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Critiques filtrées sur 3 étoiles  
Après avoir lu "Orgueil et Préjugé", sans doute le plus lu des Jane Austen, me voici dans "L'abbaye de Northlanger. Dès le premier chapitre, on sens que le ton est plus comique et de temps autre, l'autrice fait acte de présence avec des commentaires personnels, des remarques et la légère présence du déterminant "je".

Austen nous dresse l'histoire en parlant de sa protagoniste comme d'un héroïne, un peu comme si elle nous invitait à découvrir l'univers du roman, dont elle défend d'ailleurs l'intégrité un peu plus loin, au chapitre V. Si certains personnages critiquent les "romans" comme étant stupides et insipides, Catherine, sa protagoniste et Austen elle même en font l'éloge. On peut se demander si ,à l'époque où Austen a écrit ce livre, la société regardait d'un oeil dédaigneux ces livres à histoires fictives.

On a des passages résolument comiques, comme Tinley, qui s'adresse à Catherine comme s'il suivait un guide d'emplois de "la bonne procédure à suivre pour s'adresser aux dames": "Maintenant, il convient que je sourie avec plus d'affectation.Et ensuite nous pourrons redevenir naturels". Il y a aussi les passages de John Thorpe, au comportement très "Donald Trump", qui se vante de son cabriolet ( tout en affectant de l'avoir acheté à bon prix pour aider un ami) à la manière d'ailleurs moderne des gars fans de leur auto.Mrs, Allen est l'archétype de la belle imbécile qui a autant de jugeote qu'un poulet et qui ne juge que par les jolies tenues. On a également une bonnes dose d'hyperboles et d'énumérations comiques.

Même les personnages sont très théâtraux, avec par exemple, Isabelle Thorpe, qui feint d'être autoritaire et indifférente des hommes, mais qui, en réalité leur prête une extrême attention. C'est aussi une championne des hyperboles et de l'hypocrisie. Les hommes sont d'une maladresse tantôt amusante, tantôt affligeante, et peu loquaces ( ne ne sont pas des lumières en matière de dialogue). Donc, de manière générale, on a beaucoup de personnages pas spécialement intelligents autours de notre héroïne.

L'action s'articule encore beaucoup autours des balades, des bals, des longues conversations et des intrigues sociales. Et une fois encore, on sens qu'au-delà du thème sentimental, on a aussi des dénonciations morales, sociales et même comportemental.

Histoire: Pour Catherine, belle jeune femme issue d'une famille nombreuse de la classe moyenne, faire un séjour à Bath dans la famille Allen est l'occasion d'entrer dans le monde. Elle s'intègre aux mondanités où elle se fait même une amie, Isabelle Thorpe et où elle fait la connaissance d'un élégant jeune homme, Henry Tinley, dont elle développe des sentiments. Malheureusement pour elle, la suite n'est pas toujours facile. Entre son amie envahissante et son frère, un grossier personnage menteur et un peu trop porté sur les véhicules, insupportable John Thorpe, Catherine tente de se familiariser avec la famille Tinley. Pour ajouter à ses préoccupations, voilà que son frère James tombe amoureux d'Isabelle. Pourtant, la jeune femme qui se vante de temps de simplicité, ne semble pas particulièrement heureuse quand le montant de la rente versé par la famille est annoncée...À travers ses péripéties, cependant, Catherine pourrait bien voir sa patience récompensée: Les Tinley l'invite dans leur mystérieuse demeure gothique, l'Abbaye de Northanger.

Pour être honnête, ce fut une lecture longue par moment et certains personnages s'épanchent trop longtemps sur des banalités. L'Abbaye n'apparait qu'au trois quart du livre. Mais je salue la prose dénonciatrice et les personnages intelligemment rapportés d'Austen.
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Fan de Jane Austen, j'ai découvert de roman que j'ai moins aimé que les autres. La romancière, qui commence ce livre quand elle a 20 ans, semble encore maladroite, il y a des longueurs, des répétitions, les personnages me semblent plus grossiers que dans "raison et sentiments" et "orgueil et préjugés". L'intérêt est de suivre le point de vue d'une toute jeune fille qui découvre la société et se montre encore très naïve. Issue d'un milieu modeste, Catherine accompagne un couple d'amis de ses parents à Bath en cure. Là, elle fait d'abord la connaissance d'Isabella qui la prend comme confidente. Catherine ne remarque pas tout de suite qu'Isabella est une coquette profiteuse et intéressée. Il faudra ses fiançailles avec son propre frère rompues pour un parti plus avantageux. le frère d'Isabella est un garçon vulgaire qui ne s'intéresse qu'à ses chevaux et attelages et a des vues sur Catherine. Heureusement, elle fait la connaissance d'Eleanor et Henry, personnes raisonnables. Henry va devenir son mari.
Admirable qu'une toute jeune fille comme Jane ait eu déjà ce regard acéré sur sa société... du coup elle arrive à rendre à la fois l'inexpérience de son héroïne et un regard sans concession sur le monde. Un peu comme Flaubert dans Madame Bovary, avec de l'ironie, elle se moque de Catherine, fan de lectures gothiques, qui aimerait se conduire en héroïne de roman et ne rencontre que des déceptions dans la réalité.
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Catherine Morland a toujours refusé de prêter particulièrement attention à son apparence. Elle préférait les jeux de garçons, le cricket et l'équitation. Mais voilà, à 17 ans, les envies changent ! Ainsi, lorsque son parrain lui propose de l'accompagner pendant plusieurs semaines à Bath, grande station balnéaire en vogue à l'époque, elle n'hésite pas. Quelles fabuleuses rencontres prévoit-elle ! Et le charmant Mr Tinley apparaît. Mais disparaît quasiment aussi vite, au grand désespoir de notre héroïne. Heureusement, d'autres personnages arrivent, et notamment Isabella, qui va devenir son mentor et la guider dans la bonne société…

