Le château des animaux, tome 1 : Miss Bengalore

Une découverte ! J'ai adoré l'univers et l'histoire. Sombre et froid et avec cette petite lumière d'espoir qui réchauffe.
Le dessin est superbe et terriblement réaliste.
Hâte de découvrir la suite, surtout qu'elle est annoncée : cela ne sera pas une série à rallonge dont on ne voit pas le bout, non, ici 4 tomes sont annoncés et c'est tout. Ca me va très bien et me donne déjà envie de découvrir les autres livres des auteurs et celles à venir.
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J'ai trouvé ce livre très intéressant car il décrit bien la dictature. Quand on le fini, on comprend ce qu'endurent les personnes sous une dictature. Déjà que le livre était bien, les graphismes sont encore mieux et surtout sur la page avec plein de sang. Je pense aussi que l'auteur a eu raison d'utiliser des animaux à la place d'humains pour ce livre car il est ainsi accessible à plus de générations (ados et adultes). Evan 4/5

Une BD où règnent les animaux. le taureau, les chiens, les oies, les poules, les rats, les lapins, les chats … ils sont tous là. Chacun a un rôle à jouer. La vie n'est pas facile pour eux. Ils subissent le joug de Silvio, le taureau, qui a pris la tête de cette communauté. Sylvio commande, les autres obéissent. Les sanctions ne sont jamais bien loin. Mais comme dans toutes sociétés, la révolte non plus. Les petits animaux vont s'unir et tenter de sortir de cette torpeur.

Cette BD est géniale. Les dessins sont magnifiques. Et les animaux très … humanisés.

Dans ce premier tome, c'est Miss Bengalore qui est à l'honneur. Courage, générosité et entraide seront au rendez-vous. Et au bout de la route, le rire et l'espoir.

3 autres tomes sont prévus au programme, de quoi leur laisser le temps d'élaborer une belle révolution.


Sur la couverture : Silvio, le taureau et Miss B, la chatte.

Un premier tome avec un univers anthropomorphique dans lequel les lecteur.ices suivent une chatte qui trime pour élever ses petits sous un régime dictatorial.
La faim étant davantage présente dans les estomacs du peuple, des révoltes émergent…

Une BD qui évoque la ferme des animaux de George Orwell.
Un premier tome qui place les personnages et le milieu dans lequel ils évoluent. Peuple opprimé, dictature, révolution sont ce qui est montré principalement dans ce début de série.

Au château des animaux, toutes les espèces vivent en dictature, dominés par un taureau, lui-même secondé par ses sbires, des chiens. Il faut travailler dur et ne pas se révolter, au risque de finir mordu et dévoré par les chiens. Miss Bengalore, l'unique chatte du clan, décide de se révolter contre ces injustices et tente de convaincre ses camarades de renverser le pouvoir.

Ce premier tome revisite la Ferme des animaux d'Orwell. C'est toujours intéressant même si ça manque d'originalité. La BD se lit très rapidement, malgré des textes qui sont franchement parfois écrits en trop petits et il faut parfois plisser les yeux, dommage !

Un livre idéal pour faire découvrir cette histoire à un public rebuté par les romans.

Aujourd'hui , je présente le château des animaux, une bande dessinée très passionnante qui raconte l'histoire d'animaux qui parlent et qui ont une politique particulière : une dictature ... mais cela va changer. Comment ? C'est à vous de le découvrir en lisant cette fantaisie.

Je commence par quelques critiques puis ensuite les points positifs .
Malheureusement, je n'ai pas aimé ce livre ; car cette BD n'est pas très bien détaillée . L'écrivain aurait pu plus détailler certaines scènes du début .
Mais d'un autre côte les paroles des animaux sont réfléchies mais toutefois un peu féministes , comme à la page 10 «  quelle tête de mule ! Ce n'est pas à une femelle chat de faire ce genre de boulot ...Elle ferait mieux de s'occuper de ses petits . »
Passons aux critiques positives, j'ai beaucoup aimé l'histoire en elle-même et l'idée très bien trouvée de mettre de la politique dans un livre . Les animaux m'ont beaucoup touchée.

Je recommande ce livre aux gens passionnés d'animaux et qui ne sont dérangés par les critiques féministes et la politique.

