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3,06

sur 341 notes

Critiques filtrées sur 3 étoiles  
Edith revient chez sa fille Sonia.
Vingt ans avent, elle avait quitté la ville, enceinte d'un des deux frères, David et Marc, propriétaires d'un garage de luxe.
Son retour provoque bien des émois dans la famille Sollens.
Ce n'est pas inintéressant, et puis il y a le style Djian, vif, cru..
Mais ça tourne quand même en rond. On se demande si on apprendra ce qui s'est passé il y a vingt ans.
Arrivée à la fin, j'allais attaquer la saison 2, quand je me suis rendu compte qu'il y en avait 5 ou 6.
Alors là non, même si c'est pas mal, il ne faut pas exagérer. La saison 2 restera définitivement fermée pour moi.
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J'avais déjà croisé cette série plusieurs fois auparavant en boutique ou encore a la bibliothèque et enfin je me suis lancée dans la lecture du premier tome.

Et honnêtement pendant les 100 premières pages, je me suis vraiment demandée ou voulait nous emmener l'auteur. Malgré tout l'envie d'aller jusqu'au bout était présente.
Je ressors de cette lecture avec l'envie de poursuivre la série avec quand même l'espoir que quelques petits détails que je n'ai pas aimé sois gommés.

Le récit par lui même m'a fait penser aux chroniques de San Francisco. Alors on est loin du style et de l'humour d'Armistead Maupin mais niveau structure ça y ressemble beaucoup. On suit une poignée de personnages qui gravitent les uns autour des autres. Les chapitres sont courts et les personnages tous attachants et drôle parfois a cause des situations cocasses dans lesquelles ils se retrouvent.

Il y a, comme je le disais précédemment, quelques petits points qui m'ont déplu :
Tout d'abord la lenteur. Je sais qu'il s'agit ici d'un premier tome et qu'il faut laisser a l'auteur le temps installée son intrigue mais j'ai quand même trouvé le temps un peu long.
Et puis la présence de sexe a gogo. Alors c'est sans doute du au fait que l'auteur et un homme et que les deux principaux personnages sont des hommes mais j'ai trouvé que tout ça manqué un peu d'amour et de sentiments.
Enfin c'était la première fois que je lisais Philippe Djian et je trouve son écriture agréable mais parfois un peu cru... Pas de doute possible, le message passe bien, car il ne passe pas par quatre chemins.

