Ce polard fait partie d'une trentaine de romans que "carter Brown " consacre à Rick Holman' sorte de "Ray Donovan " des années 50. cette enquête ,assez intéressante ce fait dans le milieu gay hollywoodien sans tomber pour autant dans une quelconque homophobie (-sauf dans le titre mais le titre original c'est : les petits chattons morts) ce qui est étonnant pour un roman des années 60. Efficace et très distrayant;
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Il faut vivre avec lui dans la même maison, comme je l’ai fait, et être témoin de ce qui se passe. Il y a en lui une sorte d’instinct malfaisant. C’est peut-être parce qu’il se sent mal dans sa peau. La seule chose qui l’excite vraiment, c’est de détruire les gens. Il ne s’arrête que quand il possède quelqu’un corps et âme, quand un type est entièrement sous sa coupe.
Il mène la vie d’un seigneur féodal du quinzième siècle, vous savez. Quand il s’est lassé de posséder des biens, il s’est mis à collectionner les gens et, pendant qu’il les possède, il les possède complètement.
Vous êtes écrivain et tous les écrivains ont une imagination fertile. Je ne dis pas que vous mentez, mais je pense que vous déformez peut-être la vérité sans vous en rendre compte.
Un homosexuel représente toujours une sorte de défi pour les femmes, trésor. Elles ne peuvent pas supporter l’idée qu’elles nous laissent de glace.
Il est tellement mignon qu’il pourrait être une fille. Et justement, son drame, c’est qu’il croit qu’il aurait dû en être une.