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Critiques filtrées sur 5 étoiles  
Bon sang! Comme Bartelt a l'art de nous immerger dans ce pays de sauvages qu'est ce petit village ardennais de Reugny,
sauvage, l'ex-douanier véreux, Jeff, qui se réjouit du mal qu'il va provoquer en divulguant les scandales collationnés sur la plupart des habitants,
sauvages, les tenancières de l'hôtel, la mère, Thérèse qui refuse de vendre à cause de la grand-mère et Anne-Sophie, la fille, boiteuse suite à un suicide manqué, et charmée par les chansons de Brice, l'idiot du village,
sauvages, les méthodes du centre de motivation pour stimuler la compétition entre les participants,
sauvage, Freddy, chauffeur poids-lourds jaloux, dont la fureur explose à chaque coup de fil anonyme,
sauvages, les grévistes français qui bloquent routes et chemins de fer, ainsi que les attentats de Liège, Namur et Bruxelles qui mobilisent la quasi totalité des polices belges,
et c'est là dedans, au moment ou se produisent meurtres et disparitions, que débarque de Paris le journaliste raté Nicolas, de même que l'obèse et immonde inspecteur Vertigo à 15 jours de sa retraite.

C'est parfois un peu caricatural (le seul gars sensé du village est le fermier flamand!) mais compensé par un humour qui me plait.

On a le sentiment que Bartelt a bon, qu'il écrit pour son plaisir. Vargas et autres Bussi n'ont qu'à bien se tenir ;--)
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Un polar très loufoque : on débute avec l'enquête d'un journaliste qui débarque dans un petit village des Ardennes belges afin d'en découvrir plus sur la mort d'une actrice en 1960 dans l'hôtel du Grand Cerf ... et on finit avec cinq meurtres!
L'inspecteur Kulburtus chargé de l'enquête est un véritable phénomène : mal élevé, marchant à la bière (au litre, sans mousse) et aux frites-cervelas, il perturbe par ses habitudes mais cache un esprit très malin.
Ce dernier cas avant sa retraite ne sera pas de tout repos!
Un excellent moment de lecture qui m'a permis de découvrir cet auteur.

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Belle découverte que cet hôtel du Grand Cerf.
Nicolas Tèque, journaliste désoeuvré est envoyé dans un village des Ardennes Belges par un producteur afin d'enquêter sur la mort d'une ancienne star de cinéma dans les années soixante. Les circonstances exactes de son décès sont toujours demeurées troubles et non élucidées.
Quand il arrive à l'Hotel du Grand Cerf, tout le village est en ébullition car de nouveaux meurtres viennent d'être commis. La fille de la patronne du Grand Cerf a également disparu.
L'inspecteur Vertigo Kulbertus est envoyé sur place pour enquêter et se lie d'amitié avec Nicolas.
Y a-t-il un lien entre la disparition de l'actrice et les meurtres actuels ?
Qui est vraiment Richard Lépine, l'homme riche du village ?
Nous voilà plongés dans l'enquête de Vertigo Kulbertus, inspecteur obèse et personnage haut en couleurs dont les méthodes sont pour le moins peu orthodoxes.
L'enquête est néanmoins bien menée et l'auteur en profite pour dresser une belle galerie de personnages : le fils arriviste, le mari violent et jaloux, l'épouse esseulée, l'épouse sans scrupules, etc., et surtout cet inspecteur hors norme, magnifique « héros » de ce roman noir.
L'humour est présent à chaque page et les sentences assenées par notre inspecteur tout au long de ses découvertes sont hilarantes.
Je ne connaissais pas du tout cet auteur et je dois reconnaître que j'ai été complétement séduite par ce polar décalé et extrêmement drôle. A lire !
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Second roman de cet auteur que je découvre et qui me fait passer vraiment de très agréables moments de lectures. Je n'en souhaite pas beaucoup plus. le plaisir, c'est quand même le plus important.

C'est bien écrit, bien enlevé, subtil, intelligent, bourré d'humour, avec des personnages peu banals dont certains assez gratinés. Un flic, à 15 jours de la retraite, gros comme un hippopotame, un Grangousier de première, buveur non pas de bière mais d'hectolitres de bière tout au long de la sainte journée, et avalant des repas pantagruéliques dès le lever, est envoyé dans un petit village belge proche de la frontière française. C'est qu'il y a eu meurtre (vous vous en doutez)

Un autre individu envoyé au même endroit par un producteur de cinéma qui veut faire un film sur une ancienne actrice de cinéma décédée mystérieusement, 40 ans auparavant, dans ce même petit village où se déroulait le tournage de son dernier film. A l'époque, malgré des circonstances pas très claires, la police a conclu à un accident. le producteur est persuadé (une intuition) qu'elle a été assassinée. Evidemment, vous vous doutez encore, il a raison.