Je ne vais pas aller plus loin dans le résumé, ce serait dommage. le point fort de ce roman, c'est véritablement l'ironie. Jane Austen s'est prêtée là à un exercice de style dont elle se sort avec brio : elle nous montre vraiment les ficelles avec lesquelles elle construit son roman et notamment ses personnages, qui de fait deviennent des stéréotypes, mais sans que cela nuise à l'intrigue, bien au contraire. Pour tous les auteurs en devenir, c'est un titre que je recommande ! Pour les autres, davantage que l'histoire, c'est vraiment cette spécificité à retenir.
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Ce fut un plaisir de retrouver Jane Austen même si je persiste à dire encore une fois qu' « Orgueil et préjugés » reste et restera probablement à jamais mon préféré ..

Il s'agit de Catherine Morland, l'héroïne qui répondant favorablement à l'invitation de ses amis les Allen, part passer quelques jours à Bath. Cette ville qui l'impressionne dès le premier jour va être le point de départ d'une nouvelle vie. Elle y fait la rencontre des Thorpe et des Tilney avec qui elle se lie d'amitié tout en ayant un sentiment un peu particulier pour Henry Tilney, ce jeune homme noble et élégant qui la fascine et réveille en elle toute l'admiration que l'on puisse éprouver envers quelqu'un. Ce sentiment aboutira-t-il à une fin heureuse ? Je vous laisse découvrir par vous-mêmes.

Étant une habituée de Jane Austen, je trouve que Northanger Abbey est moins passionnant que le reste de ses ouvrages. Les descriptions parfois inutiles prennent beaucoup de place et le déclenchement de l'histoire proprement dite ne se produit qu'une fois les deux tiers entamés. Une lassitude s'est installée malgré moi, chose qui a fait que j'ai tardé à finir ce livre.
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Le seul livre que j'ai réussi à terminer pendant le confinement ! Un Jane Austen agréable, ne manquant pas de l'humour si attachant de l'autrice et surtout contenant des passages résolument modernes. J'ai apprécié l'ambiance du début, mais j'ai trouvé que l'intrigue s'essoufflait - ou devenait inexistante - vers le milieu, avant de rebondir un peu à la fin, que j'ai trouvé cela dit assez plate. Jane Austen se moque gentiment de son héroïne - ingénue et naïve - et bien que cela la rende attachante, elle m'a également un peu agacé. En somme, ce livre est une jolie parodie de beaucoup de genres - le roman gothique, le roman d'amour, le roman psychologique - mais ce n'est pas le meilleur d'Austen, et il ne me laissera sans doute pas un grand souvenir !
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Catherine Morland est une jeune femme naïve de dix-sept ans, la tête pleine des romans de Ann Radcliffe. Les voisins de ses parents, Mr & Mrs Allen, doivent aller prendre les eaux à Bath et ils proposent à Catherine de les accompagner dans leur villégiature.

Le séjour est prévu pour durer quelques semaines et malgré les bals, les promenades et les boutiques, la jeune fille et Mrs Allen s'ennuient un peu, faute de connaissance. C'est alors qu'elles tombent sur une vieille amie de Mrs Allen, Mrs Thorpe, qui séjourne à Bath avec ses filles.

Catherine se d'amitié avec Isabelle Thorpe, qui fréquente son frère James, au point que les deux jeunes gens annoncent très vite leurs fiançailles. La jeune fille se lie également avec Eleanor Tilney, la soeur du charmant Henry Tilney, pour lequel Catherine ressent très vite une inclination.

