Comme critique, j'ai le goût de ne fait qu'un grand éclat de rire! C'est le roman le plus ridicule du genre (et ce n'est pas peu dire). Je n'ai aucune envie de passer une minute de plus à écrire sur cette oeuvre. Passez votre tour!
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L'impression de regarder une série comme Gossip Girl du début à la fin que de rebondissements, de moments de vie décris. Les personnages passent par toutes les épreuves de la vie en couple possible, le divorce, la tromperie, l'amour, les enfants, le meurtre, la violence, ... peut être trop bisounours par rapport à la saga des enfants des protagonistes devenus adultes. le seul hic qui m'a quelque peu dérouté sur le début de la lecture est l'absence de concordance dans le temps entre les 2 sagas. Les futurs parents de « Pour toujours » vivent au vingt-et-unième siècle ils ont la technologie d'aujourd'hui. Quand on lis « Pour toujours » avant, les enfants évoluent dans notre temps on s'attend donc à ce que les parents est évolué dans les années 60-70 mais non. « Pour toujours et à jamais » ayant était écris avant il n'y a pas de bon dans le futur à l'inverse. Mais une fois passé cette non concordance la saga se dévore à une vitesse folle et en devient addictive.
Cette saga complète la saga « Pour toujours » mais à lire seul c'est pas forcément accrocheur, les personnages peuvent être trop bisounours, beaucoup moins terre à terre que les enfants. Il faut aller au delà du tome 3 pour s'attacher aux personnages.
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Bon j'ai pas beaucoup de qualificatif pour décrire ce roman. Je me suis ennuyée d'un bout à l'autre. Si j'ai finit vite ce roman c'est que je l'ai lut ce que j'appelle en diagonale. Les histoires de je t'aime moi non plus ça me gave. Je ne mettrais même pas d'étoiles tellement j'ai trouvé ça nul.
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Le livre paraissait sympathique au début. Il a ensuite perdu tout son intérêt. J𠆚i fini par le lire en diagonale tellement j𠆞n avais marre. Les actions passent du rien au tout, pas de demi mesure. J𠆚i vraiment été déçue par ce livre et par le temps que j𠆚i perdu pour celui-ci. Je ne le conseille pas.
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Je ramassai le manuscrit et parcourus les modifications. J’effectuais toujours mes modifications en rouge, mais je vis trois remarques faites à l’encre bleue et reconnus l’écriture de Carl. Une virgule n’était pas placée entre deux propositions indépendantes et un point-virgule était barré et remplacé par un point pour construire deux phrases indépendantes. Or, l’auteure très en vue, Christine Dirkson, m’avait assuré qu’elle voulait conserver ce formatage dans son roman. En dernier lieu, Carl avait marqué comme erreur une indentation de paragraphe incorrecte, ce qui était pourtant une autre requête particulière de l’auteure. L’auteur conservait toujours le droit de modifier le formatage de son livre avant publication et, soit Carl négligeait complètement cette règle, soit il l’avait oubliée. Dans les deux cas, Carl Rogers était un vrai crétin.
En repensant à notre amitié, je me rendis compte que j’avais toujours été là pour lui. Que ce soit pour repasser ses vêtements ou pardonner ses erreurs, j’avais toujours été à ses côtés. Même quand il m’avait complètement ignorée alors que je lui confiais mes angoisses. En cet instant, je compris qu’il ne m’avait jamais aimée. J’avais juste été un coup facile.
La vérité était trop dure à accepter. Je fermai les yeux et me forçai à penser à autre chose, n’importe quoi. Je savais que je devais partir, fuir cette ville méprisable et les gens qui m’avaient blessée. Je méritais mieux que ça. Je devais sortir de là.
Quelle que soit sa manière de s’y prendre, il me remontait le moral sans effort, savait distraire mes pensées et me faire oublier mon chagrin. Il me rendait heureuse. Je me sentais en sécurité avec lui. Je savais que j’avais le droit d’être bouleversée ou déprimée, mais, en même temps, il chassait la raison de mon chagrin. Il m’aidait à oublier mes problèmes.
Personnellement, je me fichais bien de l’Empire State Building ou de la Statue de la Liberté. Je préférais la couleur locale, celle des habitants de la ville. Le simple fait d’observer les clients d’un café ou les coureurs dans Central Park suffisait à exprimer l’atmosphère pittoresque de la ville : la plus belle ville du pays.
Pénélope était une femme splendide, mais également brillante et intelligente. Le rêve de tout homme, en vérité. Je n’étais pas surprise que Sean soit si entiché d’elle. Qui ne le serait pas ? Aussi étrange que ce soit, si j’avais été un homme, j’aurais tout fait pour l’avoir, moi aussi.