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sur 3534 notes
"L'amour dure trois ans" est un roman incisif et cynique qui explore le thème de l'amour et de la relation amoureuse. L'histoire suit le personnage principal, Marc Marronnier, un critique littéraire qui a une vision très pessimiste de l'amour et qui prétend que l'amour ne dure jamais plus de trois ans.
Tout d'abord, il convient de souligner que le style d'écriture de Frédéric Beigbeder est incisif et percutant. Il utilise un langage cru et direct pour décrire les situations les plus intimes et les plus personnelles, ce qui donne au roman une certaine authenticité et une certaine sincérité.
De plus, le personnage de Marc Marronnier est très bien développé. Il a une personnalité complexe et nuancée, et ses idées et ses réflexions sur l'amour sont très intéressantes et souvent provocantes. Sa vision cynique de l'amour peut sembler négative, mais elle est présentée de manière très réaliste et convaincante.
Le roman aborde également des thèmes importants, tels que l'infidélité, la dépression et la solitude. Frédéric Beigbeder traite ces sujets avec beaucoup de subtilité et de sensibilité, et il montre comment ces problèmes peuvent affecter la vie et les relations des personnages.
Enfin, "L'amour dure trois ans" est un roman qui peut être très drôle et qui regorge de passages amusants et ironiques. Frédéric Beigbeder utilise souvent l'humour pour atténuer la noirceur et la dureté de certaines situations, et cela donne au roman un certain équilibre.
C'est un livre que je recommande vivement à tous ceux qui cherchent une réflexion cynique et percutante sur l'amour et les relations humaines.
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" Je pense à toi tout le temps. Je pense à toi le matin, en marchant dans le froid. Je fais exprès de marcher lentement pour pouvoir penser à toi plus longtemps. Je pense à toi le soir, quand tu me manques au milieu des fêtes, où je me saoule pour penser à autre chose qu'à toi, avec l'effet contraire. Je pense à toi quand je te vois et aussi quand je ne te vois pas. J'aimerais tant faire autre chose que penser à toi mais je n'y arrive pas. Si tu connais un truc pour t'oublier, fais le moi savoir. Je viens de passer le pire week end de ma vie. Jamais personne ne m'a manqué comme ça. Sans toi, ma vie est une salle d'attente. Qu'y a-t-il de plus affreux qu'une salle d'attente d'hôpital, avec son éclairage au néon et le linoléum par terre? Est-ce humain de me faire ça? En plus, dans ma salle d'attente, je suis seul, il n'y a pas d'autres blessés graves avec du sang qui coule pour me rassurer, ni de magasines sur une table basse pour me distraire, ni de distributeurs de tickets numérotés pour espérer que mon attente prendra fin. J'ai très mal au ventre et personne ne me soigne. Etre amoureux c'est cela: un mal de ventre dont le seul remède, c'est toi. J'ignorais que ton prénom prendrait tant de place dans ma vie. "

Voilà le passage du roman qui m'a poussé à le lire. Les phrases étaient belles, bien tournées et les métaphores bien trouvées. le résumé avait l'air encourageant : l'auteur part d'une certaine noirceur de déception, de regret et de culpabilité mais avec une touche d'espoir. On s'attend donc à une nouvelle belle histoire qui surpassera la précédente.
Mais j'ai vite désenchanté.
Le roman porte son sujet sur l'amour. Autant j'ai toujours su et connu les mauvais côtés de ce sentiment, autant je ne bannirai jamais avec autant de ferveur les bons côtés qu'il possède. Je ne chercherai jamais à le dénigrer par des statistiques et des impressions aussi fatalistes. L'amour, ce n'est pas tout rose, certes, mais il n'en est pas moins tout noir.
Au fil de la lecture j'ai été prise par l'arrogance de l'auteur à vouloir faire la leçon en prétextant que ceux qui étaient contre son idée étaient dans l'erreur ou se pavaner dans l'illusion. Je n'ai rien contre les auteurs aussi sûr de soi, bien au contraire, mais quand ils ont des bons arguments en leur faveur ou une certaines connaissance dans le domaine. Frédéric Beigbeder n'est qu'un jeune homme qui manque d'expérience et qui crie haut et fort une philosophie qui ne peut pas être aussi prévisible.
Après oui, ceci est un roman. Mais ça n'empêche pas de romancer dans une nuance plus lumineuse et moins catégorique.
L'esprit du livre a fini par me désespérer, et sans y avoir une utilité. Surtout si tout au long des pages il dit une maxime pour finalement la contredire les deux dernières pages. Hormis pour cracher sur l'amour lorsqu'on n'a pas la chance de le rencontrer, je ne vois aucun intérêt à lire "L'amour dure trois ans".

