"The Promised Neverland" est un titre embêtant à chroniquer : de prime abord ni le titre, ni le résumé, ni la couverture ni les dessins ne permettent à la série de se distinguer du tout venant, donc tu es obligé de spoiler pour expliquer à quelle point cette série est géniale… Mais cela serait aussi gâcher un des twists les plus énormes de l'Histoire de la Planète Manga et celui-ci intervient dès la fin du chapitre 1 au bout de 60 pages !) Misère, comment vais-je faire ? Commençons par le commencement : tout va pour le mieux dans le meilleur des mondes à l'Orphelinat de Grace Field House où une famille de 38 enfants choyés par Isabella la Directrice, que tout le monde appelle maman, reçoivent une éducation d'élite, et chacun d'entre eux attend avec espoir mais aussi appréhension le jour une famille de l'extérieur viendra adopter l'un des leurs… Et c'est le grand jour pour la petite Conny âgée de 6 ans, et ayant oublié sa peluche préféré (un lapin blanc évidemment ^^) c'est en voulant lui ramener que les préadolescents de presque 12 ans Emma et Ray découvrent ce qu'ils n'auraient pas dû… Pour eux rien ne sera plus jamais pareil, et le compte à rebours a commencé ! Pour teaser je dirais seulement qu'on retrouve l'ambiance angoissante, la violence pouvant surgir à tout instant et les mind games de la série "Hunter X Hunter" ^^
Pour ceux qui savent déjà entrons dans la ZONE SPOILERS :
Nous sommes en face d'un "Prison Break" en manga pile-poil entre "L'Attaque des Titans" et "Le Couvent des damnées". Pire pour les personnages (mais mieux pour les lecteurs et les lectrices), Grace Field House est une ferme et les enfants en sont le bétail humain à destination des tables des puissants qui eux humains ne le sont pas (ce qui amène un message antispéciste assez puissant, et vachement plus intéressant que les mantras et les diatribes des zélotes veggan)… On tremble immédiatement pour ces bambins qui ne demandent rien d'autre que de vivre tranquillement, mais qui sont élevés pour être des surdoués et qui ne peuvent pas espérer dépasser l'âge de 12 ans, et ce d'autant plus que comme eux on ne sait rien du monde extérieur (si tant est qu'il en existe un vu qu'on leur a menti sur tout et ce depuis toujours). La dystopie a le vent en poupe dans les rayonnages Young Adult, mais ici cela va beaucoup plus loin que les édulcoration yankees car ici les personnages sont semblables à tous ces enfants perdus des totalitarismes qui découvrent qu'ils toujours vécu dans un réalité factice… Allons droit au but : si on laisse planer le doute entre SF et Fantasy, nous sommes non dans un pamphlet contre le totalitarisme mais bel et bien dans un pamphlet contre l'hypercapitalisme et l'ultralibéralisme comme dans le plupart des mangas intéressants post crise des subprimes (crise qui n'a toujours pas été résorbée alors que les experts nous prédisent la prochaine pour 2020 vu que les mêmes causes produisent les mêmes effets, surtout quand il est question du pognon à tout prix). Nous avons une population laissée à l'abandon pour être exploitée (comme dans le TINA reagano-thatchéro-macronien), et un système élitiste basé sur des tests d'intelligence sur 300 points (comme dans le système éducatif japonais) qui finalement conduit les heureux élus à être encore plus exploités (comme dans le monde du travail japonais), avoir de trahir en devenant kapo au service du top 1% qui se goinfre perpétuellement…
Autre point très positif, le détournement des contes de fées : dans "Peter Pan" les enfants voulaient rejoindre Neverland pour ne jamais grandir alors qu'ici ils veulent quitter Neverland pour pouvoir grandir, Grace Field House est la maison en pain d'épice dirigée par la méchante sorcière, mais ce n'est pas cette dernière qui est anthropophage mais ses patrons ogres… "Le Petit Chaperon Rouge", "Le Petit Poucet", "Les Cygnes Sauvages" ou même "L'Odyssée", "Le Magicien d'Oz" et tous ceux que je n'ai pas encore repérés sont aussi mis à contribution (plusieurs relectures s'imposeront), et c'est un véritable plaisir de voir détournés et mélangés ces grands mythes de l'humanité au service d'une série rempli d'humanité ! Car c'est Norman cérébral et pragmatique qui fait le lien entre Ray qui est taciturne et égoïste et Emma qui est joviale et altruiste : elle veut sauver tout le monde ou personne, et comme il l'aime et qu'il ne supporte pas de la voir triste et malheureuse il fera tout pour qu'elle réussisse son projet de Grande Évasion quitte à risque sa propre vie (pleurs, et vous savez pourquoi)...
