Un village paisible qui inspira à l'illustre Claude Monnet ses célèbres nymphéas. Des années plus tard, ce sont les touristes qui envahissent les rues de Giverny et qui viennent troubler la tranquillité de ses habitants. Et il y a ce cadavre trouvé près d'une rivière.
Deux inspecteurs sont chargés de l'enquête. Les époques s'entremêlent et les destins de trois femmes vont se retrouver mystérieusement liés.
N'ayant pas lu le roman de Michel Bussi, j'ai découvert grâce à cette superbe adaptation graphique ce polar extrêmement bien ficelé.
La trame narrative est particulièrement ingénieuse et j'ai été happée par l'enquête qui se déroule au fil des pages.
Mais c'est surtout le dénouement, totalement inattendu, qui m'a véritablement bluffée car je n'avais rien vu venir.
Et les illustrations ne sont pas en reste. Les couleurs, l'ambiance du récit nous rappellent avec finesse l'univers du célèbre peintre.
Un polar captivant, une intrigue d'une grande efficacité et un final magistral. Une très belle réussite.
Lien : https://mesechappeeslivresqu..
Deux inspecteurs sont chargés de l'enquête. Les époques s'entremêlent et les destins de trois femmes vont se retrouver mystérieusement liés.
N'ayant pas lu le roman de Michel Bussi, j'ai découvert grâce à cette superbe adaptation graphique ce polar extrêmement bien ficelé.
La trame narrative est particulièrement ingénieuse et j'ai été happée par l'enquête qui se déroule au fil des pages.
Mais c'est surtout le dénouement, totalement inattendu, qui m'a véritablement bluffée car je n'avais rien vu venir.
Et les illustrations ne sont pas en reste. Les couleurs, l'ambiance du récit nous rappellent avec finesse l'univers du célèbre peintre.
Un polar captivant, une intrigue d'une grande efficacité et un final magistral. Une très belle réussite.
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Nous avons là un très bel album adapté du roman de Michel Bussi, et ce à tous les points de vue.
Les graphismes sont splendides, alternant les planches aux couleurs des nymphéas de Monet avec d'autres beaucoup plus sombres en fonction des situations et des événements. Ce contraste saisissant est un vrai plaisir pour les yeux.
Quant à l'intrigue, malgré toute sa complexité, elle retrace remarquablement bien celle du roman. Tout pareil, le lecteur se sent perdu, s'emmêle les pinceaux (ha ha) à cause de toutes ces apparences trompeuses. J'ai pris plaisir à (re)découvrir cette finale haute en couleur, et ce dans les deux sens du terme.
Cette variation des Nymphéas noirs de Michel Bussi est une pure réussite. J'en suis totalement séduite, c'est un très joli coup de coeur.
Les graphismes sont splendides, alternant les planches aux couleurs des nymphéas de Monet avec d'autres beaucoup plus sombres en fonction des situations et des événements. Ce contraste saisissant est un vrai plaisir pour les yeux.
Quant à l'intrigue, malgré toute sa complexité, elle retrace remarquablement bien celle du roman. Tout pareil, le lecteur se sent perdu, s'emmêle les pinceaux (ha ha) à cause de toutes ces apparences trompeuses. J'ai pris plaisir à (re)découvrir cette finale haute en couleur, et ce dans les deux sens du terme.
Cette variation des Nymphéas noirs de Michel Bussi est une pure réussite. J'en suis totalement séduite, c'est un très joli coup de coeur.
Je n'ai pas lu le roman original.
C'est donc une totale découverte de cette histoire, et encore une fois une BD qui me donne envie de lire un roman.
Je dois avouer que j'ai parfois été perdue, je n'ai pas compris qu'il y avait plusieurs époques dans ces pages : j'avais bien par moment une impression d'anachronisme sur certaines dessins, mais je n'ai pas chercher à comprendre ce détail. J'étais bien trop concentrée sur l'enquête. Je ne sais pas si c'est l'adaptation, mais justement au niveau de l'enquête policière, j'ai plus d'une fois trouvé que c'était trop rapide.
Mais voilà, je me suis laissé promenée et j'ai été très surprise par le dénouement.
C'est donc une totale découverte de cette histoire, et encore une fois une BD qui me donne envie de lire un roman.
Je dois avouer que j'ai parfois été perdue, je n'ai pas compris qu'il y avait plusieurs époques dans ces pages : j'avais bien par moment une impression d'anachronisme sur certaines dessins, mais je n'ai pas chercher à comprendre ce détail. J'étais bien trop concentrée sur l'enquête. Je ne sais pas si c'est l'adaptation, mais justement au niveau de l'enquête policière, j'ai plus d'une fois trouvé que c'était trop rapide.
Mais voilà, je me suis laissé promenée et j'ai été très surprise par le dénouement.
Une bonne BD policière (adaptation du roman de Bussi ), un peu complexe à suivre au départ mais on embarque vite dans le récit. le graphisme est réussi.
