Plutôt une nouvelle qu'un roman. L'auteur n'est pas très précis dans son histoire, il ne nous dit pas grand-chose sur Brigitte, la principale personnage dans l'histoire, sauf qu'elle est sortie de prison et veut refaire sa vie. de belles descriptions de St Nazaire et ses environs, le renflouage d'épaves mais l'histoire ne m'a pas accroché, désolé.
Peut-être que ce récit ne plait pas aux lecteurs, rien qu'en regardant le nombres de personnes qui l'ont lu.
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Une intrigue bien ficelée, d'une femme qui sort de prison, et doit affrontée un passé qui ne s'est pas dissout, durant ses années de détention.Une belle rencontre,adoucit un peu le récit mais une histoire d'amour difficile à vivre,d'autant plus, que la gamine est mignonne, et attise les intérêts de mauvais bougres.Les descriptions tranchantes de deanick ne donnent pas envie de mener plus en avant les relacions
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Ce livre m'a plu, il est court et facile à lire. On y découvre l'histoire d'une ancienne térroriste qui est sortie de prison. Elle va nous faire partager ses sentiments mais aussi ses remords. L'auteur nous incite à plusieurs reprises à nous remettre en question sur le sens de la "repentie". Je vous le recommande. 2GT5 Charly
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court, rapide mais super bien écrit, on s'attache à Brigitte, Isabelle... même si on ne comprend pas tout à la fin. Stellio meurt ?
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C'est probablement ces balades, le bout du doigt sur la carte, qui m'ont donné envie de faire le tour du monde. A Saint-Nazaire, quand on est môme, on a l'impression que tout est gris, jusqu'à l'horizon, et on crève d'envie d'aller voir derrière la ligne si c'est par là qu'ils ont planqué les couleurs....
Les images lui reviennent des deux autres filles, dans la cellule de Fleury, du désir et du dégoût que leurs jeux lui inspiraient. Et tous ces mois, toutes ces années sans amour... Sa main glisse sur ses seins, son ventre, ses cuisses, ses orteils, et vient se bloquer en coquille entre ses jambes.
Les trois hommes s'installent à distance de l'orchestre pour discuter sans avoir à lutter contre les mots de Fréhel, de Piaf, de Damia.
"Amants, enlacez-vous d'une étreinte farouche
Serrez à les broyer vos seins contre vos seins
Comme un couple noué de serpents abyssins
Collez-vous peau à peau, mordez-vous bouche à bouche!"
Dans le 170e épisode du podcast Le bulleur, on vous présente le parcours de Missak Manouchian, récemment entré au Panthéon, à travers deux bandes dessinées sorties récemment chez Les Arènes BD et Dupuis. Cette semaine aussi, on revient sur l’actualité de la bande dessinée et des sorties avec :
- La sortie de l’album Copenhague que l’on doit au duo Anne-Caroline Pandolfo et Terkel Rijsberg, publié aux éditions Dargaud
- La sortie de l’album Le champ des possibles que l’on doit au scénario de Véro Cazot, au dessin d’Anaïs Bernabé et c’est édité chez Dupuis
- La sortie de l’album L’homme miroir que l’on doit à Simon Lamouret et aux éditions Sarbacane
- La sortie de l’album The Velvet underground, dans l’effervescence de la Warhol factory que l’on doit à Koren Shadmi et aux éditions La boite à bulles
- La sortie de l’album Sept vies à vivre que l’on doit à Charles Masson et aux éditions Delcourt dans la collection Mirages
- La réédition de l’album Mauvaises herbes que l’on doit à Keum Suk Gendry-Kim et aux éditions Futuropolis
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