Une série à ne pas manquer, et l'histoire de Kaiu Shirai est tellement forte qu'elle peut se passer de bons graphismes. Les dessins de Posuka Demizu sont pourtant loin de démériter, et j'ai été agréablement surpris de le voir s'améliorer de tomes en tomes. C'est un peu dommage que le tome 1 rush un peu, sans doute parce qu'il s'agit de la première série régulière des auteurs : c'est en forgeant qu'on devient forgeron, et ils ont vite trouvés les ajustement nécessaire pour exceller ! Après j'ai un peu peur car c'est très difficile de garder le bon ton et le bon rythme pour une série d'une telle intensité, et pas mal d'éléments arrivent assez rapidement au lieu d'être amenés progressivement, voire semble parfois sorti du chapeau comme un lapin blanc (encore lui, sale bête ^^) : c'est le bon vieux dilemme hitchcockien entre les 15 minutes de suspens et les 15 secondes de surprise… de plus c'est une série toujours en expansion qui évolue très vite et nous découvrons en même temps que les personnages l'immensité du monde qui les entoure, peut-être que certains/certaines seront décontenancés de passer en quelques tomes du huis-clos aux grands espaces d'un univers relevant de la Portal Fantasy la plus aboutie, ce qui renvoie encore une fois à tous ces bons vieux contes de fées !
Et je n'oublie pas de mentionner la cerise sur le gâteau : le manga a été adaptée en anime de qualité qui gomme toutes les imperfections de la version papier ! Vous n'avez plus aucune excuse : FONCEZ !!!
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j'ai pris ces derniers temps beaucoup de retard dans la rédaction de mes avis me concentrant sur mes examens mais je commence dès ce soir à combler ce retard en commençant par le premier tome de ce très sympathique manga qui n'a vraiment pas fait long feu étant très rapidement complètement pris par une intrigue plus qu'accrocheuse.
Une fois le premier chapitre arrivé à son terme plus moyen de lâcher celui-ci voulant avidement en savoir plus face à la tournure brutale et très sombre que prend alors le manga.
Sous sa jolie couverture, nous présentant des jeunes enfants tous sourire, difficile d'imaginer que s'y cache en réalité une bien sombre intrigue. Une fois la découverte faites sur la véritable nature de l'orphelinat qui s'avère être un élevage dans lesquels les enfants font office de bétail , s'engage alors un jeu du chat et de la souris avec la maman qui promet une suites des plus intéressantes le personnage de maman étant assez intrigant et apparemment plein de ressources.
Un premier tome donc réussi, à la fin de ma lecture je n'avais qu'une seule envie, me jeter sur la suite pour découvrir comment ses petits génies allaient s'en sortir pour mener à bien leur projet .
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J'ai encore cédé à la tentation d'un titre et d'une couverture qui m'a attiré. Des enfants sur l'image qui ont l'air heureux ? Pourtant, le résumé révèle qui vivre dans un orphelinat, celui de Grace Field House. Emma, Norman et Ray sont les ainés de cette fatrie recomposée. Ils sont vraiment heureux de vivre ici...
Vous sentez venir le "mais" ? Evidemment, un évenement va leur ouvrir les yeux. Il va falloir prendre une décision mais laquelle est la bonne ?
On sent rapidement une certaine tension, même avec les jeunes enfants. Leur air très sérieux m'a un peu génée, comme s'ils n'étaient plus des enfants... C'est vrai qu'ils sont très intelligents mais ça reste des enfants, non ? Bien envie tout de même de savoir ce que vont devenus nos enfants perdus. A suivre !
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Emma est orpheline et vit à Grace Field House avec 37 autres enfants, sous la houlette d'une seule adulte, Isabella, qu'ils considèrent tous comme leur mère. Les enfants sont bien traités, heureux, peuvent jouer au grand air et nourris avec le plus grand soin. Leur éducation est également assurée et, chaque jour, ils passent des tests d'intelligence individuels. Aucune ombre au tableau, donc, malgré quelques petits mystères comme cette barrière, dans le parc, qu'il est interdite de franchir, ce portail vers l'extérieur dont il est interdit de s'approcher, et l'absence de nouvelles des enfants qui ont réussi à être adoptés...
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Je ne savais rien de ce récit avant de le débuter et j'ai été agréablement surpris par la tournure prise par les événements. Pour un Shônen, l'univers est surprenant par sa dureté, même si les qualités et les aspirations de nos trois héros sont assez caricaturales.
Tout d'abord gai bien que mystérieux, ce premier tome tombe vite (par un point de rupture très réussi) dans une atmosphère stressante et délétère. Et si les personnages ont, encore une fois, des réactions quelque peu exagérées ou prévisibles, cela n'enlève rien à l'intérêt apporté par l'intrigue.
