Une invitation à suivre des réflexions sur les origines de l’écologie, le privé, le public, le commun à l’ère de l’anthropocène dans un urbain généralisé où l’analyse comparatiste, menée entre Orient et Occident, s’avère lumineuse, et permet de mieux cerner en quoi l’écoumène est bel et bien la possibilité d’habiter la Terre.
Ouvrage inédit qui s’appuie sur quelques restitutions de conférences données sur la mésologie urbaine.