The Promised Neverland, tome 1 : La lettre de Norman (roman)

Après plusieurs tomes de la saga The promised neverland, les créateur de la série veulent faire plaisir au fan en proposant ce premier roman: La lettre de Norman.
Maintenant qu'ils ont appris le secret de maman, Norman, Ray et Emma Décident de s'évader. C'était sans compter sur leur tutrice pour contrecarrer leurs plans. Norman va se faire « adopter ». Aujourd'hui, appuyer sur un arbre il écrit une lettre pour Emma, qui l'aidera elle et ses frères à s'enfuirent.
Prix de nostalgie, celui-ci repense à quatre bons moments qu'il a passé à Grace Field House.
Roman assez intéressant, qui se lit rapidement et apporte une plus-value à la série.

J'étais curieuse de découvrir comment au fil de sa lettre, Norman réussissait à intégrer des souvenirs du quotidien de Grace Field House comme l'annonce le résumé. Ben, c'est tout simple, il ne le fait pas. Enfin, il écrit bien sa lettre, du moins il essaie, mais ce n'est pas son contenu qui le plonge dans le passé, mais des interruptions extérieures. du coup, au début, on ignore complètement ce que sa lettre contient.

Ce roman se compose d'un prologue suivi de quatre histoires, souvenirs d'aventures passées :
– Un fantôme à Grace Field House :
Comme on peut s'en douter avec un tel titre, nos héros partent à la chasse au fantôme suite au récit terrifiant que leur a fait un de leurs aînés.
Alors honnêtement, le petit récit qui fait peur n'avait rien d'effrayante, mais puisque Emma, Norman et Ray ont 4 ans, ça peut passer comme tel. Par contre, ce qui m'est resté en travers et qui sonne comme totalement incohérent, c'est l'âge des personnages associés à leur propos (certains enfants ont du vocabulaire et l'utilisent à bon escient, mais pas à ce point) et surtout à leur schéma de pensée. Un enfant de 4 ans, aussi mature, aussi génie soit-il, ne pensera jamais comme un adulte et là, c'est le cas donc ça sonne faux. Les connaissances que les personnages possèdent ne sont absolument pas de leur âge. D'ailleurs, mettons un voile sur le fait qu'ils lisent déjà parce qu'à cet âge-là, ça peut arriver, mais ils comprennent des phrases qui ne sont pas du tout à leur portée ! Ray a 4 ans, il lit de la fantasy… bien sûr, Tolkien est totalement accessible à cet âge-là. Bref, c'est n'importe quoi !

– le jour où Emma a pleuré :
Emma a perdu le mouchoir offert par Maman, mais comme il se met à pleuvoir, elle est contrainte de rentrer. Norman reste en arrière, le retrouve et le lui ramène. Or,il est trempé et étant de faible constitution,il tombe malade.
Une fois de plus, ce souvenir est une glorification de la personne d'Emma… elle est si merveilleuse, con comme une b…, mais adulée de tous. J'en viens toujours à me demander ce qu'elle fait à Grace Field House et surtout, comment peut-on la comparer à Norman et à Ray niveau intelligence. Elle en est loin.

– L'oiseau en cage :
En jouant à cache-cache, Ray, Norman et Emma trouvent un oisillon tombé du nid. Ils l'emmènent avec eux afin de s'en occuper.
Un récit un peu plus intéressant que les autres pour la comparaison sous-jacente entre l'oiseau en cage et les pensionnaires de Grace Field House, mais surtout pour les coulisses des livraisons : le lien entre Ray et Isabella – on le connaissait, mais pas à un tel degré… on peut malgré tout s'interroger sur la pertinence de ces révélations puisqu'elles se font en privé tandis que les histoires sont le fruit des souvenirs de Norman.

– Un cadeau de la part de la 39e fille :
En jouant à un jeu, Norman grimpe à un arbre et aperçoit à travers la vitre une fille vêtue d'une robe corail. Qui est-elle ? D'où vient-elle ? du dehors ou a-t-elle toujours vécu cachée à Grace Field House ? Norman mène l'enquête.
C'est probablement mon histoire préférée… si ce n'est la fin. À partir du moment où Norman est amené à découvrir l'identité de la fille et les raisons qui l,ont motivée, les explications mettent une plombent à se finir. Ça m'a saoulée.