La villégiature s'écoule paisiblement et elle est sur le point de prendre fin lorsque les Tilney invitent Catherine à séjourner dans leur propriété familiale, l'Abbaye de Northanger…

Northanger Abbey est sans doute l'un des romans les moins connus de Jane Austen, son sujet m'attirait pourtant beaucoup mais il a néanmoins croupi de longues années dans ma PAL jusqu'à ce que ma copinaute Céline me propose de le lire avec elle, je l'en remercie vivement car c'est grâce à elle que j'ai enfin extrait cette relique de ma PAL.

Roman d'apprentissage, Northanger Abbey reprend la thématique chère à Jane Austen : le mariage. Catherine est une héroïne naïve (parfois limite un peu trop), gaffeuse mais pleine de gentillesse et de délicatesse, l'exacte opposée de Isabelle Thorpe, manipulatrice en diable et en quête d'un mari riche, qui n'hésitera pas à jouer double jeu afin d'arriver à ses fins.

Bourré d'humour, Northanger Abbey est aussi une parodie des romans en vogue à l'époque de l'écriture même de ce roman (1803) que sont les romans gothiques tels que ceux de Mrs Raddcliffe bien sûr (Udolphe, L'italien), d'Horace Walpole (Le château d'Otrante), de Matthew Lewis (Le moine) et héritiers directs des romans du XVIIIè tel que le diable amoureux de Cazotte.

Jane Austen se moque gentiment mais avec beaucoup de verve du goût qu'a son héroïne pour les ruines et les châteaux ou abbayes médiévales, figures du préromantisme anglais, donnant lieu à des passages très drôles.

Parodie du roman gothique donc mais aussi satire savoureuse de la bonne société anglaise qui prenait ses eaux à Bath pour s'y montrer et non pour s'y soigner, Northanger Abbey est aussi le roman du double jeu, à travers les personnages des Thorpe, famille ruinée, à la recherche de beaux mariages mais aussi du général Tilney, qui invite Catherine, la pensant aussi riche que lui, et donc très intéressante pour son fils Henry.

Si ma lecture fut très plaisante, elle ne me laissera sans doute pas un souvenir impérissable car si l'ambiance m'a beaucoup plu, l'histoire en elle-même n'est pas très intéressante et les personnages se sont révélés soient horripilants soient un peu trop fades à mon goût.

Reste le style si piquant et moderne de Jane Austen vaut à lui seul le détour et que je suis ravie d'avoir pu enfin lire ce roman.
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Dans ce livre, il y a Catherine Morland qui n'a rien d'une héroïne.
"Sa situation dans l'existence, le caractère de son père et celui de sa mère, sa propre personne et son tempérament. Tout s'oopposait également à ce qu'elle en fût une un jour."
Il y a aussi Henry Tilney, cadet d'une des plus riches familles d'Angleterre, affable et plein d'humour.
Au travers de leurs regards, pur voire naïf pour la première, ironique et sans complaisance pour le second, Jane Austen nous brosse un portrait satyrique de la bonne société de l'époque, dans laquelle les maîtres mots sont frivolités et superficialité.
Les rapports d'argent y tiennent bien sûr une place très importante et l'écrivain est sans pitié avec ces jeunes filles qui par appât du gain, jouent un double jeu au risque de tout perdre. A ce sujet, il y a quelques passages particulèrement savoureux.
Et, au milieu de ces manipulations et calculs, et puisqu'il s'agit d'un roman de Jane Austen, il y a l'amour vrai, celui qui triomphe toujours.
A noter, les fréquentes à la littérature gothique notemment aux romans d'Anne Radcliffe et la parodie qu'il en ai faite au travers du comportement de Catherine lorsqu'elle est invitée à séjournée dans une très vieille abbaye.
Une histoire pleine d'ironie et d'humour qui m'a souvent faite sourire. un style piquant pour un très agréable moment de lecture.
Ce manuscrit intitulé à l'origine Susan n'a été publié qu'après la mort de son auteur, même si l'éditeur en avait acheté les droits de nombreuses années auparavant.
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J'ai déjà lu plusieurs roman de Jane Austen et j'avais bien aimé. C'est donc sans crainte que je me suis lancée dans Northanger Abbey.

Nous y suivons Catherine, une jeune fille de 17 ans, issue d'une bonne famille, qui fait son entrée dans le monde. Elle est totalement novice en matière de « société » et fais ses débuts à Bath pendant l'hiver, période où une bonne partie de la bonne société se retrouve là-bas pour prendre les eaux. Elle y découvre l'amitié, les relations avec le sexe opposé, la malice aussi, la duperie. Tout d'abord très naïve et facilement influençable, elle va apprendre qu'il est des personnes auxquelles il ne faut pas trop se fier, que certaines apparences sont trompeuses et que des amitiés peuvent se créer très vite et se défaire tout aussi vite.