Pour les structures, la forme et la richesse des mots, je suis mitigée.
De nombreuses bonnes tournures de phrases, mais mélanger à une familiarité et vulgarité qui n'entre pas souvent dans la situation et l'ambiance du texte. le vocabulaire ne se répète pas, alors lire le récit n'est pas désagréable de ce côté. D'ailleurs, la lecture en elle-même n'est pas compliquée.

Un livre simple, mais sans plus. Et personnellement, cela faisait longtemps que je n'avais pas lu un roman aussi décevant après une aussi grande attenante...
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Une jolie surprise que ce livre.
L'histoire d'un couple qui bat de l'aile, Marc et Anne. Marc est tombé amoureux d'une autre femme, Alice, qui le repousse plus ou moins et qui est elle-même mariée.
En fait l'auteur apparaît plus que fréquemment au travers de Marc, on a majoritairement l'impression que Beigbeder s'adresse directement à nous.
Je disais donc, ce roman est une très jolie surprise. Tout d'abord, je vous l'avoue, je n'aime pas particulièrement le personnage qu'est Beigbeder, il a même tendance à m'insupporter lorsque je tombe sur lui à la télé. Or, j'ai beaucoup aimé la distance, le recul, l'auto-dérision dont il fait preuve. Il ne cesse de dédramatiser ce qu'il raconte, et je me suis surprise à sourire à de nombreuses reprises. le ton est léger, c'est très agréable à lire et je l'ai véritablement dévoré. La plume est acérée, agile, les chapitres sont courts.
J'ai beaucoup apprécié la réflexion développée au sujet de l'amour, devenu une sorte de produit de consommation dont on se lasse vite. On suit le cheminement du narrateur à propos de sa fameuse thèse de l'amour qui durerait trois ans seulement, et c'est particulièrement intéressant. J'ai aimé le cynisme, l'humour dont Beigbeder fait preuve à propos de sa vie de fêtard, de mondain.
Le livre est incroyablement frais, moderne, dans l'air du temps et porte un regard satirique sur les hommes et leurs histoires d'amour. Il traite de la routine qui s'installe, du fait qu'une femme est toujours plus plaisante lorsqu'elle ne nous appartient pas, de la rencontre, de la passion, de la jalousie... Des thèmes somme toute très universels. Au final, l'auteur termine par une jolie pirouette.
Je me répète mais j'ai vraiment été agréablement surprise, j'ai eu bien du mal à lâcher le livre avant de l'avoir finit et ma lecture fut vraiment plaisante.
Lien : http://lantredemesreves.blog..
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J'ai passé un bon moment à la lecture de ce livre. N'ayant lu que "Windows on the world", je n'était pas encore vraiment familiarisé avec le monde de Beigbeder. Avec "L'amour dure trois ans", je cerne un peu plus le personnage. Je comprends qu'il puisse paraître antipathique même si on peu lui trouver un certain intérêt dans la description de ce monde nocturne parisien médiatique. L'histoire amoureuse qu'il y insère, autobiographique ou non, m'a assez amusé, sans plus. Car, passé les premiers chapitres, on découvre bien vite qu'il n'y a plus rien à découvrir. A grands renforts de références et de phrases choc, venues de la pub, il nous fait part de ce que tout le monde connait déjà : les affres d'une passion amoureuse qui se termine. Ce qui dure trois ans et souvent beaucoup moins, ce n'est bien évidemment pas l'amour, mais la passion. Ce qu'on peut déplorer, mais que l'on finit par accepter avec un peu de maturité. Visiblement, Beigbeder le sait très bien, mais il feint de l'ignorer pour se mettre en scène dans son rôle de pauvre petit homme ballotté par ses ses désirs et les femmes. En résumé, c'est un livre qui se lit très bien, qu'il ne faut surtout pas prendre trop au sérieux, juste se laisser aller à cette lecture que l'on oubliera assez vite.
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Ce livre est tout simplement génial, une pépite !
Malheureusement il aura fallut que je regarde la film pour ensuite acheté le livre.

Que de surprises venant de ce roman. Frédéric Beigbeder m'a fait rire avec son humour et cette ironie ! J'ai vraiment aimé ! Il manie les mots d'une telle façon, il a joué avec mes sentiments tout le long du livre, et m'en a presque fait rire aux larmes.
Toujours en employant l'humour et la caricature, il illustre la solitude de l'homme et son besoin constant d'être entouré et de triompher de la solitude, de l'ennui, du sexe, du mariage, de la société et tout ce qui peut l'englober.

Pour vous la faire courte, j'ai adoré et j'ai totalement adhéré avec cette touche d'ironie, à ce style vraiment singulière. J'ai ri un nombre incalculable de fois !

