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4,1

sur 1850 notes
J'ai franchi le pas. J'ai oublié mes préjugés : « Tu ne vas pas lire un roman pour ados, voyons ! … A ton âge ! ».
Mais si, je l'ai lu ce roman à priori pas fait pour moi, et surprise, j'ai adoré.

J'ai ressenti beaucoup de tendresse dans cette histoire. J'ai aimé suivre ces jeunes filles qui assument fièrement leur statut de boudin.
Chacun de leur défaut va devenir un atout. Leur courage n'a d'égal que leur sens de l'autodérision.
Clémentine Beauvais évoque beaucoup de problèmes de notre société, le harcèlement, l'humiliation face au regard des autres lorsque l'on n'a pas la chance d'être une reine de beauté.
Ce petit roman est un vrai bonheur de lecture : personnages attachants, situations cocasses et inattendues mais bien vues. Humour, amitié, tolérance cohabitent harmonieusement.
Sincère et touchant « Les petites reines » est un vrai plaisir à découvrir et à faire partager.
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Je crois que je tiens là mon coup de coeur 2022. Pourtant le sujet n'était pas évident. Mais j'ai adoré dès les premières lignes.

Au collège Lycée Marie Darrieussecq de Bourg en Bresse, trois jeunes filles, Mireille, Astrid et Hakima viennent de décrocher le titre de ... boudin. Un parfait crétin a inventé trois ans auparavant cet ignoble concours qui met en lumière les jeunes filles ayant le physique le plus ingrat.
Le ton pourrait être grave, larmoyant... En fait, pas du tout. D'abord Mireille vaut son pesant de cacahuètes. Un caractère bien trempé, un sens de la répartie hors du commun, Mireille est également dotée d'un solide sens de l'humour et de l'autodérision. Mireille est tellement drôle. On ne rit pas d'elle mais avec elle. Mireille a aussi une grande force de caractère. Elle prend sous son aile les deux autres boudins. Au lieu de pleurer sur leur sort, les filles relèvent un challenge complètement fou: relier Paris à vélo et ironie du sort ... en vendant du boudin. Chacune a une bonne raison de vouloir se rendre à la capitale le jour du 14 juillet. L'idée est de gate crasher la garden party de l'Elysée. Nos trois jeunes filles se préparent donc pour ce challenge et finissent par prendre le départ.
J'ai adoré les personnages de l'histoire, le ton déjanté, l'humour décapant de Mireille. j'ai aimé voir naître l'amitié entre les filles, la solidarité. Ce défi va permettre aux filles de grandir, de s'affirmer, d'évoluer.

J'ai passé un très bon moment de lecture et j'ai regretté de le finir.
J'ai trouvé que l'auteure étant vraiment habile pour traiter de sujets importants: les réseaux sociaux, les médias, les diktats de la beauté féminine, le harcèlement...
Je vais m'empresser de découvrir d'autres titres de cette auteure.





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Les "boudins", voilà le charmant petit surnom qu'attribue Malo, ado de seize ans, à Mireille, Astrid et Hakima, élèves d'un collège de Bourg-en-Bresse. Non-content de juger ces jeunes-filles solitaires, il a la bonne idée d'organiser un palmarès des "boudins" de l'établissement (et oui, certaines personnes comme Malo ont un petit pois dans la tête...). Après avoir été nommé boudin d'or deux années de suite, Mireille ne s'émeut plus de la méchanceté de ses camarades. Boudin de bronze cette année, celle-ci ne se doute pas un instant que cette histoire va l'emmener, elle et ses nouvelles amies de podium, jusqu'aux portes de l'Elysée...et à vélo s'il vous plaît ! Comment ? Pourquoi ? Avec humour, Clémentine Beauvais tord le cou aux clichés pour offrir un roman jeunesse moins léger qu'il n'en paraît. Sur l'autel des préjugés, s'élève ainsi un féminisme émergeant. Drôle et intelligent à souhait, Les petites reines est inéluctablement mon premier coup de coeur de l'année 2020 !