Nous la voyons donc évoluer tout au long du roman, bien qu'elle garde toujours, jusqu'à la fin, un petit quelque chose d'ingénu, de naïf. Je noterai également que le caractère de Catherine est remarquable. Elle ne voit toujours que le bon côté des choses et des gens et trouve toujours de bonnes excuses aux comportements les moins aimables. Catherine est trop gentille, et cela lui joue des tours.

Catherine est également une jeune fille passionnée par les romans (d'horreur !) et les vieilles pierres. Elle entrevoit la vie à travers le prisme de ces romans qu'elle lit avec avidité et est parfois déçue lorsqu'elle se rend compte que la réalité est différente.

A part ça, je dois tout de même avouer que l'intrigue m'a quelque peu déçue. La fin est convenue, on la voit venir à des kilomètres, quasiment dès les premiers chapitres. Il n'y a pas vraiment de rebondissements, sauf à un moment, et la résolution m'en a semblé un peu précipitée. J'avais davantage aimé l'histoire d' « Orgueil et Préjugés » ou de « Raison et Sentiments ». Cela reste malgré tout une histoire assez sympathique qui se lit assez vite.

J'ai aimé la plume de Jane Austen. Quand bien même elle est soutenue, elle n'a pas la lourdeur que je reproche parfois à certains auteurs français de la même époque. En fait, elle me donne l'impression, parfois, qu'elle s'amuse beaucoup quand elle écrit et on ressent son enthousiasme. J'ai même eu l'impression qu'elle se moquait de ses personnages et des habitudes de la bonne société de Bath, nous invitant nous-même à nous moquer en nous interpellant ici et là. (Il me semble d'ailleurs que ce n'est pas dans ses habitudes de nous interpeller de la sorte, me trompé-je ?)

Pour conclure, peut-être pas le meilleur roman de Jane Austen que j'ai lu jusqu'à présent, mais une lecture fort agréable au demeurant !
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Satyre, ironie, humour, personne n'est épargné et Jane Austen nous livre une vision désenchantée du monde dans lequel elle vit. Je ne sais pas trop comment le voir, j'hésite entre deux possibilités:

1er cas: sous l'ironie, point de méchanceté. Tous les défauts et petites manies sont accentués mais dans un but taquin.
2ème cas: l'auteure, désabusée, nous montre la société dans laquelle elle vit en pointant du doigts tout ce qui la rend ridicule et au-delà de l'ironie, pointe le ressentiment.

Je penche, à vrai dire, pour la deuxième option.

Tous les personnages de ce roman sont caricaturaux et si j'admire la démarche de l'auteure car pleine de modernité et de courage, ça m'a franchement dérangée:

Catherine Morland, (notre héroïne et mentionnée souvent comme telle par Jane Austen qui, plus qu'avoir écrit une histoire, nous la raconte) est assez sotte, ignorante et insipide.
Isabelle est fausse et manipulatrice, sans aucun intérêt
Mme Allen est typiquement la femme sans jugeote et sans personnalité qui suit les autres et ne se préoccupe que de paraitre.
M. Tilney (père) est intéressé seulement par l'argent et le rang.
M.Thorpe est un jeune homme sot, menteur, avec des manières abominables et imbu de lui-même.

Il y a bien sûr d'autres personnages mais je m'arrête là. Ceux là représente vraiment le côté caricature du roman.

L'histoire, créée à partir de tels personnages est du coup, comment dire… assez étrange. Mais surtout, ce qui était cocasse au début traine tellement en longueur que je suis arrivée à saturation avant d'arriver à Northanger. Oui, toute la première partie se passe à Bath, où plutôt à la Pump room donc plus de la moitié du livre à entendre parler de bal et de danse… dur dur!

C'est une romance, donc on sait comment ça va se terminer mais avec nos deux héros si fades et sans personnalité, ça a duré une éternité et j'ai eu du mal à finir sans dormir.

Si l'écriture reste superbe, cette satyre m'a finalement ennuyée car le côté acerbe des réplique que donnent Jane Austen à ses personnages est absent, bien sûr, dans la volonté d'accentuer le côté fade de Catherine mais du coup, il ne se passe rien d'intéressant.
Lien : https://loeildesauron1900819..
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Ce livre est un véritable dilemme. Jane Austen est un de mes auteurs préférés. Telle un Zorro victorien, elle écrit des textes incisifs, à la pointe de sa plume, qui me ravisent toujours.
Or, Catherine Morland est fade et naïve, Henry Tilney est un héros sans épaisseur. La construction "gothico-mystère-tonprincecharmanttesauvra" fait d'avantage penser à du Barbara Cartland qu'à du Jane Austen en définitive. Cependant, même si ce livre est vraiment de "la poudre de perlimpinpin" comme dirait l'autre, j'excuse tout ! Je pardonne tout....parce que Jane Austen était jeune, et que pour un premier roman, ce n'était pas si mal après tout.
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