Je suis le conseil vraiment, à ses sans modérations, et si jamais vous n'avez pas le courage de lires ces 230 petites pages, regardez au moins le film (réalisé par l'auteur en personne). Je recommande !
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Avec L'amour dure trois ans, Beigbeder nous fait encore la démonstration de son talent d'ex-publicitaire. L'amour dure trois ans, vraiment ? Et après ça, qu'est-ce qu'on trouve ? Beigbeder répond à son lecteur sur le même ton mordant mais toutefois désenchanté qui avait fait sa marque de fabrique dans 99F.

« Un moustique dure une journée, une rose trois jours. Un chat dure treize ans, l'amour trois. C'est comme ça. Il y a d'abord une année de passion, puis une année de tendresse et enfin une année d'ennui. »

C'est irrémédiable, on ne peut rien y faire, et après un nouveau divorce avec la femme qu'il s'était promis d'aimer, Marc Marronnier (derrière qui se cache Beigbeder) décide de faire du titre de son livre son nouvel adage. Plus de déceptions maintenant, c'est promis : en sachant dès le début que toute nouvelle passion sera périmée au bout de trois ans, il espère ne plus jamais s'effondrer à chaque nouvelle séparation. Et c'est avec cette idée en tête que Marc se lance dans une nouvelle histoire, déployant toute l'ambivalence de ses sentiments : celle-ci, il en est sûr, c'est la femme de sa vie, mais ça ne durera pas plus de trois ans…

« Après trois ans, un couple doit se quitter, se suicider, ou faire des enfants, ce qui sont trois façons d'entériner sa fin. »

La première partie du livre est mordante à souhait. Beigbeder démonte toutes les hypocrisies de la vie matrimoniale et fait ressurgir, avec une honnêteté dans laquelle chacun pourra se retrouver à un moment ou à un autre, tous les travers de la vie en couple.

« Je me suis mis à repousser la main d'Anne sans arrêt. Elle me prenait gentiment la main, ou le bras, ou bien posait sa main sur ma cuisse quand nous regardions la télé, et moi que voyais-je ? Une main molle, blanchâtre, avec la consistance d'un gant Mappa. Je frissonnais de dégoût. C'était comme si elle posait un poulpe sur moi. »

Au fil des pages et de ses rencontres, Beigbeder étaye quelque peu sa vision des choses. Il prend du recul et commence à accepter l'idée d'une vie commune qui ne peut pas être passionnée et enivrante tous les jours. A travers la dénonciation d'une société qui prône l'apparence du bonheur avant le bonheur lui-même, la jouissance de tous les instants et l'impossibilité du malheur, Beigbeder détruit l'idéal de l'amour tel qu'on le lui a imposé pour mieux réfléchir à ce qu'il attend vraiment de la vie en couple.

« Plus on cherche à être passionné et plus on est déçu quand ça s'arrête. Ce qu'il faut, c'est chercher l'ennui, comme ça tu seras toujours surpris de ne pas te faire chier. La passion ne peut pas être « institutionnelle », c'est l'ennui qui doit être la normale –et la passion une cerise sur le gâteau. »

« Autrefois, les mariages résistaient à ce genre de passades. Aujourd'hui les mariages sont des passades. La société dans laquelle nous sommes nés repose sur l'égoïsme. Les sociologues nomment cela l'individualisme alors qu'il y a un mot plus simple : nous vivons dans la société de la solitude. Il n'y a plus de familles, plus de villages, plus de Dieu. Nos aînés nous ont délivrés de toutes ces oppressions et à la place ils ont allumé la télévision. Nous sommes abandonnés à nous-mêmes, incapables de nous intéresser à quoi que ce soit d'autre que notre nombril. »

Les réflexions sont parfois un peu faciles et semblent couler de source, mais même si Beigbeder n'invente rien, cela fait toujours du bien de relire des vérités premières.
Malheureusement, la dernière partie du livre s'embourbe dans un ton mielleux plutôt étonnant pour l'écrivain. Tout à fait surprenant (dans le mauvais sens) Beigbeder se met à nous conter son histoire de prince et de princesse charmants évoluant au milieu des prés en fleurs, riant et s'ébattant dans la paille avant de regarder un coucher du soleil en sirotant un cocktail… Ceci sans ironie aucune, cette idylle d'êtres humains à la Adam et Eve –sans aucunes contraintes d'ordre familial, professionnel, social ou quelconque…- seulement menacée par le spectre des trois ans…
Alors bon, oui, d'accord, ça peut faire du bien de lire un Beigbeder qui, pour une fois, ne tape pas sur tout comme un gamin énervé, mais quand même, cette histoire est un peu trop con pour qu'on y croie. Et comme je préfère Beigbeder en méchant publicitaire plutôt qu'en gentil conteur de fées, je préfère n'en retenir que les passages les plus truculents… :

« Voilà un test très simple pour savoir si vous êtes amoureux : si au bout de quatre ou cinq heures sans votre maîtresse, celle-ci se met à vous manquer, c'est que vous n'êtes pas amoureux –si vous l'étiez, dix minutes de séparation auraient suffi à rendre votre vie rigoureusement insupportable. »

« […] faire l'amour est tellement plus agréable quand on est amoureux. Cela donne aux femmes l'impression que les préliminaires durent plus longtemps, et aux hommes l'impression qu'ils passent plus vite. »

"Il n'y a pas de femme moche, il n'y a que des verres de vodka trop petits."