Un petit coup de mou ? Cette semaine de pluie ou de froid a eue raison de votre optimisme habituel ? J'ai la solution ! Et évidemment, celle-ci réside dans la lecture d'un roman, j'ai nommé Les petites reines de Clémentine Beauvais. Drôle et frais, ce livre jeunesse est un petit concentré de bonheur malgré des thèmes parfois douloureux. Et oui, comment aborder le harcèlement scolaire, la grossophobie ou encore le handicap sans plomber l'ambiance ? Et bien en dédramatisant ces thèmes à coup d'humour grâce à une histoire et des dialogues aussi savoureux que les mets préférés de nos trois petites reines !

Aux chapitres courts et fluides, se succèdent un balayage de clichés dont même Mireille, Astrid et Hakima ignoraient parfois l'existence. Sous le couvert de la garden-party qui réunit ces trois élèves, se dessine une amitié improbable, tout comme une acceptation de soi insoupçonnée. le "food-truck" de boudins tracté par les fameux vélos, arme de défiance face aux mauvaises langues, devient le symbole non pas d'une vengeance, mais d'une revanche comme d'une amitié naissante. 

Avec ces personnages attachants et ces réparties cinglantes, Les petites reines célèbre le féminisme naissant de ces trois ados en transition. Finalement, si quelqu'un est mal dans sa peau, ne serais-ce pas celles et ceux qui les raillent ? Outre l'éveil démonstratif de Mireille, narratrice de cette histoire rocambolesque, l'auteure dresse avec subtilité un portrait familial touchant. Ainsi, la figure du beau-père moqué en début de roman devient au fil des pages plus attendrissante, celle du Soleil, alias Kader grand frère handicapé de Hakima et tuteur des trois ados, est quant à elle aussi émouvante que politique.

Vous l'aurez compris, ce livre n'est pas un simple roman pour ados, il est le porte-parole de toutes ces filles ou garçons moqués pour leur différence physique, mais pas que. Comme le dit si bien la romancière, « les petites reines, c'est le voyage initiatique de quatre personnages qui ont toutes les raisons de se plaindre, mais qui décident, à la place, d'en rire, et de partir pédaler sur 500 km. Et comme tout road-trip, ça raconte, au-delà de leurs problèmes personnels, une société, son histoire, sa culture. » 

J'invite donc tous les établissements scolaires, bibliothèques, ou encore parents, grands-parents, oncles, tantes et j'en passe, à offrir ce très beau et léger roman aux ados de votre entourage...sans omettre de le lire ! Qui sait, peut-être reconnaîtriez-vous l'ado que vous étiez et l'adulte que vous êtes devenu ? 

Si la devise de mon blog est un livre, une gourmandise (!), quelle est celle choisie pour ce très frais et hilarant roman ? Réponse sur book'n'cook... Miam.
Lien : http://bookncook.over-blog.c..
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Même si on les traite de "boudins", si elles sont reconnues comme telles en raison d'un stupide concours, Mireille, Astrid et Hakima font face. Elles ne se connaissent pas mais elles vont vite se lier d'amitié et s'épauler. de tempérament et de caractères différents, elles ont toutes trois des façons de réagir : humour, retrait, larmes... Mais elles vont s'unir autour d'un projet commun, qui les mettra sous le feu de la rampe et les faire grandir...
J'ai passé un très agréable moment au milieu de ce petit groupe de filles et j'aurais bien aimé me joindre à elles. Rempli d'humour, de tendresse, et de grandes vérités, ce roman nous plonge dans les difficultés adolescentes, les rancoeurs et les méchancetés que ces petits êtres sont capables de véhiculer et de se lancer à la figure. Mais cette histoire renforce aussi l'idée qu'ensemble on est plus fort, ensemble on peut se dépasser et qu'ensemble on peut oublier cette affreuse domination de l'apparence... Clémentine Beauvais est douée, un conseil : suivez-là !!!
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Le roman de Clémentine Beauvais paru chez Sarbacane a été élu meilleur roman jeunesse à sa sortie, et c'est totalement mérité !
Si l'expression "tomber en amitié" existait, je dirais que je suis tombée en amitié de ces trois irrésistibles petites reines en écoutant la version audio du roman disponible chez Audiolib. Celle-ci est assurée par Rachel Arditi - que l'on retrouve d'ailleurs en alternance dans cette adaptation -, je dirais même, superbement bien assurée, car sa façon de lire et de donner voix aux personnages est à mourir de rire.

