Gros recueil (six bonnes centaines de pages !) illustré par des reproductions de peintures et dessins des amis peintres de l'auteur (Manet...), le recueil est emprunt de l'orientalisme à la mode de l'époque, auxquelles
Zacharie Astruc joint les références classiques (Don Juan, muses...) et picturales contemporaines. Mais c'est surtout la célébration d'une Espagne rêvée, pleine de beautés, de lamentations et de soleil.