J'ai découvrert le roman de Bussi à travers cette BD.
Une atmosphère pesante pour une histoire (sur)prenante ❤
Le dénouement est totalement inattendu, j'ai même mis un petit temps avant que tout se mette en place dans ma tête tellement j'ai été surprise !
Les dessins veulent rappeler les impressionnistes et c'est un pari réussi. Et si j'ai beaucoup aimé les choix de couleurs ( en particulier l'alternance de pages tantôt sombres puis très lumineuses), j'ai en revanche moins aimé le coup de crayon sur les personnages...je leur préfère les paysages.
J'ai trouvé cette lecture très agréable et elle m'a donné envie de découvrir le roman, pour y chercher encore plus de détails.
Une atmosphère pesante pour une histoire (sur)prenante ❤
Le dénouement est totalement inattendu, j'ai même mis un petit temps avant que tout se mette en place dans ma tête tellement j'ai été surprise !
Les dessins veulent rappeler les impressionnistes et c'est un pari réussi. Et si j'ai beaucoup aimé les choix de couleurs ( en particulier l'alternance de pages tantôt sombres puis très lumineuses), j'ai en revanche moins aimé le coup de crayon sur les personnages...je leur préfère les paysages.
J'ai trouvé cette lecture très agréable et elle m'a donné envie de découvrir le roman, pour y chercher encore plus de détails.
Avec cette BD, Fred Duval et Didier Cassegrain livre l'adaptation en image parfaite du roman de Michel Bussi qui raconte une enquête policière intéressante dans la petite ville normande de Giverny, connu pour ses jardins et pour les toiles de Monnet.
Quand j'ai lu cette BD, je n'avais jamais lu le roman et j'ai donc pu être surpris, même si j'avais compris le truc un long moment avant la révélation, cela n'a pas gaché l'impact de la chute.
J'avais entendu parler en très bien ce cette oeuvre et je dois dire que j'ai été plus que satisfait de cette lecture que je ne peux que recommander à tous.
Quand j'ai lu cette BD, je n'avais jamais lu le roman et j'ai donc pu être surpris, même si j'avais compris le truc un long moment avant la révélation, cela n'a pas gaché l'impact de la chute.
J'avais entendu parler en très bien ce cette oeuvre et je dois dire que j'ai été plus que satisfait de cette lecture que je ne peux que recommander à tous.
Voici une critique très difficile à faire pour moi.
Loin d'être un mauvais livre.
Je pense que je ressort frustré de cette lecture.
Le problème n'est pas de se faire mener en bateau , du moment que c'est cohérent.
Mais je suis navré de dire que des événements qui nous sont donnés , sont erronés.
De plus, je déteste quand on change le nom des personnages .
A croire que Michel Bussi n'avait pas vraiment de coupable, quand il a écrit la première partie de son roman .
Et que pour en trouver un, il a dû improviser un tour de passe-passe.
Qui fonctionne très bien, chez de nombreuses personnes.
Mais pas chez moi désolé.
Cependant, comme je le disais au début.
Le livre n'est pas mauvais.
Grace à celui-ci, j'aimerais connaitre un peu plus la vie de Monet.
C'est déjà un point positif.
Loin d'être un mauvais livre.
Je pense que je ressort frustré de cette lecture.
Le problème n'est pas de se faire mener en bateau , du moment que c'est cohérent.
Mais je suis navré de dire que des événements qui nous sont donnés , sont erronés.
De plus, je déteste quand on change le nom des personnages .
A croire que Michel Bussi n'avait pas vraiment de coupable, quand il a écrit la première partie de son roman .
Et que pour en trouver un, il a dû improviser un tour de passe-passe.
Qui fonctionne très bien, chez de nombreuses personnes.
Mais pas chez moi désolé.
Cependant, comme je le disais au début.
Le livre n'est pas mauvais.
Grace à celui-ci, j'aimerais connaitre un peu plus la vie de Monet.
C'est déjà un point positif.
Effroyable gardien.
La commune normande de Giverny aimante un flot ininterrompu de touristes désireux de s'imprégner des charmes de la maison et du jardin du peintre impressionniste Claude Monet comme si la flétrissure et la mort n'avaient aucune emprise sur la beauté voluptueuse des nymphéas. Dans ce cadre idyllique, pourtant, un notable du coin, l'ophtalmologiste Jérôme Morval, est retrouvé triplement mort, la tête fracassée, une plaie au coeur et noyé. le jeune inspecteur de police Laurenç Sérénac et son adjoint Silvio Bénavidès enquêtent et privilégient la piste du crime passionnel. le mari jaloux de la belle institutrice Stéphanie Dupain est immédiatement suspecté par Sérénac mais sa seule intuition ne vaut pas preuve et il va falloir fouiller, sonder et remuer davantage la boue des turpitudes pour faire émerger une vérité particulièrement volatile.