Attention spoilers : La découverte de la finalité véridique de l'orphelinat fait un choc, d'ailleurs plus pour le lecteur que pour les personnages (deux sur trois ont une absence de réaction assez déroutante). Car il ne s'agit rien moins que d'un élevage de viande humaine ! "Qu'ils sont bons mes enfants, élevés au grain, tracabilité garantie..." Et du coup, la relation entre la "maman" et ses petits est intéressante car elle rappelle celle qui unit le fermier à ses animaux ; non dénué de sentiments ou d'affection, il sait d'avance que ses bêtes sont destinées à être tuées. Mais quand on apprend que la fermière est également captive... mystère !! et vite la suite !
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« Bonjour les Babélionautes ! Aujourd'hui, je vais vous d'un manga, The Promised Neverland, de Posuka Demizu et de Kaiu Shirai.
-C'est marrant, ce titre. On dirait un mélange de Bible et de Peter Pan.
-C'est-à-dire ?
-Ben, « promised land» comme dans « terre promise », et « Neverland » comme l'île de Peter Pan, le Pays de Nulle Part où on ne grandit pas. « La Terre promise de Nulle Part », ça sonne à la fois de bon et de mauvais augure.
-Ah oui, tiens.
Or donc Emma coule des jours heureux dans son orphelinat avec ses amis et Maman, une adulte douce et aimante qui veille sur les enfants. de temps en temps, l'un d'entre eux sort pour être adopté. Hélas, Emma découvre que le mot « adoption » signifie en réalité « être servi à manger à des monstres ». Elle réfléchit avec les plus âgés du pensionnat à un moyen de se sauver de là…
Je n'ai pas trouvé le dessin d'une esthétique redoutable, les adultes apparaissent parfois disproportionnés. Cela ne me plut guère, mais fort heureusement, il reste une histoire prenante.
-Moi, je trouve qu'il y a trop de répétitions.
-Oui, c'est vrai, les enjeux de l'histoire sont rappelés régulièrement, pour que les lecteurs qui attrapent la série en cours de route comprennent pourquoi les enfants doivent s'enfuir, cela ralentit la narration et donne un désagréable sentiment de remplissage.
-Bon, donc on passe à autre chose…
-Oh non, sûrement pas ! J'ai adoré l'ambiance rétro du manga. On se croirait dans une sorte de XIXe siècle, avec la tenue de Mère Isabella et ce pensionnat qui me fait vaguement penser aux manoirs des dessins animés de mon enfance. le décalage entre cette apparence désuète et la date de l'intrigue pique ma curiosité : que s'est-il passé pour qu'on en arrive là ?
Je trouve aussi le manga intéressant parce qu'il distille deux formes différentes d'angoisse. L'une, bien vive et bien nette, provoquée par la peur de mourir des enfants. L'autre, plus lointaine et plus diffuse, bien que tout aussi peu plaisante : dans quel monde sommes-nous ? Qu'y a-t-il derrière les murs ? Bref, il faut s'échapper, mais c'est très mal engagé. C'est délicieusement pervers de faire ça à ses lecteurs : « Hey, tu veux qu'ils s'échappent ? S'ils y arrivent, ils risquent de mourir quand même ! »
En dernier lieu, j'aime bien sa structure en forme de Seul sur Mars.
-En forme de Seul sur Mars ? Mais tu dis n'importe quoi, ces deux bouquins n'ont strictement rien à voir !
-Oui et non. Non, ils n'ont rien en commun… sauf une chose : l'alignement bien rangé de problèmes qu'il faut résoudre un par un. Quel est l'un des postulats de Seul sur Mars ? « Résolvez ce problème et vous vivrez un jour de plus. » Pour les enfants de l'orphelinat, ce serait « Résolvez tous ces problèmes et vous vivrez. » J'ai bien aimé l'enchaînement de questions et de réflexions : petit à petit les enfants et le lecteur en découvrent davantage sur ce monde.
Ce premier tome se révèle fort prometteur et j'avoue que je suis curieuse de voir comment les enfants vont monter leur plan. J'espère également que le soufflé ne retombera pas et qu'on en saura plus sur Isabella. »
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Récit à la fois joyeux et cruel, plein de vie, mais aussi de cadavres, « The Promised Neverland » tient au moins une promesse : savoir mettre en haleine son lectorat au fil des chapitres dont le dénouement est parfois imprévisible.
Lire la critique sur le site : BDZoom
Dans la droite lignée des mangas qui narrent le dépassement de soi à travers la compréhension réelle des enjeux, il propose un récit mêlant découverte d’univers imaginaire, gestion de l’urgence et résolution intellectuelle des menaces.
Lire la critique sur le site : Elbakin.net
Cette série psychologique et originale sur des enfants qui tentent de s’échapper d’un orphelinat a suscité l’enthousiasme en France bien avant sa sortie.
Lire la critique sur le site : LeMonde
Graphiquement, c'est assez sympathique. On n'évite pas les petits tics habituels du mangas, mais cela reste une très agréable découverte !