En tout cas je ne veux pas être trop sévère avec ce premier tome et je suis impatiente de découvrir la suite des aventures de cette famille plutôt déjantée.
Lien : http://missmolko1.blogspot.i..
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Une belle inconnue, Édith, pénètre sans se faire annoncer dans le bureau des frères Sollens. Ils ont juste le temps de reconnaître celle dont ils furent amoureux quand, à cet instant précis, un tremblement de terre se déclenche. Selon la police, il n'a fait aucun dégât en ville, à l'exception du garage des Sollens. Les deux frères s'en sortent indemnes, mais leur vie vient de prendre un nouveau tournant.
Et voilà toute une série à l'américaine d'un roman censé amener les gens à la littérature... Ah bon?
J'avoue: le premier de la série m'a fait me bidonner par l'incongruité des personnages et des situations. Au point que je l'ai recommandé, mais on se lasse et je n'ai lu le sixième que parce que je n'aime pas laisser une lecture en plan et tuer de la petite mort de l'oubli des personnages qui n'ont pas encore terminé leur existence livresque.
Un roman qui se lit et dont la série présente bien dans ma bibliothèque de par la couleur de ses couvertures.
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"Tu sais pas lequel des deux? Tu veux me le répéter encore une fois?" interroge Sonia. L'adolescente a de quoi être sonnée, alors que sa mère la superbe mais fragile Edith, qui vient de sortir d'un hôpital psychiatrique, lui balance, tout à trac que son vrai père n'est pas son père mais sans doute l'un des deux frères David et Marc Sollens, qui ont failli, il y a vingt ans s'entretuer pour ses beaux yeux. Des frères,entre lesquels, au bout de 20 ans, elle a du mal à faire un choix!
Voilà l'axe central, autour duquel tourne Doggy Bag: Saison 1 (dont le titre, signifiant littéralement sac en papier pour emporter la nourriture non consommée au restaurant, reste pour moi une énigme...merci de m'en donner la clef!!).
Voici l'un des pivots sans repères, fille allumeuse déjantée un peu trop souvent shootée, autour de laquelle papillonne toute une faune que les problèmes d'argent n'ont pas l'air d'atteindre puisque Marc et David sont propriétaires d'un garage de voitures de luxe.
Irène la mère alcoolique mystique, Victor le père obsédé par son âge certain,Béa la secrétaire modèle tous domaines,Josyane la maîtresse de David voulant se caser à tout prix avec enfants en prime,Robert l'ex mari handicapé de Josyane jaloux et frustré,Catherine la meilleure amie d'Edith une "fichue garce",Joël le petit ami bagarreur de Sonia,Patrick le dentiste pitoyable amant de Sonia, et bien sûr David en amant dérouté et Marc aux débordements qu'il préfère taire, forment les joyeux drilles-tristes sires de ce roman sans vraiment ni queue ni tête.
De l'amour, oui, mais où est Lent dehors?
Une noyade aussi, mais manquerait-il un meurtre comme dans Impuretés ou un viol comme dans Ôh pour relancer l'action?
J'avoue être restée sur ma faim et m'être lassée bien vite des coucheries à tout va et mots crus en veux-tu en voilà!
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Il y a un seul mystère, c'est le titre de cette série de roman : DOGGY BAG ! Pourquoi Philippe Djian a choisit ce titre ? La définition de doggy bag est : petit sac pour emporter les restes après un repas au restaurant (d'après la traduction du site www.dictionnaire.reverso.net ). Je suppose que ces restes on les donne à son chien. Mais il n'y a aucun rapport avec cette série. C'est peut-être pour cela que Philippe Djian a choisit ce titre pour ajouter un peu de comique, genre absurde. C'est ce titre qui m' attiré vers la lecture de cette séries de six romans. Je me suis dit quel drôle de titre pour un roman.
Phillipe Djian a utilisé les codes des séries télévisés, dont le succés est aujourd'hui retentissant. Et oui c'est pas idiot. Il m'emporte avec Doggy Bag dans pas moins de six saisons. Et je suis impatient de me plonger dans la deuxième saison. le choix du titre est mystèrieux ou volontairement absurde et tout le reste est par opposition totalement claire surtout les personnages et leurs comportements.
Les personnages de Doggy bag collent à notre époque et ne cachent rien, ils versent plus pour l'autre penchant : l'exibitionisme. Phillipe Djian a fait le choix de tout dire et de tout expliciter. Doggy bag est par exemple un genre littéraraire totalement opposé aux nouvelles de Stefan Zweig, cela tombe bien j'apprécie les deux genres. Avec Phillipe Djian aucune poésie mais plutôt un style direct cru et peu d'images. Il y a plutôt avec Doggy bag l'efficacité du rythme de l'histoire qui pousse à tourner les pages, des personnages à la fois cruels et faibles comme dans la vrai vie, et des scènes decriptives et explicitement sexuelles plutôts chaudes et excitantes. C'est pour moi les “piliers” pour entretenir le début de cette série de six saisons palpitantes. le suspens parvient tranquillement à s'installer et au début de la lecture je me suis u peu demandé où Philippe Djian voulais me conduire mais ensuite toute une dimension dramatique se “met en branle” et à ce moment l'efficacité devient talentueuse. J'ai hésité à noter la première saison de Doggy bag avec un 8/10 mais je reste un peu en dessous parce le style “non littéraire” et parfois un peu baclé, il y a plusieurs fautes grammaticales d'orthographe ou syntaxique, me gêne parfois. Je recommande vivement doggy bag pour passer un moment drôle sexy et collant terriblemnt avec la réalité de notre époque obsédée.
Dépéchez vous de lire les aventures des personnages les plus marquant de la série :
David Sollens, cogèrant d'une concession automobile, l'homme taciturne auquel il n'arrive que des ennuis. Marc Sollens, le frère de David Sollens, cogèrant d'une concession automobile, l'homme au comportement du jeune homme redoutable pressé. Irène Sollens, la mère, elle est déboussolée mais prouvera sa bravoure.Victor Sollens, le père, lui aussi il est un peu largué et semble désirer de nouveau sa femme. Edith, c'est “l'ancienne” amante des deux frères, elle n'a jamais pu choisir. Sonia, la fille d'Edith, elle débute dans la vie avec quelques handicaps psychiques mais son physique est très agréable comme celui de sa mère. Josiannne, elle est la maîtresse de David, elle aime le sexe et reste pour l'instant fidèle. Béa, la secretaire de la concession, elle s'efforce de garder la tête froide.
Un raccourci trop caricatural pour doggy bag reviendrai à écrire : les personnages féminins sont des nymphomanes désoeuvrées et les personnages masculins des obsédés sexuels débordés de travail. Mais il y a plus que cela dans doggy Bag il y a un suspens dû a des situations et des retournements de situation surprennantes cocasses ou frôlant l'absurde. C'est pour cela que j'ai hâte de lire la deuxième saison et de vous en faire un résumé. Je vous parlerais alors peut-être plus de l'histoire en elle même.
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Marc et David sont propriétaires d'un garage ; ils sont célibataires et vivent chez leur mère Irène . Marc est plutôt tranquille , David va de conquête en conquête . Quand Edith revient au pays , c'est la panique surtout pour Irène .En effet , 20 ans plus tôt , elle a semé la zizanie entre les deux frères : tous les deux amoureux d'elle , ils se sont déchirés , battus au point de se retrouver à l'hôpital aussi leur mère voit elle d'un mauvais oeil l'arrivée de celle qui va encore diviser la famille
Une lecture sympa , sans plus
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J'ai craqué pour ce pastiche de série télé que je n'aurais sûrement pas regardée sur un petit écran...
J'y retrouve mon auteur chouchou des années 80 qui passe là à la vitesse supérieure. C'est rapide, toujours un peu sex and drug and rock and roll et j'adore ça !
Et ça tombe bien, y'a toute une ribambelle de tomes.
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Ce n'est un pas un secret, je suis une inconditionnelle des séries télévisées. Je suis aussi une amoureuse des livres et j'adore naviguer dans les différents univers qui s'offrent à moi au fil des pages, des titres et des genres.
Concilier ces deux passions n'est plus impossible aujourd'hui car même les auteurs, les écrivains revendiquent leur engouement pour ces formats courts de 42 minutes environ, mais qui sont des bombes narratives !
Philippe Djian ne s'est jamais caché derrière un paravent politiquement correct et il a même eu l'idée d'adapter les codes des séries américaines à la littérature pour ainsi écrire la première série littéraire. Voilà comment est née : « Doggy bag » et voici mes impressions sur cette première saison.