La première chose qui nous frappe quand on commence la lecture de ce roman, c'est la mise en page… ou plutôt l'absence de mise en page… le texte n'est pas en justifié comme souvent, mais aligné sur la gauche. Quasiment pas d'alinéa… de temps en temps, y en a un qui pointe le bout de son nez, généralement après un saut de ligne. C'est assez déstabilisant…

Ce n'est pas la première fois que je lis un roman issu d'un manga, je m'étais déjà essayé aux Kimagure Orange Road, malheureusement à l'époque, cela n'avait pas pris. Vingt ans ont passé, j'espérais une amélioration… en vain, il faut croire.
Ce fut une lecture décevante. Je m'attendais à ce que le récit tourne autour de la lettre de Norman et de son plan, mais c'est bien trop succinct, ça manque de profondeur et c'est beaucoup de blabla pour pas grand-chose.
Lien : https://psylook.kimengumi.fr..

Wwha.... Tellement éloigné de la qualité des mangas..! La douche froide !
Typiquement fanzone à 100%

Au delà d'une écriture (traduction ?) très scolaire, basique qui n'a rien d'accrocheur, le livre ne tiens pas ses promesses.

Je m'attendais à en savoir plus autour de Norman (bah quoi.. C est quand même le titre..), et on nous propose une succession d'anecdotes sans intérêts..je ne l'ai même pas fini tant j'avais l'impression de perdre mon temps et d'avoir été dupé !

Alors que le manga nous propose un rythme soutenue, accrocheur, avec des intrigues mentales comme un jeu d'échec, on fait un sacré grand écart entre les deux !!

Je n'ose pas lire ducoup le deuxième sur les mamans, est il de la même trempe ?
Sinon, toujours hâte de découvrir les mangas !!

Lu tôt ce matin, le roman de The Promised Neverland intitulé « La lettre de Norman », toujours de Kaiu Shirai, Posuka Demizu mais écrit par Nanao, et publié par Kazé.

Même si l'action se déroule durant la trame du manga, en réalité ce roman passe en revue des souvenirs d'enfance de Norman, parenthèse douce et nostalgique. On retrouve des personnages secondaires ainsi que d'anciens pensionnaires de Grace Field House, mais on voit surtout qu'Emma, Ray et Norman ont toujours été proches.

Parmi la succession de petites histoires, ma préférée va à celle qui narre le sauvetage d'un petit oisillon blessé et qui se passe du point de vue de Ray. le suivre et savoir ce qu'il ressent est extrêmement touchant.

Ce roman n'est pas indispensable à la compréhension de l'histoire, mais il offre une petite pause bienvenue bien que teintée de mélancolie. Par contre, vu qu'elle dévoile des éléments importants, mieux vaut ne pas commencer par cette lecture mais aller au moins jusqu'aux tomes 4 voire 5, si je ne me trompe pas. de plus, le titre n'est pas trop en rapport avec l'histoire car la lettre de Norman n'est pas beaucoup mentionnée. Mais c'était sympa quand même. 🙂

La lettre de Norman est le premier roman tiré du célèbre manga The Promised Neverland. Alors qu'il est sur le point d'être livré, Norman rédige une lettre à l'intention d'Emma pour lui permettre d'organiser l'évasion des enfants de l'orphelinat, et se remémore les instants qu'il a passés entre ces murs.

Je suis très partagée à propos de cette lecture. J'ai bien aimé retrouver Norman et l'atmosphère de Grace Field House, mais j'ai été très déçue par la forme du livre. Rien qu'en l'ouvrant, j'ai grincé des dents. le texte n'est pas justifié, les alinéas sont inexistants… On dirait que la mise en page a été faite avec un bloc-notes ou le mémo d'un portable. Quant à l'écriture, je ne sais pas si le souci est dû à la traduction ou autre, mais on a au mieux des phrases grammaticalement correctes, au pire un vocabulaire pauvre et une syntaxe douteuse.

L'histoire en elle-même possède pourtant quelques qualités. Plus que les souvenirs de Norman, j'ai apprécié d'en apprendre davantage au sujet de Ray et du secret qu'il a dû porter seul pendant si longtemps. Comme on les présente toujours en tant qu'aînés dans le manga, Emma, Norman et lui, je n'avais jamais vraiment songé au fait qu'il avait vu des frères et soeurs plus âgés, et qu'il connaissait donc depuis toujours, être livrés avant eux.

Les réminiscences de Norman sont également très touchantes, notamment ses rêves d'avenir et sa relation avec Emma, même si elles n'apportent au final pas grand-chose que l'on ne sache pas déjà. Elles sont plus sympathiques à découvrir que réellement indispensables.

Je ne vous déconseillerai pas ce livre, parce que j'ai été heureuse de retrouver le trio de Grace Field, mais ne vous attendez pas à une histoire qui soit à la hauteur du premier arc du manga. Vous risqueriez d'être très déçus.
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