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OSS 117 tome 70 sur 71
EAN : 9782377355129
192 pages
Archipoche (10/09/2020)
3.3/5   15 notes
Résumé :
OSS 117 perSiSte et Signe!

La CIA est avertie que des documents ont été remis par un de ses agents à une jeune touriste française à Moscou. Or, Isabelle la bien nommée prétend qu’elle ne sait rien.

Le colonel Hubert Bonisseur de la Bath est persuadé que tout s’est passé à son insu. Dans la nuit d’Amsterdam, quelques voitures se retrouvent régulièrement dans le canal... >Voir plus
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Avec Strip-tease pour OSS 117, on va cette fois aux Pays-Bas pour retrouver une strip-teaseuse qui s'est vu remettre des documents compromettant pour l'URSS.
Évidemment, Hubert Bonisseur de la Bath n'évite pas les écueils du déjà-vu et du déjà-lu, mais le plaisir de lire ses aventures reste intact, grâce au style simple et direct de Jean Bruce, qui nous plonge directement dans l'action. Et puis, le livre n'est pas si manichéen que çà, ne présentant pas les espions russes comme les méchants de l'histoire, mais plutôt comme des adversaires à la hauteur qui font le même boulot. Sans parler des touches d'humour qui apporte un brin de légèreté à l'ensemble.
Petite nouveauté par rapport aux autres tomes que j'ai lu, celui-ci est raconté à la première personne. Un rien étonnant au début, mais on se fait assez rapidement au changement.
Au final, une lecture agréable, qui permet de passer un bon moment sans prise de tête.
Merci à Mylène des éditions de l'Archipel pour ce livre plein d'aventures.
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Le speech : La CIA est avertie que des documents ont été remis par un de ses agents à une jeune touriste française à Moscou. Or, Isa Belle la bien nommée prétend qu'elle ne sait rien. le colonel Hubert Bonisseur de la Bath est persuadé que tout s'est passé à son insu. Dans la nuit d'Amsterdam, quelques voitures se retrouvent régulièrement dans le canal… entre autres, celles d'espions soviétiques lancés sur la même piste.
Littérature sans prétention faite pour divertir sans prise de tête et pour ma part c'est réussi. Lu en un dimanche. L'image de Jean Dujardin est omniprésente. Drôle avec des répartis de personnages anthologiques. Permet de faire une pause entre deux romans plus sérieux.
Je recommande pour une belle détente et je remercie les Editions de l'Archipel pour ce moment de franche distraction et pour cette réédition.
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Tout d'abord, merci à Babelio et aux éditions Archipoche pour ce livre reçu dans le cadre de l'opération Masse Critique.
Ce n'est pas tout à fait le style de livre ni le genre littéraire que je lis habituellement, mais il faut bien sortir de sa zone de confort si on veut se coucher moins bête.
Le polar et le thriller, j'avais eu du mal à m'y mettre, mais j'ai fini par adhérer.
Pour ce qui est de l'espionnage, je pense que le temps d'adoption du genre risque d'être très long... Ce n'est en rien à cause de ce roman, seulement mon esprit buté et borné qui est peu enclin à s'ouvrir à de nouveaux genres.
Revenons en au livre. L'écriture est fluide, ce qui rend la lecture facile et agréable. L'histoire est bien construite, pas de problème pour suivre. le personnage est connu, archi-connu, on ne le présente plus... et on retrouve bien son côté décalé.
En bref, je pense que c'est un roman correct pour le genre, mais je ne pourrai pas plus me prononcer, n'étant ni une experte, ni une fan d'espionnage. Une lecture facile entre d'autres plus longues, pour changer de registre.
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Quatrième jour en compagnie d'OSS 117, cette fois pour une mission à Amsterdam. La narration à la première personne et le comique de répétition (les voitures balancées dans le fleuve) viennent chahuter un peu la formule de base mais ne gâche en rien le plaisir quasi-coupable de plonger dans ce roman d'espionnage made in 1962, au contraire.

Au vu du rythme déraisonné de lecture de cette série, j'aurais pu continuer sur ma lancée mais il faudra patienter un peu jusqu'à la sortie des quatre prochains tomes réédités chez Archipoche avec toujours ces couvertures réussies. Si seulement l'intégralité des romans bondiens pouvait bénéficier d'un traitement éditorial similaire de par chez nous... Ce serait un pur bonheur.

La parenthèse OSS 117 se clôt temporairement. L'occasion d'échapper à une potentielle lassitude et surtout de reprendre le cour de ma PAL habituelle.
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Encore un petit OSS :)
Pour coïncider (un peu) avec la sortie du troisième film que je n'ai pas encore vu je me suis lancé dans cette aventure D Hubert, toujours un plaisir, l'histoire s'enchaine rapidement, on se laisse porter dans les aventures Amstellodamoise. du très bon OSS 117.
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Citations et extraits (1) Ajouter une citation
- C'est un problème de survie, repris-je pour l'encourager. Il faut absolument nous réchauffer...
Je n'eus pas besoin d'insister. Elle avait compris et elle était d'accord...
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