(la suite sur mon blog)
Lien : http://espace-temps-libre.bl..
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comment j'ai trouver ce livre? il es assez rapide, dans le sens où l'on ne s'ennuie pas il y a toujours un rebondissement un imprevu qui change totalement l'histoire et on s'attend jamais a ce qu'il va se passer c'est un peu preturbant pour moi j'ai été chambouler!! mais dans le bon sens

je me suis demandé s'il ne s'etait pas inspirer de ce livre pour faire "PLUS BELLE LA VIE"

a lire en ete sur la plage!!
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Marc et David sont frères, la quarantaine. Ils vivent chez leur mère, Irène. Ils travaillent ensemble à la direction d'un garage de voitures de luxe. Dès le premier chapitre, on nous le dit : Edith est revenue. On comprend rapidement qu'il s'est passé quelque chose entre Edith et les deux frères vingt ans auparavant. le lecteur espère en apprendre davantage au fur et à mesure du roman mais les petites informations à ce sujet sont distillées un peu trop parcimonieusement. Il faudra apparemment lire les tomes suivants pour tout savoir.

Ce roman suit leur quotidien, non dénué d'aventures : sexe, alcool, drogues, accidents et coups sont au rendez-vous sur fond de misère affective, de doutes, de non-dits. L'univers est tout de même assez glauque.
Le style de Djian est très factuel. J'ai du mal à caractériser ses personnages, à analyser leurs pensées. Cela me frustre. Et en même temps, je suis allée au bout de ce premier tome, parce que c'est une lecture facile, et qu'il s'y passe quelque chose à chaque page.

Je lirai la suite aux prochaines vacances.
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