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Carole Delporte (Traducteur)
EAN : 9782266202602
510 pages
Pocket (17/03/2011)
3.51/5   56 notes
Résumé :

Cornouailles, 1844. Lorsqu'elle aperçoit un lièvre blanc, présage d'un drame à venir pour la communauté de mineurs dans laquelle elle grandit, la jeune Meggan ne se doute pas que c'est sa famille qui va être frappée par une tragédie. La douleur après la perte de Caroline, sa soeur aînée, anéantie par un amour impossible, convainc alors la famille de tenter sa chance en australie, terre des promesses d'un avenir meilleur. Là-bas, la fougeuse Meggan prend sa v... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (15) Voir plus Ajouter une critique
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je viens de voir les autres critiques et j'ai aimé ce livre, d'amour certes mais aussi de découvertes des Cornouailles, de l'Australie à une certaine époque, des mystères, des secrets de famille, de l'amour oui, mais bien écrit et bien tourné, de temps à autre j'aime avoir un livre qui ce lit facilement, sans se casser la tête et qui est agréable, c'est l'important aussi d'un livre c'est un moment de plaisir et là j'ai laissé glisser les pages tranquillement en étant l'héroïne du roman, c'est bien aussi de pouvoir s'évader, et de rêver avec un livre
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C'est une belle histoire où sont relatées simplement la beauté de la Cornouailles avec ses falaises et ses landes, l'Australie et sa terre rouge. Au fil des chapitres, je me suis attachée aux personnages, même si la narration est parfois un peu longue et que l'on perçoit à l‘avance la suite…
Mais c'est aussi une loupe posée sur la lutte entre classes : les mineurs et les patrons. La fièvre de l'or qui entraîne la migration de centaines de mineurs et leur famille vers des contrées inconnues.
On découvre également le racisme des bourgeois contre les aborigènes dont on envahit les terres.
L'auteur décrit avec justesse et retenue la souffrance qu'entourent le deuil d'un enfant, le viol... Sans jamais en faire trop, sans jamais tomber dans le misérabilisme.
Et l'on suit les personnages avec plaisir dans leurs mésaventures, leurs amours, leurs drames… avec tout le carcan des bonnes moeurs et des préceptes guindés de l'époque.
Il y a bien sûr une happy end, sans surprise, celle que l'on attend et tout s'arrange.
Une sublime histoire qui se lit facilement. On aimerait connaître l'héroïne, l'entendre chanter.
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Ce livre a été acheté pour une seule et unique raison : son autrice. Plus précisément, le nom de l'autrice. Non pas que je la connaisse, je n'en ai jamais entendu parler, mais elle porte le nom de naissance de ma grand-mère paternelle qui n'est pas un nom très répandu en France (on n'est pas chez les Durand hein). Pas d'illustration, pas de quatrième de couverture, je ne l'ai même pas ouvert, je l'ai vraiment acheté aveuglément (à 10 CENTIMES, je ne risquais vraiment pas grand chose, je ne l'aurais peut-être pas tenté à 20 euros soyons honnêtes). Ô joie intense lorsque j'ai compris dans les premières lignes que je plongeais dans la Cornouailles de Poldark et ses mines opposées aux aristocrates ! Et puis vint la désillusion d'embarquer trop rapidement pour l'Australie, ma déception sur le moment n'est pas descriptible (#caprice). Heureusement, c'était une bonne histoire. Peut-être un peu trop de rebondissements pour une bonne fluidité mais l'autrice maîtrise les secrets des familles et leur drame mêlé de douleur. C'est probablement inhérent à l'époque mais l'omniprésence de l'adultère facile m'a légèrement agacé et donne l'impression que la moitié des enfants de cette période étaient illégitimes. L'écriture et le style sont assez simple, c'est plutôt facile à lire même si ce n'est pas de la grande littérature.
Un joli voyage en Cornouailles et en Australie méridionale du 19ème siècle qui me permet un super combo double catégorie du #booklanta, l'héliotrope de #unlivreunelettre et La salle sur demande du #hogwartschallenge, rien que ça !!