Lien : http://www.baz-art.org/archi..
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Partant d'un sujet difficile et malheureusement banalisé dans les écoles( les moqueries sur le physique et le harcèlement qui suit souvent ), l'auteur arrive à en parler avec humour et finesse. Une bonne partie du livre repose sur la narratrice, Mireille,15 ans et demi et une personnalité flamboyante ! Elle a une répartie incroyable et une vision positive de la vie ,on a envie de la suivre parce qu'elle semble tout transcender . Avec les deux autres filles élues "boudins de l'année " sur facebook, elle décide de partir à Paris rencontrer son père biologique....à vélo ! Sachant qu'elle habite à Bourg-en-Bresse. Et hop,ni une ni deux, les trois filles montent une expédition et les voilà parties sur les routes avec le grand frère de l'une d'entre-elles pour les protéger car elles sont mineures.
J'ai adoré leur road-trip et les rencontres sur le trajet, ça donne vraiment envie de faire pareil .J'ai aussi aimé le fait que le livre n'est pas donneur de leçon, qu'il n'y a pas de vengeance exercée envers celui qui a crée le concours de "boudin de l'année' . C'est vraiment un livre à mettre entre les mains d'adolescents, pour voir la vie autrement !
Un petit coup de coeur pour moi .
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Et bien non, je n'ai pas passé les dernières années sur une exoplanète ou sur une île déserte… À vrai dire, je ne sais pas comment j'ai fait mon compte. D'une manière ou d'une autre, j'ai réussi à passer à côté de ce roman dont tout le monde a déjà entendu parler. Heureusement qu'il y a ma maman à qui j'avais fait découvrir Brexit Romance l'année dernière et qui a eu la merveilleuse idée de lire, puis de me passer Les petites reines ! Alors certes, j'arrive un peu après la bataille et je ne vous cache pas que j'ai un peu hésité à publier une chronique en voyant qu'il y en avait déjà 447 rien que sur Babelio… Mais il serait dommage de se priver de partager avec d'autres le plaisir d'une lecture aussi savoureuse, non ? J'apporte donc ici ma petite goutte d'eau au moulin !

Quel personnage que celui de Mireille ! Son physique ingrat n'a d'égal que son regard acéré sur autrui, son sens de l'humour et sa répartie à toute épreuve – mais aussi sa sympathique capacité à s'enthousiasmer pour les spécialités culinaires et fromagères locales. D'une lucidité radicale, elle n'attend pas grand-chose de ses semblables et, d'une certaine manière ne peut qu'être agréablement surprise…

« Ça y est, les résultats sont tombés sur Facebook : je suis Boudin de Bronze. Perplexité. Après deux ans à être élue Boudin d'Or, moi qui me croyais indéboulonnable, j'avais tort. »

Par un extraordinaire concours de circonstances, la destinée des trois lauréates de l'infâme concours de boudin converge vers un point modal : la garden-party organisée à l'Élysée le 14 juillet. Qu'à cela ne tienne, elles y seront ! Quitte à s'y rendre à vélo et à vendre… du boudin pour financer le voyage.