Critique proposée par: Alyssa

Un château où les hommes se sont barrés. Chouette non ?
Dés la première page et l'oeil d'Adélaïde ont déchantent. C'est que dans ce château là, on ne vit pas longtemps, insouciant et heureux. Non, il y a toujours ceux qui mordent, qui boivent le champagne, qui mentent, qui complotent et ceux qui broutent, qui triment, qu'ont faim. Désespérant non ? Peut-être pas, y a l'humour !
Dessins superbes, animaux expressifs, histoire haletante. Je file au tome 2.

Faisant suite à un sublime préface, Dorison nous immerge dans un château dépourvu d'hommes pour des raisons inconnues. Au sein de ses remparts s'y trouve la république des animaux dirigée par un monarque, où comme le prédisait le loup, la raison du plus fort est toujours la meilleure.
Ici les plus forts sont un gros taureau, obnubilé par son pouvoir représenté par la domination, le champagne et les médailles. Il règne d'une poigne de fer par l'intermédiaire de sa milice de chiens enragés.
Ces forts exercent leur emprise par la menace chimérique d'une horde de loups aux abords de la citée. Ils espèrent ainsi se la couler douce, jouissant de leurs privilèges pendant que le tiers état bâtit leurs rêves.
Ce régime dystopique aux allures de Hunger Games provoquera bien évidemment l'insurrection de son peuple guidée par le vieux rat vagabond satyrique qui compte bouleverser le gouvernement grâce au Flower Power.
Le scénario de Dorison est bien exécuté. J'ai cependant eu quelques difficultés à me mettre dans l'histoire et avoir envie de tourner page après page. Les références sont intéressantes. Les analogies sont quant à elles, sont plutôt évidentes dans la mesure où tout est inspiré de notre pauvre héritage historique. le lecteur est donc peu surpris jusqu'aux événements perturbateurs et péripéties. Je dois cependant reconnaître qu'ils ont bien été exécutés.
Le dessin est très correct et assez brut allant de pair avec son scénario, le découpage des cases rend l'histoire plus dynamique, il est plutôt efficace. Enfin, les couleurs plutôt sombres m'évoquent une période austère, très moyen ageuse et collent donc parfaitement avec le sujet.

J'ai aimé cette oeuvre par son contraste avec la première impression lors de son achat. J'y trouvais une série courte en 3 tomes avec des animaux mignons sur la première de couverture. J'étais loin de m'imaginer de tels propos ! C'est plutôt violent, surtout lors d'épisodes de répression. La suite mérite d'être lue mais je l'emprunterai car ce n'est pour le moment pas un coup de coeur. Je ne savais pas trop à quoi m'attendre mais j'attendais plus. Je laisse le soin à Dorison de me stimuler et me surprendre lors des prochains opus.

Le château des animaux est une BD qui reprend le grand classique de Georges Orwell: la ferme des animaux. Les animaux de la ferme ont réussi à ne plus être sous le joux des hommes.
Mais la loi du plus fort à repris son droit dans ce château des animaux ou une soi disant république est de mise.
Le Roi Silvio, un taureau d'une musculature spectaculaire et ses gardes canins imposent à tout les animaux leur vision du monde. En découle, un esclavage, des tueries et tout autres misérables calvaires d'un peuple asservi.
Dans cet opus, on ressent la grande difficulté de vivre avec un oppresseur mais aussi de l'entraide entre cette population qui vient d'horizon différent.
Les dessins sont magnifiques avec des traits tout à fait caractéristiques. J'ai adoré cette BD et j'ai vraiment hâte de lire la suite.

J'ai bien aimé cette BD car je trouve les personnages attachants, les dessins sont jolis et réalistes. Cette BD m'a marquée de par la cruauté du président et de sa milice de chiens qui ont réduit en esclavage les autres animaux. Malgré cela, Miss Bengalore ne baisse pas les pattes et continue à essayer de faire prendre conscience aux autres de la dictature dans laquelle ils vivent. A la fin, on aperçoit une lueur d'espoir pour l'avenir et on a envie de découvrir la suite.
Emma.(4 étoiles).



J'ai adoré cette bd le château des animaux car les animaux sont réprimés par le président avec la milice de chiens, mais Miss B ne va pas permettre que cette dictature perdure. Cette chatte intrépide, va se dresser contre le ¨président¨ : avec l'aide de César et inspirée par la mort de Marguerite, elle va se battre, mais pas physiquement puisqu'avec ses amis, ils n'ont pas les crocs aussi impressionnants que ceux de la milice. Ils prennent une autre option : discréditer cette dictature en la rendant ridicule. Et, en tout cas, Miss B ne va pas laisser l'injustice continuer ! FD. (5étoiles)