AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
3,64

sur 174 notes

Critiques filtrées sur 5 étoiles  
Second opus des enquêtes d'Oscar Wilde et sans hésitation.... UN RÉGAL !!!!

Dans ce second tome, Oscar Wilde organise un dîner avec quelques amis à son club Socrate. Lors de ce repas, Oscar propose à chacun de jouer au jeu de la mort : pour cela, chaque convive doit marquer sur un bout de papier le nom d'une personne qu'il aimerait voir mourir. Aux autres ensuite de trouver qui a désigné telle ou telle personne. Ce jeu au départ ludique et amusant se transforme dès le lendemain matin en faits : la première victime désignée est retrouvée brûlée vive, le surlendemain, le second est retrouvé mort dans son lit et le troisième est assassiné et déplumé :P (ah oui... le troisième est un perroquet). Oscar décide de mener l'enquête avec l'aide d'Arthur Conan Doyle, Bram Stoker... sachant qu'il fait partie des futures victimes désignées, ainsi que son épouse Constance...


Avec les séries, la crainte est d'être déçue puisque nous avons comme comparaison le premier livre. Là, ce n'est pas du tout le cas... au contraire, ce tome 2 "Oscar Wilde et le jeu de la mort" est sans hésitation le meilleur des deux.
L'intrigue proposée par Gyles Brandreth est un jeu de déduction, de recoupement de faits afin de trouver le ou les coupables. L'auteur s'amuse sciemment avec le lecteur le conduisant sur une piste avant de tout nous dévoiler. C'est purement machiavélique et bon.
Comme toujours, nous sommes gâtés en ce qui concerne les personnages de ce livre : entre Oscar Wilde le Mycroft-Sherlock Holmes de ce récit, Arthur Conan Doyle, Bram Stoker, le lecteur est envoyé dans le passé pour un moment fabuleux.


Une intrigue à couper le souffle avec des meurtres machiavéliques.... mais par-dessus tout, un grand bravo à Gyles Brandreth qui, au travers de ce livre (et des autres de la série permet au lecteur de manière intelligente de découvrir un petit aspect de la biographie d'Oscar Wilde. Très rapidement, ce n'est plus un nom mais un être vivant qui prend forme dans notre esprit.
Gyles Brandreth a su apporter une dimension passionnante à Oscar Wilde en lui donnant un peu de la personnalité de Sherlock Holmes et l'attitude dilettante de Mycroft Holmes. Nous retrouvons au sein du livre de multiples allusions ou emprunt à l'oeuvre de Doyle comme le nom du Club Socrate (Diogène dans l'oeuvre de Conan Doyle), des échanges entre l'auteur de Sherlock et Oscar où il fait part de sa lassitude à écrire encore un Sherlock Holmes et son désir de passer à autre chose. On se régale et on en redemande !!!

Ce roman propose également une immersion dans le Londres de la fin du XIXe. Gyles Brandreth nous fait découvrir des problèmes de société dont on parle peu aujourd'hui comme la mort de femme au sein de leur foyer après combustion de leurs vêtements trop longs et larges.... les prémisses des règles que Queensberry instaurera pour faire de la boxe un sport moins barbare... Ne parlons pas des moeurs en vigueur comme l'interdiction de l'homosexualité condamnée par une loi spécifique, les disparités flagrantes entre les riches qui dépensent en heure ce que gagne un pauvre en 3 mois.


Pour résumer : ce livre est sans hésitation à lire. Je suis complètement charmé par cette série. ^^
Commenter  J’apprécie          1043
Une vraie jubilation, ce livre! Prêts pour une promenade londonienne en cette fin 19ème siècle, en compagnie du génial Oscar Wilde? Allez, en route!

C'est la première enquête de Gyles Brandreth que je lis, la deuxième dans l'ordre, et on identifie tout de suite que l'auteur est un passionné de notre dandy irlandais. Mêlant faits biographiques réels et invention policière, il nous emmène dans l'univers mouvementé et excentrique d'Oscar, parsemant avec malice les conversations de ses célèbres aphorismes. Nous sommes en 1892. Il connaît un grand succès avec sa pièce de théâtre " L'éventail de Lady Windermere " . Avec ses amis, il se réunit pour un dîner dans un hôtel, et propose un jeu macabre: chacun doit désigner sur un papier, qui sera ensuite tiré au sort, une personne qu'il aimerait tuer...

