on lègue ce que l'on méconnaît à une clairière intérieure
comme le paysage on écoute
le chant d'automne d'une mésange
pas plus que les feuilles le calme ne persiste dans son flux lumineux
où l'ombre d'une envergure recouvre ce que l'on croit savoir
on reste là
le regard perdu dans un ciel
persécuté par les oiseaux