Roger BornicheBorniche story tome 1 sur 2
/5 5 notes
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Résumé :
"Si j'ai eu affaire à des truands retors, vicieux, dangereux, j'ai aussi rencontré des hommes pour lesquels j'éprouve estime et amitié. Et si ce comportement n'est pas celui d'un flic normal, c'est que m a première vocation était de griller les planches."
Des planches aux planques, c'est toute la tragi-comédie de sa vie, de ses débuts à ses enquêtes les plus délicates et aux affaires criminelles les plus retentissantes de l'après guerre (Jo Attia, de la bande... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (1)
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Roger Borniche, natif d'un petit village de l'Oise, près de Chantilly, voulait devenir comédien au grand désespoir de sa famille. Il est devenu policier puis écrivain.
Dans ce livre, il nous raconte ses débuts à Paris. Il se distingue rapidement en arrêtant des gangsters célèbres d'après-guerre : René la canne, Pierrot le Fou, Jo Attia, le gang des tractions.
J'ai lu très rapidement ce livre. Borniche raconte bien ses histoires. Il utilise beaucoup le "jargon" policier et la langue des voyous.
En lisant cet opus, on sent le respect, voire l'admiration du flic pour certains bandits qu'il a arrêtés.
Le destin de deux gangsters m'a particulièrement ému. Claudius Liogier qui s'évade à de multiples reprises et Emile Courgibet, assassin qui va voyager au quatre coins de la planète et avoir une vie paisible aux USA pendant trente ans avant d'être rattrapé par son passé. le parcours de ce dernier pourrait faire l'objet d'un roman ou d'un film à lui tout seul.
Dans ce livre, il nous raconte ses débuts à Paris. Il se distingue rapidement en arrêtant des gangsters célèbres d'après-guerre : René la canne, Pierrot le Fou, Jo Attia, le gang des tractions.
J'ai lu très rapidement ce livre. Borniche raconte bien ses histoires. Il utilise beaucoup le "jargon" policier et la langue des voyous.
En lisant cet opus, on sent le respect, voire l'admiration du flic pour certains bandits qu'il a arrêtés.
Le destin de deux gangsters m'a particulièrement ému. Claudius Liogier qui s'évade à de multiples reprises et Emile Courgibet, assassin qui va voyager au quatre coins de la planète et avoir une vie paisible aux USA pendant trente ans avant d'être rattrapé par son passé. le parcours de ce dernier pourrait faire l'objet d'un roman ou d'un film à lui tout seul.
Citations et extraits (3)
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Tout le monde est noté au fichier central, les innocents comme les coupables. Les innocents, c'est à dire vous et moi, lorsqu'ils font une demande de passeport, de carte d'identité ou de permis de chasse. Ils sont là parce que la police estime avec sagesse que les innocents se transforment parfois en coupables et qu'il est préférable de tout savoir sur eux à l'avance. Sans parler des dossiers tenus par la direction des renseignements généraux sur tout individu appartenant à un parti politique, à un syndicat ou à une quelconque association de pêcheurs à la ligne !
- Si vous me laissez filer, huit cent mille francs pour vous, propose Liogier à l'inspecteur qui procède seul à son audition dans les locaux du commissariat.
Le policier feint de jouer les corrompus :
- D'accord mais ce pognon, tu vas le trouver où ?
- Vous en faites pas. Vous me lâchez et dans moins d'une heure je vous l'apporte, parole d'homme. De toute façon je n'y resterai pas longtemps, en cage. Le fric, ça ouvre toutes les portes.
Le policier feint de jouer les corrompus :
- D'accord mais ce pognon, tu vas le trouver où ?
- Vous en faites pas. Vous me lâchez et dans moins d'une heure je vous l'apporte, parole d'homme. De toute façon je n'y resterai pas longtemps, en cage. Le fric, ça ouvre toutes les portes.
Bernard Lirola avoue donc avoir tué Baudine "pour rendre service à Jo Gardan" qui, au mois de juin, souhaitait régler son compte à un gars qui en savait trop.
"Je n'aime pas laisser un phonographe derrière moi", lui aurait-il déclaré.
"Je n'aime pas laisser un phonographe derrière moi", lui aurait-il déclaré.
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Roger Borniche, écrivain et ancien de la Police Nationale nous raconte sa vie en Californie et ses projets. 2009
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