Cette 8e intégrale rassemble les tomes 22, 23 et 24 : s'il y a encore des gens pour croire que BD est forcément réservée à la jeunesse ils vont tomber des nues avec ces récits ! Sinon les graphismes hybrides de Frédéric Toublanc ne font pas l'unanimité, d'ailleurs il n'est pas resté longtemps sur la série...
Tome 22, "La Dame Noire" : 1ère partie d'un diptyque mal fagoté aux airs de disque rayé
https://www.babelio.com/livres/Toublanc-Vasco-tome-22--La-dame-noire/372952/critiques/2109405
Tome 23, "La Mort Blanche" : 2ème partie du diptyque qui ici rassemble des péripéties de remplissage pour un résultat plus proche de Manara que de Gilles Chaillet, donc là on se rapproche du n'importe quoi…
https://www.babelio.com/livres/Chaillet-Vasco-tome-23--La-mort-blanche/164839/critiques/2109713
Tome 24, "Le Village maudit" : un polar rural sombre et violent, et on se demande presque ce que Vasco vient faire là-dedans...
https://www.babelio.com/livres/Chaillet-Vasco-tome-24--Le-village-maudit/326008/critiques/2056563
A l'image de "Yoko Tsuno" chez Dupuis il vaut mieux lire "Vasco" chez Le Lombard en intégrales plutôt qu'en albums tellement leurs appendices sont intéressants et riches d'enseignements… Et dans cette 8e intégrale développe nous montre un Chaillet qui depuis toujours engagé pour la paix et contre la guerre (oui je sais la notion d'engagement dérange ceux qui se se sont planqués en haut de leurs tours d'ivoire pour balancer des leçons de morale).
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Les récits de ce volume montrent encore la puissance de ces histoires qui, malgré le fait que le style puisse paraitre désuet pour certains amateurs, gardent toutes leur puissances et une certaine avancée en la matière.
Lire la critique sur le site : Sceneario
Gilles Chaillet n'avait pas un tempérament de foudre de guerre. Alors qu'il était sous les drapeaux, ses supérieurs, en fins psychologues, l'affectèrent à la réfection et à la décoration du mess des officiers de la base aérienne d'Orléans, mission dont il s'acquitta avec talent.