Mais le jeu se révèle être pris très au sérieux par un mystérieux criminel qui s'évertue à envoyer ad patres presque toutes les victimes désignées. Conan Doyle a beau faire partie de ses proches, ce n'est pas lui qui mènera l'enquête mais bien Oscar, qui observe tout et en tire des conclusions, un Hercule Poirot avant l'heure, mais nettement moins discret, avec ses vêtements aux couleurs vives et sa propension à boire du champagne, du bourgogne blanc à longueur de journée...

J'ai suivi avec plaisir ses déambulations à travers Londres, et retrouvé parfaitement exprimés son goût des réparties, sa vivacité d'esprit, son audace, j'ai observé en sa compagnie cette fin de siècle bien restituée. L'auteur connaît vraiment tout de sa vie et c'est malin de sa part d'opter pour un narrateur interne, un ami d'Oscar Wilde, qui a vraiment existé, Robert Sherard, cela donne plus de finesse et de piquant au récit. Superbe idée de faire jouer à Oscar les détectives, je suis sûre qu'il aurait adoré !

Commenter  J’apprécie          523
Quel plaisir de découvrir le monde d'Oscar Wilde. Sa vision de la vie, des choses, de ses congénères, ses bons mots sont un ravissement. Et même si je le trouve un peu prétentieux et affable, même si l'enquête est un peu légère, le fait de rentrer directement dans le livre, de revêtir une robe de l'époque et de me retrouver à courir derrière Oscar et ses amis, m'ont fait oublier un temps mon quotidien et mon époque. le jeu de la mort est un jeu dangereux…. Surtout quand les amis ont des ressentiments qui restent des non-dits !
Lien : http://pyrouette.canalblog.c..
Commenter  J’apprécie          150
Londres, du 1er mai au 14 mai 1892,

Deux ans après la première enquête racontée, Robert Sherard reprend la plume pour relater les évènements qui ont précédé la soirée au Club Socrate…

Sherard, d'un coin de la pièce, voit les différentes personnes invitées à partager la table d'Oscar Wilde, son ami, qui, à cet instant, se fait lire les lignes de la main par Mrs. Robinson, une chiromancienne. Au sursaut brusque d'Oscar, les prédilections ne semblent pas être heureuses ! Chaque premier dimanche du mois, dans une salle à manger du Cadogan Hôtel, Oscar Wilde retrouve quelques amis pour combler le vide et la monotonie qui l'étreint de plus en plus. Nommé "Le Club Socrate", cette réunion compte six membres, alliant les Lettres à la Science ; Oscar, Conan Doyle, Bram Stoker, Walter Sickert, Lord Alfred Douglas et Robert Sherard.
Ce soir-là, chaque membre a convié une personne ; ami, connaissance, parent. Avec Mr. Byrd, le secrétaire du club et son invité, la table compte quatorze couverts.
Après un repas riche en mets et en paroles, Oscar, inspiré par les présages funestes de Mrs. Robinson, propose un jeu, "le jeu de la mort". Sur un papier, chacun devra écrire le nom de la personne qu'il souhaiterait voir mourir.
Seul Conan Doyle ne trouve pas goût au jeu et l'atmosphère se charge de malaise à chaque tirage, car si certains ont choisi un dieu, une métaphore ou un personnage fictif, d'autres ont pris des cibles bien trop présentes…

. Miss Elizabeth Scott Rivers, ancienne fiancée du révérend George Daubeney,
présent à la soirée, invité de Robert Sherard
. Lord Abergordon, parrain de Lord Drumlaring,
présent à la soirée, invité de son frère Lord Alfred Douglas, dit Bosie
. Capitain Flint, le perroquet de l'hôtel
. Sherlock Holmes, personnage fictif de Conan Doyle,
. Mr. Bradford Pearse, un acteur, présent à la soirée, invité par Walter Sickert
. David McMuirtee, un boxeur dont le nom a été inscrit sur quatre papiers,
présent à la soirée, invité par Mr. Byrd
. le temps
. Eros
. Une feuille vierge
. Oscar Wilde et
. Constance Wilde, sa femme.