Adapté en bandes dessinées d'un roman à succès du prolifique et talentueux auteur rouennais Michel Bussi, « Nymphéas noirs » est une belle surprise. le scénariste Fred Duval, autre Rouennais, a parfaitement su s'approprier l'oeuvre au noir de son compatriote et en transcrire l'atmosphère. La fluidité avec laquelle trois temporalités se juxtaposent est remarquable. le twist final est particulièrement bien rendu avec la levée des voiles en quelques cases. Pour reprendre un titre du romancier, le lecteur sent que le temps est assassin avec la perte irrémédiable de la beauté donnée dans l'instant. le dessinateur Didier Cassegrain a su idéalement mettre en images une histoire que les chevauchements temporels complexifient. La rencontre entre l'inspecteur et l'institutrice est magnifique de tension. Stéphanie Dupain est sensuelle, intelligente et insaisissable. Sa représentation graphique est impeccable. Les couleurs légères, douces, diluées restituent les ambiances maritimes qui nimbent les ciels normands. le talent artistique de Didier Cassegrain est au diapason des oeuvres impressionnistes de Claude Monet. Sous le chatoiement des lumières, la mort s'immisce comme le noir dans l'ultime tableau des nymphéas.
La commune normande de Giverny aimante un flot ininterrompu de touristes désireux de s'imprégner des charmes de la maison et du jardin du peintre impressionniste Claude Monet comme si la flétrissure et la mort n'avaient aucune emprise sur la beauté voluptueuse des nymphéas. Dans ce cadre idyllique, pourtant, un notable du coin, l'ophtalmologiste Jérôme Morval, est retrouvé triplement mort, la tête fracassée, une plaie au coeur et noyé. le jeune inspecteur de police Laurenç Sérénac et son adjoint Silvio Bénavidès enquêtent et privilégient la piste du crime passionnel. le mari jaloux de la belle institutrice Stéphanie Dupain est immédiatement suspecté par Sérénac mais sa seule intuition ne vaut pas preuve et il va falloir fouiller, sonder et remuer davantage la boue des turpitudes pour faire émerger une vérité particulièrement volatile.
Adapté en bandes dessinées d'un roman à succès du prolifique et talentueux auteur rouennais Michel Bussi, « Nymphéas noirs » est une belle surprise. le scénariste Fred Duval, autre Rouennais, a parfaitement su s'approprier l'oeuvre au noir de son compatriote et en transcrire l'atmosphère. La fluidité avec laquelle trois temporalités se juxtaposent est remarquable. le twist final est particulièrement bien rendu avec la levée des voiles en quelques cases. Pour reprendre un titre du romancier, le lecteur sent que le temps est assassin avec la perte irrémédiable de la beauté donnée dans l'instant. le dessinateur Didier Cassegrain a su idéalement mettre en images une histoire que les chevauchements temporels complexifient. La rencontre entre l'inspecteur et l'institutrice est magnifique de tension. Stéphanie Dupain est sensuelle, intelligente et insaisissable. Sa représentation graphique est impeccable. Les couleurs légères, douces, diluées restituent les ambiances maritimes qui nimbent les ciels normands. le talent artistique de Didier Cassegrain est au diapason des oeuvres impressionnistes de Claude Monet. Sous le chatoiement des lumières, la mort s'immisce comme le noir dans l'ultime tableau des nymphéas.
Un splendide graphisme : le ton est donné dès la première page, hommage aux tableaux impressionnistes de Claude Monet. C'est d'ailleurs à Givenchy que se déroule cette histoire adaptée d'un roman de Michel Bussi.
Une enfant douée qui peint, une femme adulte qui enseigne, une femme âgée, qui observe et semble tout savoir.
Des morts, un petit garçon, un vieux peintre américain, un ophtalmo amateur d'oeuvres d'art.
Des flics qui rassemblent des indices pour une enquête qui intrigue.
Un dénouement troublant.
Une enfant douée qui peint, une femme adulte qui enseigne, une femme âgée, qui observe et semble tout savoir.
Des morts, un petit garçon, un vieux peintre américain, un ophtalmo amateur d'oeuvres d'art.
Des flics qui rassemblent des indices pour une enquête qui intrigue.
Un dénouement troublant.
Je n'ai pas lu le roman, donc pas de comparaison possible entre la bédé et l'écrit. le dessin classique coule les visages féminins et masculins dans un moule identique pour chaque sexe. L'intérêt réside dans les paysages impressionnistes finement mis en couleurs. J'ai particulièrement apprécié le voyage à Rouen, le présent se superposant à un passé en filigrane simili lavis. L'ambiance de Giverny est bien décrite, village voué au grand Monet sur lequel j'ai appris des choses méconnues. Bref, j'ai passé un bon moment et n'aurait pas commis ce petit texte assez terne, je trouve, si je n'avais pas été le centième à livrer mes impressions sur un ouvrage de bonne facture, qui m'a laissé sur ma faim, j'ignore pourquoi.
Lien : http://cinemoitheque.eklablo..
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