Lire la critique sur le site : Sceneario
The Promised Neverland
Emma, Norman et Ray passent des jours heureux à l'orphelinat Grace Field House.
Ces trois enfants sont frères et soeurs de coeurs avec tous les autres enfants.
Ils s'épanouissent sous l'attention pleine de tendresse de Isabella qu'ils considèrent comme leur véritable mère et que tout le monde appelle "Maman".
Ils vivent des jours heureux et chacun attend avec espoir mais aussi avec appréhension le jour où une famille de l'extérieur viendra adopter l'un des leurs.
C'est le grand jour pour Conny, âgée de 6 ans . Ayant oublié sa peluche préférée " Little Bernie", son lapin, Emma et Norman franchissent les limites du domaine pour la rattraper et la lui donner. Leur tutrice leur avait appris qu'ils courraient un grave danger s'ils venaient à franchir la barrière.
Ils se retrouvent dans un bâtiment de brique et ils découvrent le cadavre de Conny dans un camion. D'étranges personnes arrivent alors parlant de leur appétit pour la chair humaine. Les deux amis s'enfuient avant d'avoir été repérés, mais ils oublient sur place la peluche. De retour à l'orphelinat, Norman et Emma gardent le secret et vont trouver une solution pour fuir tous ensemble.
Mais que se passe-t-il réellement derrière les murs de l'orphelinat ? Et qui est vraiment Isabella ? Doivent-ils se méfier d'elle ? Et pourquoi ?
The Promised Neverland est un manga écrit par Kaiu Shirai et dessiné par Posuka Demizu.
Ce manga mettant en scène des enfants m'a beaucoup plu car j'ai trouvé l'histoire touchante. Il relate les jours heureux de Norman, Emma, Ray et les autres enfants de l'orphelinat.
Ensuite, l'écriture est fluide. Ce roman est facile à lire et on se laisse facilement embarqué dans l'histoire tragique de ces orphelins. En effet, on comprend qu'ils sont prisonniers dans l'orphelinat.
De plus, ce roman est aussi à la fois fantastique et psychologique dans la mesure où les enfants ne peuvent pas s'échapper de cet endroit. Il semble donner l'illusion d'un bien-être intérieur mais cache une cruelle vérité.
Enfin, "The Promised Neverland" est un titre original voire énigmatique car l'histoire du livre, digne d'un Thriller reste terrifiante et on est bien loin du pays imaginaire promis
Que se passe-t-il alors réellement en dehors des limites de Grace Field House ? Qui est vraiment Isabella ?
Jennifer
Nous sommes tous d’âges, de couleurs et de tempéraments différents et nous ne sommes pas unis par les liens du sang mais ça n’a aucune importance.
j'ai adoré ce livre car dès le début l'histoire nous intrigue énormément et on a envie de savoir la suite. Le nom des personnages,les dessins et le contexte était énorme ! A la première lecture on croit qu'ils sont dans notre monde (la terre) alors que pas du tout ! Le seul petit bémol c'est que l'histoire est un peu éparpillé et qu'au début o tourne un peu autour du pot. C'est a dire qu'on doit quand meme attendre 4 tome avant d'arriver a l'évasion. Bref,ce livre est génial malgrès quelques petit défaut.
Celle que j'appelle tendrement "Maman" n'est pas réellement ma mère et tous ces enfants avec lesquels je vis ne sont pas véritablement mes frères et soeurs. Voici l'orphelinat Grace Field House. Je suis orpheline. Du moins, c'est ce que je croyais. (p. 5)
Maman: Dites moi vous deux … Etes vous allez au portail hier soir ?
Norman: Bien sur que non !
Nous savons que c'est interdit par le règlement !
( s'adressent à Emma ) la partie de loup d'hier était génial pas vrai Emma ?
Et comme toujours, personne n'a réussi à t'attraper
Mais au fait pourquoi tu nous demandes ça maman ?
Maman: Oh pour rien ne vous inquiétez pas ( elle s'en va ).
Emma: (qui tombe au sol ) Désolée ... C'est la pression qui retombe...
Miroirs - Bande-annonce
Résumé : Kaiu Shirai et Posuka Demizu, le talentueux duo de The Promised Neverland, nous livre un recueil de trois histoires inspirées de la vie et de la philosophie de Gabrielle Chanel, la créatrice de la prestigieuse marque de luxe au parcours singulier !
Un ouvrage élégant mêlant le noir & blanc à la couleur, complété de pages d'interview dévoilant les coulisses de ce projet atypique à travers de nombreuses anecdotes !
Cette collaboration officielle avec CHANEL propose une série d'histoires courtes signée Kaiu Shirai (scénario) et Posuka Demizu (dessins). Un one-shot à découvrir le 15 juin 2022 chez Kazé Manga.
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