« A part une casserole de lait qui déborde, il n'y a pas grand-chose sur terre de plus sinistre que moi. »

A bon entendeur !
Lien : http://colimasson.over-blog...
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Emprunté à la médiathèque, c'est à reculons que j'ai commencé à le lire ! Et bien celui ci est une jolie surprise !
Ce livre que j'ai trouvé un peu brouillon m'a beaucoup plu ! Tout ce que l'auteur nous raconte se vérifie, certaines paroles m'ont beaucoup touché !
Y a pas beaucoup à dire de ce livre, il faut le lire ! (sauf si vous sortez d'une histoire ou que vous n'avez pas le moral).
Donc voila une petite lecture du dimanche bien agréable !
Lien : http://coupdecoeur-morgane.o..
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J'ai été un petit peu déçu par "L'amour dure trois ans". Il serait faux de dire que je n'ai pas aimé ; mais, je demeure assez partagé.
On peut diviser "L'amour dure trois ans" en deux parties.
La première partie de "L'amour dure trois ans", m'a beaucoup plu. C'est un texte acide, sardonique, la critique sociale légère et grave en même temps, d'un homme désarçonné face à l'absurdité, face à la bêtise, face aux erreurs du monde dans lequel il vit. le ton apparemment léger ne réussit pas à le cacher : Frédéric Beigbeder met son mal-être tout entier dans cette première partie, et ça donne une première partie, étonnante, surprenante, qui rappelle un petit peu Houellebecq, mais avec un côté plus léger et plus désinvolte.
Hélas, la seconde partie ne suit pas. Elle n'est pas entièrement désagréable, c'est vrai. le style de l'auteur est facile à lire, fluide, si bien qu'on ne s'ennuie jamais vraiment. Mais, pourtant, je demeure convaincu, que pour écrire un bon livre, il faut une histoire ayant un minimum de consistance, c'est-à-dire une histoire ayant un minimum de l'originalité, capable de m'intéresser un minimum. Hors, autant dans la première partie, le propos de Frédéric Beigbeder était fort intéressant, autant l'histoire d'amour un peu fade que ledit Beigbeder met en scène dans sa deuxième partie, m'est apparue comme nettement moins digne d'intérêt. Elle m'a semblé manqué affreusement d'originalité et j'ai eu l'impression que Beigbeder a perdu de sa verve, dans cette histoire d'amour, somme toute, assez banale, qui ne m'a pas semblé cohérent, en accointance, avec le reste du livre, qu'elle tend à décrédibiliser.
L'intérêt de "L'amour dure trois ans" réside donc, à mes yeux, dans la critique de moeurs que Beigbeder, sur un ton léger et désinvolte, nous livre dans la première partie, et non pas dans l'histoire d'amour assez fade de la deuxième.
Un ressenti partagé, donc…
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« L'amour dure trois ans » est un de ces romans caustiques, lu avec plaisir tellement les turpitudes du protagoniste principal sont savoureuses.
C'est drôle même si l'ironie sur l'amour dans notre société laisse un goût amer. Honnêtement, chacun pourra retrouver à un moment ou à un autre, les travers de sa vie conjugale.
J'adhère à la vision et à l'humour désillusionné de Frédéric Beigbeder sur les choses de la vie. Il a un style bien à lui, très nombriliste, il n'invente rien mais je retrouve son sens des formules, ses scènes tragiques et comiques à la fois, sa critique sur la légèreté de notre société de consommation. Un vaudeville !
Lu en une après-midi à la plage sans aucune autre prétention que de passer un bon moment.

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On aime ou on aime pas... j'ai choisi mon camp!
Apres un avis mitigé sur 99fr, j'ai définitivement rayé Beigbeder de mes auteurs à lire avec L'amour dure trois ans. C'est cru, voire cruel, c'est négatif (je n'ai même pas réussi à croire à sa micro touche positive en toute fin de roman), c'est décousu (et j'aime pas les romans décousus!)... Bref, ca n'est pas pour moi!
Bon allez, une seule petite étoile quand même...parce que je me rappelle avoir esquissé un sourire à un moment donné!
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