Le jeu ayant dépassé ses limites, tous souhaitent se retirer. Mais en tant que président, Oscar insiste. Il veut approfondir la question. La plaisanterie vire à la farce macabre et le nom de sa femme sur un bout de papier lui laisse un sentiment amer, bien plus que pour le sien.
"Ce qui est dit dans l'ivresse a été pensé dans la sobriété."

Cette soirée ne fut au final, pas une réussite et comme Oscar le clame à ses compagnons, il faut l'oublier et passer à autre chose… Donner à manger aux canards, faire de la sculpture… L'ennui est un terrible ennemi car il ponctue le temps qui passe.

Le lendemain, ce désoeuvrement va vite être enrayé. le bon révérend George Daubeney déboule chez Oscar dans une panique de larmes et de balbutiements.
"- Miss Elizabeth Scott-Rivers !… cria-t-il. La jeune femme qu'hier soir j'ai déclaré vouloir assassiner… elle est morte ! Brûlée vive."
Parfois la coïncidence offre des perspectives malheureuses. Mais peut-on parler de hasard, lorsque un synchronisme s'enclenche dans une deuxième mort, celle de Lord Albergordon ?
Si le meurtrier s'applique à éliminer les quatorze noms tous les jours, cela sous-entend que le vendredi 13, le tour sera pour Oscar Wilde.

Assisté de ses amis, Doyle et Sherard, et avec la complicité de l'inspecteur Archy Gilmour, Oscar se livre à une de ses passions… les déductions.

Voici alors, entre nos mains, la deuxième enquête du brillant Oscar Wilde !
Depuis bientôt neuf ans que le narrateur connaît Oscar, une amitié fidèle et fraternelle, mais il est toujours surpris par le personnage. Familier du ménage des Wilde, il voue une admiration pour la belle et dévouée Constance. Constance qui est constante dans son amour pour son illustre mari. Cependant, lui, l'est beaucoup moins… C'est en confidence qu'il avoue à Robert que leurs sept années d'union commencent à le désenchanter. Oscar recherche le beau, la jeunesse et le mouvement et, tout en aimant sa femme, il la délaisse pour d'autres distractions.
Cette intrigue est peut-être moins puissante que la précédente, mais elle a son rôle dans un décor historique riche de ses personnalités ; notables, politiciens, comédiens, peintres, écrivains… et je l'ai lue avec une belle attention. J'aime recueillir après mes lectures, des recherches sur l'époque et sur les protagonistes.
J'ai donc apprécié cette fin de siècle lorsque l'auteur écrit les débuts du téléphone et autres inventions, j'aime lorsqu'il décrit les tenues d'Oscar, fleurs de boutonnières incluses, la peinture de la société, ses mondanités, ses richesses et ses misères, je suis toujours sensible aux élucubrations wildiennes, son humour et sa noirceur et je suis ravie d'avoir retrouvé Doyle et Sherard.
Commenter  J’apprécie          40
En début de semaine, j'ai fini ce petit ouvrage, roman policier particulier puisque le détective est ... Oscar Wilde!
D'abord sceptique, comme toujours, aux essais de faire intervenir des personnages réels, mes premiers doutes ont été abattus quand j'ai su que l'auteur n'était autre que le biographe officiel De Wilde. Donc, ce ne serait pas trop fantaisiste au niveau factuel (comme ont tendance à le faire certains auteurs dont je ne citerai pas le nom ici ...)

Et puis je me suis laissée emportée par le texte, et je ne l'ai refermé que quelques heures plus tard, terminé !

La trame est simple : dans les premières pages, nous assistons à un dîner donné par Wilde pour tromper l'ennui d'un dimanche monotone, au cours duquel il lance un jeu : chacun doit écrire le nom d'une personne qu'il souhaiterait voir morte. Or, dès le lendemain, la première personne inscrite meurt ...