Le flic et l'ami du producteur se retrouvent au même hôtel, celui du Grand Cerf où logeait et est morte la fameuse actrice (là encore, vous l'aviez deviné). L'un enquête sur le meurtre du jour (les meurtres, par ce que ça s'aggrave de ce point de vue-là) tandis que l'autre enquête sur l'assassinat potentiel de l'actrice (un cold case, comme on dirait maintenant).

Et voilà, laissez-vous porter, y a plus qu'à lire.

Je recommande donc la lecture de Franz Bartelt. La preuve de ma bonne foi : j'en ai déjà acheté un autre. En général, quand on découvre un auteur, on finit toujours par tomber sur un roman moins bon, moins abouti, et qui nous déçoit. Espérons que ce ne sera pas celui-là (je vous tiendrai au courant).

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Voilà cinquante ans que Rosa Gulingen, héroïne de films à l'eau de rose, a rendu son dernier soupir dans une baignoire de l'hôtel du Grand Cerf, de Reugny, petit village belge des Ardennes. C'est l'occasion pour un producteur parisien de se lancer dans la réalisation d'un documentaire sur les circonstances de cette mort. C'est Nicolas Tèque, enquêteur, régisseur, accessoiriste… bref, tout et n'importe quoi, qui est chargé d'aller effectuer des repérages et, pourquoi pas, confirmer que Gulingen est morte, non pas d'un accident domestique, mais assassinée.
Sauf qu'à Reugny, au même moment, un tueur est justement à l'oeuvre, qui vient de décapiter à la chevrotine le douanier à la retraite – et unanimement haï– du patelin, et que Vertigo Kulbertus, éléphantesque inspecteur à quinze jours de la retraite et aux méthodes singulières débarque lui aussi.
On ne va pas s'en cacher, c'est toujours un immense plaisir que de retrouver Franz Bartelt et l'on ne peut que se réjouir qu'il ait trouvé sa place dans la nouvelle collection du Seuil, Cadre Noir. D'autant plus qu'Hôtel du Grand Cerf et sa galerie de personnages étonnants associe avec bonheur humour et portrait au vitriol d'une petite communauté faussement tranquille aux vieilles haines recuites dans un emballage de whodunit dynamité par un Vertigo Kulbertus dont la manière d'enquêter repose plus sur un approvisionnement régulier en bières, frites et cervelas ainsi que dans la déstabilisation des témoins et suspects que dans la recherche de preuves :
« - […] je vais vous poser une question difficile. Je peux ?
-Oui.
-Quels rapports entreteniez-vous avec Jeff Rousselet ?
Meyer eut un instant d'hésitation. Kulbertus fit celui qui en sait plus long qu'il ne veut bien le dire et qui n'en attend que la confirmation.
"Bé, à vrai dire, on n'avait pas de rapports…
-Vous ne l'aimiez pas.
-Non.
-Vous ne l'aimiez vraiment pas.
-C'est-à-dire que… on vous l'a peut-être dit au village…
-On dit bien des choses au village.
-Il a tiré mon père comme un lapin. C'est de la vieille histoire, mais on n'oublie pas. Question de respect pour les morts.
-Comme un lapin, vous dites, Meyer ?
-Oui. Comme un lapin.
-J'aime bien le lapin."
L'inspecteur défroissa une feuille de papier, l'étala devant lui et écrivit, en grosses capitales : LAPIN. »
C'est ainsi, avec humour et sensibilité ainsi qu'avec une écriture toujours imaginative que Bartelt déroule une enquête qui met au jour la triste banalité du crime et la manière dont finissent par se confire les détestations dans une petite communauté refermée sur elle-même. Pour autant, là où le cynisme pourrait permettre de dresser une interminable galerie de portraits de salauds, Bartelt laisse toujours un peu de place à l'empathie sans jamais verser dans la moralisation facile : « Il aimait encore assez bien boire, de temps en temps. Même trop, s'il le fallait. Il y a des moments où l'excès met un peu de grandeur dans les petitesses de l'existence ». Et si, d'ailleurs, les plus pourris finiront par être punis, ce sera d'une façon tout ce qu'il peut y avoir d'immorale, Vertigo Kulbertus n'étant pas forcément du genre à laisser la justice faire tout le travail.
C'est dire si Hôtel du Grand-Cerf se lit avec un double plaisir : celui de la langue de Bartelt et de ses aphorismes, et celui du récit délicieusement subversif.