J'ai passé un moment délicieux avec ce road-trip farfelu, ponctué de dialogues et de situations irrésistibles. Ce roman se lit d'un trait. Cela fait un bien fou de voir Mireille et ses acolytes tourner en dérision les stéréotypes de genre, les journalistes sans scrupules et les réseaux sociaux qui font le buzz avec tout ce qui est bon à prendre. J'ai ri, parfois jaune, souvent à gorge déployée. L'histoire est d'autant plus touchante que les émotions sont tout en retenue ; le ton exubérant ne change rien à la profondeur du propos sur le rapport au corps, la différence, la filiation, le féminisme et la valeur de l'amitié. Une lecture libératrice, savoureuse (je pèse mes mots) qui vous donne envie d'enfourcher votre vélo et de laisser opérer la magie !
Lien : https://ileauxtresors.blog/2..
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Les romans 'bonbons acidulés', c'est bon... ou ça fait grincer des dents.
Les mélanges de genres, j'ai du mal, ça demande paradoxalement beaucoup de subtilité - sucre, graisse, poivre, sel, sable... par pincées, pas par louches.
Ici, on avance avec des gros sabots - des gros pneus, puisqu'il s'agit d'un road-trip à bicyclette.

L'auteur entend dénoncer avec humour les dégâts :
- du regard pas cool sur les "gens différents" (étrangers, handicapés, gros, moches...)
- du harcèlement moral
- des réseaux sociaux
- du diktat de la beauté et de la minceur
- et même de la guerre
- et puis aussi des hommes qui abandonnent une femme enceinte.
C'est louable mais ça fait beaucoup. Surtout que Mireille, notre narratrice de quinze ans et demi, va pulvériser tout ça avec brio, générosité, un sacré coup de pédale, beaucoup de panache et un solide sens de l'autodérision, etc.

J'ai trouvé l'ensemble lourd et long, malgré quelques traits drôles et bien vus. Le 'tout le monde il est beau, il est gentil'* de la fin, déjà pressenti dans la dernière ligne droite du périple, m'a achevée...

Ce roman a été élu « meilleur livre jeunesse 2015 » par le magazine Lire. Quels étaient les autres en lice ? Qui vote ? Cette revue est-elle indépendante ? (non, bien sûr que non, elle est pleine de pubs)...

* même un ministre, un président ? allons, allons ! le livre est paru un 1e avril, mais quand même...

PS : la majorité des autres lecteurs sont beaucoup plus enthousiastes (4.24/5 de moyenne sur Babelio)
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Mireille, Hakima et Astrid ont été élues boudins de l'année. Cette distinction va contre toute attente les rapprocher et leur permettre de faire ce qu'elles n'auraient probablement jamais tenté seules .

Clémentine Beauvais met en scène trois jeunes filles, anti héros, dans le sens où elles ne correspondent en rien aux critères de beauté des ados.
Un humour décapant, de l'auto dérision, de l'amitié, un cocktail parfait pour plaire au public visé.
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A veli veli veli velo
 
Partons donc à vélo (tcha tcha tcha)
Ca sera rigolo (ah ah ah)
De voir de p'tites ados
qui pédalent dur à vélo ….

Le vélo est un thème central des petites reines
Le voyage à vélo, plutôt.
Les ados, ce sont Mireille, Hakima, et Astrid :
trois adolescentes mises à l'index sur internet.
Ce sont les proies de remarques acides …
Elles sont classées Boudins de l'année
par des adolescents qui ont mis en avant
des avis blessants, qu'ils trouvent amusants …

Face au harcèlement sur les réseaux dits sociaux,
les trois ados choisissent d'en rire
et de partir toutes trois
à vélo, vers Paris.
Mireille fait en sorte que ces remarques blessantes glissent sur elle comme l'eau sur les plumes d'un canard...

L'histoire commence donc avec la rencontre de Mireille, d'Astrid et d'Hakima.
Mireille va retrouver les deux autres lauréates
et lance sur un ton badin
qu'elles pourraient se lancer dans une course à vélo
tout en vendant du boudin.