Au-delà de la trame policière, bien menée (alors que je suis pas fan des livres policiers) c'est surtout le contexte dans lequel il retrace cette enquête qui est intéressant : Wilde, sa famille, ses amis, son travail et la société victorienne de la fin du 19e siècle. Un régal pour tous ceux qui aime la littérature, et, comme moi, Oscar Wilde.

Bref, moins que l'enquête en elle-même c'est surtout la galerie savoureuse de portraits que Brandeth nous offre : un reflet de l'esprit génial, de l'extravagance De Wilde; des doutes de Conan Doyle sur son personnage, etc. Pendant quelques deux cent pages, on est plongé dans un monde littéraire, fait de bons mots et d'esprits brillants.

Et ça fait du bien.

Incursions dans le livre :

"N'ambitionnez pas le génie, Willie. le public britannique est merveilleusement tolérant mais il a ses limites. Il pardonne tout, sauf le génie.

"On ne trouve nulle part autant de vrais sentiments et de mauvais goût que dans un cimetière."

"Il est enterré au Père-Lachaise.
- Cela ne veut rien dire, rétorqua Oscar d'un ton dédaigneux. On y met n'importe qui."

"Vous êtes extraordinaire, Oscar.
- Il me plaît de le penser, approuva-t-il d'un ton joyeux."
Lien : http://missbouquinaix.wordpr..
Commenter  J’apprécie          30
Oscar Wilde et le jeu de la mort est un roman policier de Giles Brandreth paru dans la collection Grands détectives de 10/18 en février 2009 (461 pages, 13,50 €, ISBN 978-2-264-04650-5). Contrairement aux autres parutions poche de cet éditeur, celui-ci est broché et de plus grande taille (12,7 x 19,8 cm).

Oscar Wilde and the ring of death (2008) est traduit de l'anglais par Jean-Baptiste Dupin.

Du même auteur chez le même éditeur : Oscar Wilde et le meurtre aux chandelles, premier tome de la série Oscar Wilde murder mysteries (www.oscarwildemurdermysteries.com) et donc que j'aurais dû lire avant...

Plus d'informations sur l'auteur sur son site officiel (en anglais).


Extrait de la préface de Robert Sherard, écrivain et ami d'Oscar Wilde rédigée en 1939 : « [...] Notre première rencontre eut lieu à Paris en 1883. Il avait alors vingt-huit ans [...] je n'avais que vint-et-un ans [...]. Nous nous vîmes pour la dernière fois en 1900, de nouveau à Paris [...]. Les dix-sept ans que dura notre amitié, j'ai tenu le journal des moments que nous avons partagés. [...] En 1902, je devins son premier biographe. [...] Ce que j'écrivis était la vérité, rien que la vérité, mais pas toute la vérité. [...] Révéler tout ce que je sais à propos d'Oscar Wilde, poète, dramaturge, ami et détective […]. » (pages 11 et 12).


Le 1er mai 1892, au « 16 Tite Streat à Chelsea, demeure d'Oscar et Constance Wilde » et de leurs deux fils, Cyril (7 ans) et Vyvyan (5 ans et demi). Constance a organisé un apéritif afin de récolter des fonds auprès des amis du couple pour la Rational Dress Society.

Le soir, Oscar Wilde et ses amis se retrouvent pour le Club Socrate, créé en début d'année car « Socrate nous a enseigné que le savoir était le seul bien et l'ignorance le seul mal. » (page 45).