Lien : http://www.encoredunoir.com/..
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Après m'être fourvoyé avec "Les Chutes" de JC Oates , j'ai décidé de confier mon temps libre à une valeur sure , Franz Bartelt.
Un producteur envoie un collaborateur à Reugny ,bourgade des Ardennes belges , à la frontière française pour élucider le décès survenu 40 ans auparavant de Rosa Gelungen, star de cinéma de l'époque . Retrouvée morte dans sa baignoire , l'enquête avait conduit à la mort par noyade.
Mais sur place , la quiétude n'est pas de mise : L'ancien douanier vient de se faire tuer ....

C'est l'avantage des valeurs sures , elles sont sures. Au delà de l'histoire , le style assez unique du romancier balaie tous les doutes et le scepticisme ambiant. Cette écriture est dévastatrice , toutes les trois pages , il y a une réplique culte, du style , "elle avait des aptitudes à défier la probité conjugale ". C'est quand même mieux dit que " C'est une salo..", non ?
le personnage truculent est un policier prénommé Vertigo dont la corpulence permettrait à Air France de se faire 3000 euros en classe éco sur un Paris New York.A quatorze jours de la retraite, il se serait passé de ce déplacement en campagne , n'aspirant qu'au repos et à descendre des futs de bière.
Il y a beaucoup de personnages , tous un rôle bien défini, l'immoralité n'est jamais loin, comme souvent. On retrouve quelques synergies avec Paasilina.
On peut aussi noter que l'on a affaire ici à un polar , non conventionnel certes . Et ma foi, c'est bien ficelé , tout se met en place de façon assez royale .
Une belle lecture d'un auteur à découvrir et dont le "Jardin du bossu " m'avait littéralement scotché.
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Intrigue bien menée, personnages atypiques, humour grinçant, style fluide... Tous les ingrédients sont là pour passer un très bon moment à la lecture de ce polar.
J'ai particulièrement apprécié le personnage truculent de l'inspecteur Vertigo Kulbertus, anti-héros anti-conformiste qui parvient, en déstabilisant tous les habitants du village ardennais où il enquête, à dévoiler les histoires secrètes qui y pourrissent sournoisement depuis des générations et ont fini par provoquer une série de meurtres.
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Depuis "Les bottes rouges" qui m'avait enthousiasmée, je n'avais pas lu Franz Bartelt. C'est un bonheur de le retrouver avec un roman aussi intense !
Il s'en passe de belles à Reugny, petite bourgade près de la frontière franco-belge ! Il y a une cinquantaine d'années déjà, Rosa Gulingen, une actrice célèbre, y est morte dans des circonstances un peu douteuses. Accident, a conclu l'enquête. En ce "dernier été du XXème siècle" Nicolas Tèque, vient en repérages avant le tournage d'un documentaire sur cette mort qui reste inexpliquée. Il est logé à l'Hôtel du Grand Cerf, où séjournait l'actrice au moment de sa mort. A son arrivée, le village et en ébullition : un incendie criminel, un meurtre, la disparition d'une jeune fille, font remonter les haines latentes, les rancoeurs mal cachées, le linge plus ou moins sale de chaque famille. Quinze jours avant sa retraite (imméritée selon lui), l'inspecteur Vertigo Kulbertus installe son physique imposant et ses méthodes atypiques pour mener l'enquête. Quel magnifique personnage ! Son franc-parler détonne avec les mensonges des habitants. Décalé, cynique, cabotin, revêche, et malgré tout attachant, il est à lui seul un festival d'humanité.
Construit comme un scénario, avec de nombreuses références cinématographiques, le récit nous entraîne d'un lieu à un autre en compagnie de personnages qui, tous, semblent jouer un rôle écrit depuis bien longtemps. de manipulations mutuelles en rebondissements inattendus, les évènements s'enchaînent, la situation se complique, personne n'est vraiment ce qu'il veut paraître et l'on tourne les pages sans pouvoir quitter ce village maléfique.
Maîtrisé, tenu, élégant, drôle, profond, foisonnant, passionnant... "Hôtel du Grand Cerf" est tout cela et bien plus. N'hésitez pas ! Allez passer quelques jours dans cet hôtel hitchcockien à Reugny ! Vous en sortirez comme moi : enthousiaste !
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Hôtel du Grand Cerf
de Franz Bartelt

Chronique de Bruno Delaroque

Avoir une grosse Pile à Lire c'est pouvoir choisir au grès de ses envies et de ses humeurs ; c'est pouvoir découvrir des auteurs différents, que l'on n'a pas encore lus. Avec « Hôtel du Grand Cerf », on est tout à fait dans cette configuration-là. Paru en Mai 2017 chez Seuil dans la belle collection Cadre Noir, l'histoire se déroule à Reugny, un petit village au coeur des Ardennes belges. La particularité de ce bourg ? C'est très simple. Il y cinquante ans, la star mondiale de cinéma, Rosa Gulingen avait été découverte noyée dans la baignoire de sa chambre à l'hôtel du Grand Cerf, qui accueillait l'équipe de son prochain film.

