J'ai décroché. Arriver à la fin de ce roman s'est fait dans l'obstination. J'attendais le dénouement que je n'ai pas eu, ou pas vu car fatigué par cette lecture longue et fastidieuse.
Pourtant le début était prometteur, mais je me suis noyée dans les longueurs, je me suis perdue dans cet espace temps des années 50.
Le côté poétique est présent, mais je n'ai pas retrouvé le playdoyer sur l'homosexualité.
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Une féérie, un cauchemar, l'âme de Florence, la ville de David.
A lire absolument mais difficile à trouver.
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Ce livre est a replacer dans son époque, dans les années 1950. Une très belle écriture sur un sujet sensible mais si on s'y perd un peu, avec quelques longueurs.
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La morale : qu'est ce que la morale sinon le sentier que les autres hommes ont tracé au cours des millénaires ? Bien, c'est suivre le sentier ; mal , en sortir ; voilà la morale ; la morale, dit-on, crée par le Dieu qui nous a crées ; mais crois-tu vraiment que le Dieu qui nous a crées, si libre, lui ! si maître de la liberté ! pourrait nous juger, s'Il lui prenait envie de le faire, de la même façon que nous autres, esclaves engloutis dans le sentiment de notre esclavage comme nous le sommes, pourrions juger nos semblables ?
page 287
Je suis fatigué - les clous de mes chaussures se sont usés - mon cœur lui aussi s'est usé - de t'avoir si longtemps attendu.
page 393
Simon le paysan est père d'une immense famille. Huit enfants, fils et filles, et sans compter les bâtards à ce qu'on dit. Mais c'est un homme pieux.
page 437
"Ce n'est pas moi, me déclara Fabrizio Lupo, qui me suis choisi : je n'ai fait que me retrouver".