Du Brésil où il est installé depuis 1938, Georges Bernanos suit les événements d'Europe : la, guerre déclenchée en 1939, la déroute de 1940, l'armistice signé par Philippe Pétain. Il est de ceux qui n'admettent pas de voir le pays livré à la discrétion de l'hitlérisme. De ceux qui ne pardonnent pas à un maréchal de France d'avoir souscrit si vite à la défaite. De ceux, enfin, qui ont pris le parti de la Résistance et de son animateur, Charles de Gaulle.
Il mu... >Voir plus
il est bon qu'il y ait des anarchistes pour cracher à la figure des lâches qui nourrissent l'abject espoir d'être, de la naissance à la mort, entretenus par l'ETAT