Depuis même si la police avait conclu à une mort accidentelle, le mystère reste presque entier et le culte voué à l'actrice encore bien présent sur place.

Nicolas Tèque, journaliste parisien essaie de remonter le fil du temps et de comprendre ce qui est arrivé à l'époque, alors qu'en même temps une série de meurtres et une disparition vient ébranler et réveiller la petite commune.

C'est là que l'Inspecteur Vertigo Kulbertus intervient. A quinze jours de la retraite, il est dépêché sur les lieux pour éclaircir l'affaire. Plus de cinquante ans après, les vieilles rancoeurs et les mystères vont ressurgir sous la plume inspirée de Franz Bartelt. Avec humour et un style oscillant entre San Antonio et un Nicolas Lebel, on découvre avec un plaisir non dissimulé cet espèce de pachyderme pantagruélique qu'est Vertigo.

Atteint d'une obésité maladive et d'un estomac digne d'un sanibroyeur SFA, d'un gosier en pente qu'aucun d'entre nous ne saurait concurrencer pour les litres de bières, c'est un sacré zigoto. Mal élevé et impoli, mais à bon escient et pour les besoins de l'enquête, notre policier va secouer les habitudes du village et de ses habitants.

Bien loin des clichés habituels du genre, ce scénario est drôle, surprenant et bien construit. On ne s'ennuie jamais tout en s'offusquant des manies grossières et peu orthodoxes de Vertigo. On y trouve une galerie de personnages truculents et l'atmosphère devient vite lourde et chabrolienne avec ces gens qui ont tous quelque chose à cacher.

Pendant que Kulbertus s'enfile des litres de bières, moi j'ai bu du petit lait. le journaliste Nicolas et Vertigo le flic vont vite se trouver des points communs leur permettant d'enquêter ensemble et de se retrouver autour d'une ou plusieurs bonnes pintes.

Rondement mené, ce polar noir se déguste avec grand plaisir, et quand je vois sur la quatrième de couverture que l'auteur a écrit une quarantaine de livres, je me dis que ma PAL n'a pas fini d'augmenter pour les années à venir.



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Pour aller plus loin
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À Reugny, petit village au coeur des Ardennes, plane depuis cinquante ans le secret de la mort de Rosa Gulingen. La star mondiale de cinéma avait été découverte noyée dans la baignoire de sa chambre à l'Hôtel du Grand Cerf, qui accueillait l'équipe de son prochain film ; du bout des lèvres la police avait conclu à une mort accidentelle.

Quand Nicolas Tèque, journaliste parisien désoeuvré, décide de remonter le temps pour faire la lumière sur cette affaire, c'est bien logiquement à l'Hôtel du Grand Cerf qu'il pose ses valises.

Mais à Reugny, la Faucheuse a repris du service, et dans le registre grandiose : le douanier du coin, haï de tous, est retrouvé somptueusement décapité. Puis tout s'enchaîne très vite : une jeune fille disparaît ; un autre homme est assassiné.

N'en jetons plus : l'inspecteur Vertigo Kulbertus, qui s'est fait de l'obésité une spécialité, est dépêché sur place pour remettre de l'ordre dans ce chaos.

Il s'en passe des crimes dans ce petit village des Ardennes Belge.

J'ai aimé l'inspecteur Vertigo qui ne mange que des frites du matin au soir, descendant forces bières au litre, mais sans mousse.

J'ai aimé Nicolas qui enquête sur la star de cinéma Rosa, son enquête l'emmenant sur les assassinats qui font l'actualité.

Des personnages haut en couleur : le syndicaliste qui lui ouvre un boulevard à sa sortie du train et qui se fait un devoir de boire du thé parce que ça fait plus sérieux ; la mère octogénaire de l'actuelle patronne qui compte les bocks depuis sa mezzanine ; le directeur du Centre de Motivation toujours tiré à 4 épingles ; le simplet du village et la famille d'agriculteurs flamands ostracisée.

Une enquête qui ramènera Vertigo aux plus noires heures de la libération.

L'image que je retiendrai :

Celle du taxi chargée d'emmener chaque matin un élève radié du programme du Centre de Motivation.
Lien : https://alexmotamots.fr/hote..
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