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Une belle histoire ou sont relatées : La beauté de la Cornouailles avec ses falaises et ses landes, l'Australie et sa terre rouge. La lutte entre classes : les mineurs et les patrons. La fièvre de l'or. le racisme contre les aborigènes. La souffrance qu'entourent le deuil d'un enfant, le viol... Sans jamais en faire trop, sans jamais tomber dans le misérabilisme.
Une sublime histoire qui se lit facilement. On aimerait connaître l'héroïne, l'entendre chanter.
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Août 1844, dans les Cornouailles, pays minier de bord de mer, Meggan Collins, 12 ans, fille de mineur, aperçoit sur la lande un lièvre blanc, vision qu'elle interprète aussitôt comme un mauvais présage. En suivant l'étrange animal, elle découvre sa soeur aînée Caroline, nue en pleine action avec Rodney Tremayne, le fils du riche propriétaire des mines. L'ennui, c'est que sa soeur devait épouser Tom Roberts, un autre mineur, et que le père de Rodney ne voulait pas entendre parler de semblable mésalliance… de son côté, Meggan qui dispose d'une voix magnifique, devait être dispensée du travail à la mine en devenant demoiselle de compagnie de Jenny Tremayne, soeur de Rodney. Mais la malédiction du lapin blanc opère très vite. Les amours de Caroline et Trevor s'achèvent par le suicide de celle-ci quand elle apprend un terrible secret de famille et par la disparition volontaire de Rodney qui ne veut plus jamais revoir son père. Après ce double drame, la famille Collins décide de partir tenter sa chance à l'autre extrémité de la terre, en Australie, à nouveau dans une mine de cuivre, à Burra dans la partie méridionale du pays. Cette terre de toutes les promesses leur apportera-t-elle un avenir meilleur ?
« La terre des promesses » est un roman sentimental comme on en écrivait au XIXᵉ siècle avec son lot d'amours contrariés, d'enfants bâtards, d'unions improbables, de préjugés de classe, de bergères n'épousant pas de jolis princes, de femmes trompant leurs maris, de charmants prétendants couchant avec la soeur de la promise, pimenté par un viol pour faire bonne mesure. On reste dans le registre du roman de gare, niveau « Guy des Cars » moins quelque chose. le lecteur aurait pu s'attendre à en apprendre un peu sur la vie des mineurs en Cornouailles ou en Australie, sur la colonisation de ces nouveaux territoires, la création de villes nouvelles dans le bush, la ruée vers l'or australien ou la dépossession des autochtones. Il restera sur sa faim. Il y a un public pour ce genre de littérature. Désolé de ne pas en faire partie…
Lien : http://www.bernardviallet.fr
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Citations et extraits (3) Ajouter une citation
« A peine eut-elle fait un pas dans la pièce que Meggan s’arrêta net. Elle sentit son visage se décomposer sous le choc.
Une foule de noms lui étaient venus à l’esprit durant le court trajet entre la salle de classe et le salon, mais certainement pas celui-là. Soudain, elle avait de nouveau douze ans et ouvrait de grands yeux en découvrant Connor Trevannick assis sur un rocher en tain de l’épier. Il la fixait à présent avec la même expression mutine. Il n’avait absolument pas changé. Les années qui avaient fait d’elle une jeune femme semblaient ne pas avoir eu de prise sur lui.
Meggan était incapable de détacher son regard du nouveau venu. Plus rien d’autre que lui n’existait dans la pièce. Connor Trevannick. L’avait-elle jamais oublié ? N’avait-il pas toujours été là, quelque part dans un coin de son esprit ? Ne savait-elle pas qu’un jour ou l’autre ils étaient destinés à se revoir ?
- Meggan, petite sirène bohémienne. Je vois que vous vous souvenez de moi.
La magie fut rompue quand il fit un pas vers elle et lui tendit la main.
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Maintenant, je sais pourquoi les gens me fixent. Ils ne voient que la couleur de ma peau.
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Le village constituait le centre de son monde. Les petites maisons blanches aux toits de chaume s'agglutinaient dans le berceau de la vallée qui descendait en pente douce jusqu'à la mer. Sur la grève, des cottages se pressaient les uns contre les autres, et des bateaux jetaient des petites touches rouges et bleues sur la plage de galets.
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