Ce qui n'était au départ qu'une plaisanterie
devient peu à peu réalité :
Elles partent donc à l'aventure : pour un voyage à bicyclette,
toutes les trois jusqu'à Paris
Pour cela, Astrid révèle ses qualités de bricoleuse et répare de vieux vélos. D'ailleurs les outils prennent vie pendant ce petit épisode de préparation au départ.
En revanche, les parents de la jeune Hakima n'acceptent le voyage que si son frère Kader les accompagne.
Celui que Mireille surnomme le Soleil tout-au-long du roman -.

Partons donc à vélo (tcha tcha tcha)
Ca sera rigolo (ah ah ah)
De voir de p'tites ados
aller au bal masqué ….

Une carte permet de suivre le trajet des adolescentes de Bourg-en-Bresse à Paris. Lors des étapes, elles vendent du boudin...
Sur le chemin, elles participent même à un bal, et font d'innombrables rencontres.
Ce faisant, elles partagent des moments forts, des moments d'amitié …

Hakima est la plus timide. Sur le chemin, elle a ses règles pour la première fois.
Un moment d'intimité et un moment embarrassant en même temps
- où l'on aime demander conseil à d'autres ados plus grandes -.
Au cours du récit, chaque personnage mûrit.

Mireille m'a ainsi surprise. Son défi à elle, c'est de rencontrer son géniteur, son père biologique ... qui ne sait pas qu'il est son père. C'est pourquoi elle veut se rendre à l'Elysée, pour le rencontrer enfin...

Une fois donc à vélo (tcha tcha tcha)
Ca sera rigolo (ah ah ah)
De voir de p'tites ados
aller au défilé et même à l'Elysée...

- Mireille est la fille d'une enseignante en philosophie et d'un beau-père qu'elle ne cesse de rejeter. Mais à la fin du roman, elle fait preuve de maturité.


Un roman désopilant, rempli d'humour et d'émotions.
A la fin du roman, j'ai adoré le poème d'Aragon
introduit sous forme de déclaration ….
« - Tu as de très jolis yeux, déclare le Soleil en poussant mes mèches sur le côté. j'avais pas remarqué, à cause de tes cheveux qui sont toujours devant.
D'accord. D'accord.
Il m'a dit que j'avais de très jolis yeux, d'accord. (...)
tes yeux sont si profonds qu'en me penchant pour boire, j'ai vu tous les Soleil y venir se Mireille.
- Euh, pardon ?
Il répète plus lentement :
- Tes yeux sont si profonds qu'en me penchant pour boire, j'ai vu tous les Soleil y venir se Mireille. Aragon. je croyais que t'aimais les poèmes ? Moi, je me disais que ça allait te remonter le moral.
- y venir se Mireille. ?
- Se mirer. Tous les Soleil y venir se mirer. »

Il faut dire que j'aime beaucoup le poème des yeux d'Elsa

J'ai bien aimé aussi l'idée du départ : faire d'un moment négatif un moment fort et positif, faire d'un harcèlement un défi lancé à soi-même et à d'autres...
Je trouve que c'est une sacrée prouesse d'avoir introduit le poème d'Aragon dans le fil même du récit.
Ce roman est une sacrée surprise. Que j'avais évité jusque là car je ne sais pas faire de bicyclette ...
Le passage de Mireille et ses amies a illuminé tous ceux et celles qu'elles ont rencontré. C'est ainsi un roman que j'ai savouré : sa lecture m'a procuré de petits moments qui illuminent la vie de petits bonheurs...
J'ai retrouvé des moments de ma jeunesse, ceux où j'étais partie faire des études dans la ville de Bourg-en-Bresse, ou celui je découvrais le poème des yeux d'Elsa.
en terminale.
... Et comme ce roman m'a ravi, il ne me reste qu'à lire les autres livres de Clémentine Beauvais...
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