[...]
Lien : http://laculturesepartage.ov..
Commenter  J’apprécie          30
Après avoir lu et adoré "Oscar Wilde et le meurtre aux chandelles", je n'ai pas été déçu par le deuxième volet. Une fois de plus, Brandreth nous offre une intrigue policière alléchante, mais également et ça n'a pas de prix une intrusion dans la vie d'Oscar Wilde. A chaque volet, l'histoire se déroule sur la trame d'un roman célèbre, dans le premier : le portrait de Dorian Gray, dans celui ci : l'éventail de Lady Windermere.
Pour résoudre cette enquête Oscar Wilde va s'entourer de son ami Robert Sherard, d'Arthur Conan Doyle mais également de Wat Sickert.
Pour l'histoire, lors d'une soirée organisée au Club Socrate, Oscar Wilde propose un jeu, le jeu de la mort. Chaque convive doit inscrire sur un bout de papier, et ce de façon anonyme, le nom de la personne qu'il voudrait tuer. Mais dès le soir même la mort frappe les victimes désirées et ce dans l'ordre exact.
Parmi les noms des victimes potentielles figurent celui d'Oscar et de Constance Wilde, ce qui ne gâche rien, bien au contraire.
Une intrigue bien menée,ainsi qu' un personnage central dont le charme, les joutes verbales, l'espièglerie ne cessent de nous charmer.
Que pourrais je dire de plus si ce n'est à quand le prochain volet !!
Commenter  J’apprécie          30
Deuxième tome des aventures d'Oscar, et tout aussi génial que le premier, si ce n'est plus (la présence de Bosie n'y est pour rien :p (ou pas))

Beaucoup plus difficile pour deviner le coupable que le premier, j'avais cependant trouvé quelques éléments et j'en suis TRES fière et ouais =D ! Enfin voilà j'ai adoré.
Par contre la toute fin m'a laissé un goût amère dans la bouche, et l'ironie de la dernière phrase m'a tué. C'était très sadique, et je regrette vraiment qu'un homme comme Oscar Wilde ait dut faire de la prison (et soit mort, tout court) !

A lire donc =D à la suite du premier bien évidemment. (Encore que soyez fou, il n'y a pas l'air d'avoir vraiment d'ordre si l'envie vous prends de commencer par le tome 2 =D)
Commenter  J’apprécie          20
Voilà une série que j'adore ! Ma découverte des écrits de Gyles Brandreth autour d'Oscar Wilde, a débuté avec ce roman (le 2e de la série, mais ça ce n'est qu'un détail !)
Le personnage central n'est autre que le dramaturge Oscar Wilde, les personnages l'entourant sont des noms connus comme Sir Arthur Conan Doyle...vous mixez ces personnages réels avec des histoires de crimes, et ça donne cette série, finement écrite, richement documentée sur la vie d'Oscar, sur la société de l'époque, si rigide !
Oscar lance un jeu lors d"une réunion de son groupe d'amis : chacun dit qui il aimerait voir mort, en inscrivant le nom sur un bout de papier, et les noms sont ensuite piochés au hasard, pour déterminer l'ordre des disparitions...le jeu devient moins drôle quand le nom de convives apparaissent, encore moins quand il y a celui d'Oscar Wilde, et celui de sa femme !
Et c'est encore moins drôle quand les premières personnes nommées meurent mystérieusement ! Une enquête haletante, où Oscar montre son intelligence, son sens de la déduction, et son naturel flegmatique ! un livre à savourer !
Lien : http://lesquotidiennesdeval...
Commenter  J’apprécie          20
Londres 1892, Oscar Wilde et une mystérieuse série d'assassinats.

Gyles Brandreth nous livre un récit magistral où Wilde apparait tour à tour comme mari, père attentionné, président de club, auteur à succès et, bien sûr, enquêteur.


De l'humour, des références historiques à point nommé, une solide intrigue dont l'issue est digne des meilleurs polars.

Une parfaite réussite

Lien : https://www.babelio.com/livr..
Commenter  J’apprécie          10




Lecteurs (430) Voir plus



Quiz Voir plus

Oscar Wilde et le jeu de la mort

Que voit Mrs Robinson, la diseuse de bonne aventure, dans la main d'Oscar Wilde lors de la réception pour la Rational Dress Society ?

Qu'il va se remarier deux fois
Qu'il va finir ses jours en prison
Une mort soudaine
Le succès pour sa prochaine pièce

10 questions
3 lecteurs ont répondu
Thème : Oscar Wilde et le jeu de la mort de Gyles BrandrethCréer un quiz sur ce livre

{* *}