime lui dit de fuir...
Elle sourit sur deux cases, soit c'est une psychopathe et elle aime voir les gens se faire bouffer, soit c'est un sourire nerveux mais si ce n'est aucun des deux, je ne comprends pas.
Durant ce tome, il y a de nombreuses trames mais dans un contexte comme celui-ci, il est normal d'en voir beaucoup, mais elle ne dérange pas la lecture et sont vraiment très utiles pour montrer l'atrocité des scènes.

Si vous êtes fan des mangas WTF !? comme par exemple Magical girl of The End où les cadavres s'accumulent très rapidement ! je ne peux que vous conseiller cette série !
Lien : https://mangastra.blogspot.c..
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Quoi de mieux pour débuter l'été qu'un bon film de série B mettant en scène des hordes de poiscailles vicelards se défoulant sur des hordes de vacanciers ? On a le fameux requin, on a eu le piranha et désormais nous avons le poisson rouge ! Et pas dans n'importe quel cadre puisque l'histoire se déroule dans le quartier branché de Shibuya devenue pour l'heure un vaste aquarium sanguinolent. Bienvenue dans l'enfer de Shibuya Hell, un nouveau survival-horror édité par Pika et plébiscité par un certain Hiroya Oku...

Bon autant crever l'abcès, comme le laisse présager la première de couverture, vous avez affaire à un nanar délicieusement crétin.Certes, une armada de poissons rouges fait rêgner la terreur mais une question demeure : comment Némo fait-il pour bouffer autant de gens si il n'a pas de dents ? Cette question existentielle m'a hanté durant tout ce premier tome ! Plus sérieusement, c'est bien évidemment un titre du pur second degrés qui n'a pas la même puissance horrifique que d'autres titres du genre.

Cela dit, l'auteur Aoi Hiroumi possède une certaine qualité : il maîtrise le rythme de son survival. On ne tombe pas dans l'absolue bêtise. le mangaka, dont c'est la première série (laquelle compte déjà 8 tomes au Japon !) fait avancer son intrigue à un rythme d'enfer multipliant les poursuites, les changements de lieux et les morts ( y compris les morts insoupçonnées) . L'effet épée de Damoclés est plutôt bien retranscrit dans ce premier volume qui se suit comme étant la première " saison" d'une série avant que l'auteur ne nous réserve une petit surprise finale.

J'ai plutôt été embarqué dans ce jeu de massacre emmené par nos chers ami amphibies. Leurs dessins très réalistes sans aucune once de monstruosité rend leurs apparitions encore plus absurdes. C'est bien sûr voulu. Après, même si ce premier volume demeure assez prometteur dans l'ensemble, nul doute qu'en terme de survival, on peut trouver manga beaucoup plus percutant. Personnellement, j'ai un peu râlé devant la quasi-absence de charisme du personnage principal, un énième geek passe-partout qui se découvre un côté héroique. Cela dit, on se rattrape avec une galerie de personnages secondaires assez sympa, notamment une future idole J-pop armée de principes. le survival se marie plutôt bien avec cette menace nanardesque.

Ce premier tome de Shibuya Hell n'est pas une petite perle de terreur. C'est un survival nanardesque emmené par une menace totalement absurde. On sourit devant les poissons tout en étant pourtant embarqué dans un jeu du chat et de la souris totalement mortel. le rythme est là, les péripéties s'enchaînent et on se surprend à regarder son petit poisson rouge autrement...


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* Cette critique concerne les tomes 1 et 2 *

Le personnage principal introduit dans le premier tome est un gros cinéphile, et ce n'est pas anodin puisque le titre est fortement ancré dans deux genres très codifiés du cinéma : le film catastrophe et le film de zombie. Deux genres axés sur la survie dans lesquels on retrouve bien souvent des personnages très différents contraint de s'entraider pour s'en sortir. C'est aussi le cas ici, car les codes du genre sont respectés assez scrupuleusement dans l'ensemble, et c'est un régal pour moi qui adore les récits catastrophes type le Jour d'après ou 2012 de Roland Emmerich, mâtinés de 28 jours plus tard ou L'Armée des morts (qui me parlent plutôt bien aussi). Cette déférence envers des genres très codifiés sera peut-être une des limites du récit pour certains, en tout cas dans le premier tome qui se montre plutôt classique. Ce point est pour moi une qualité, appréciant particulièrement les récits de genre qui se conforment aux codes classiques.

On se retrouve en effet à suivre Hajime, jeune lycéen passionné de cinéma, qui va se retrouver contraint de survivre alors que le quartier de Shibuya se trouve littéralement pris dans un bocal dont on ignore l'origine, et qui se remplit de poissons volants et voraces. Sa fuite va l'amener à rencontrer diverses personnes très différentes, allant de la wanabee idol à la femme flic, en passant par les yazukas. L'occasion dans le premier tome de voir que certains se révèlent très altruistes dans cette situation extrême, alors que les pires instincts des autres font surface. Encore une fois, tous ces codes sont très classiques du genre, et son ici employés avec talent si bien que le premier volume passe à toute vitesse, réservant son lot de stress et de frissons. On est face à un récit maîtrisé, efficace et qui va droit au but, bien soutenu par une esthétique très qualitative, avec des character design assez shonen malgré la violence graphique, le tout fonctionnant parfaitement.

Mais ça, c'est juste le premier tome, car dès le second, on suit un autre personnage que notre héros, et c'est là que l'auteur emprunte une voie inattendue. Ce fameux nouveau personnage est surnommé le Furet de Shibuya, et je ne vous révélerai rien le concernant car il est clairement celui qui fait basculer le récit vers un autre niveau, et je tiens donc à vous laisser la surprise. Toujours est-il que c'est un personnage très haut en couleur, impossible à réellement saisir pour le moment, mais vraiment fascinant.

Et alors qu'on se croyait sur des rails classiques avec la survie pour maître mot, on se rend compte que le récit recèle des mystères et des surprises inattendues. Car si on se pose d'emblée la question de l'origine de ces poissons (les personnages eux, n'ont pas le luxe de se la poser, trop occupés à survivre), d'autres vont déjà apparaître dans ce second volume, que ce soit concernant le Furet de Shibuya, mais également d'autres éléments, à l'image d'un chapitre de clôture très court qui donne l'impression qu'on se retrouve dans un autre récit, entretenant encore plus le mystère autour de tout ceci.

Vous l'aurez donc compris, la parution conjointe de ces deux premiers tomes est une excellente idée de la part de l'éditeur, car si le premier nous met sur des rails très classiques, utilisant les codes du genre de façon scrupuleuse, c'est pour mieux déjouer nos attentes dès le second volume qui propose un personnage très inattendu que l'on prendra grand plaisir à suivre, et des développements riches en mystères et en promesses. Et si on ajoute à cela l'esthétique de qualité, le découpage efficace et un rythme et une ambiance très travaillés, on tient là une entrée en matière de qualité qui donne très envie de connaître la suite des événements !
Lien : https://apprentiotaku.wordpr..
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critiques presse (2)
Sceneario
15 juillet 2020
Hormis le sujet, l’histoire n’est pas particulièrement originale. La mise en place du récit non plus. La personnalité des protagonistes n’est pas encore réellement exploitée [...] Une volonté de l’auteur d’offrir un récit de survie qui ne restreigne pas trop son public et misant souvent sur le second degré.
Lire la critique sur le site : Sceneario
BoDoi
18 juin 2020
Le mangaka déroule son thriller horrifique avec un savoir-faire certain, accumulant les séquences haletantes et gores, sans toutefois éviter les poncifs du genre.
Lire la critique sur le site : BoDoi
Citations et extraits (3) Ajouter une citation
J'espérais toujours qu'il allait se produire un rebondissement tout droit sorti d'un film...Mais nos vies ne sont pas des films. Rien ne garantit que les rebondissements seront heureux... Ni qu'un happy end nous attend au bout du chemin. Je n'avais jamais fait gaffe à ça.
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Ce jour-là...
J'ai vu des gens mourir pour la première fois. [...]
C'est là que...
Mon quotidien monotone...
A commencé...
Tout doucement...
À se disloquer avec fracas.
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Il n'y a nulle part où fuir ?!
Des poissons volants qui surgissent à Shibuya... et qui dévorent les gens !
On va crever tous deux à cause de cette histoire sans queue ni tête ?!
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