J'avais seize ans, et j'étais une meurtrière

Entre sciences physiques et plongée sous-marine, une enquête captivante.
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Mon choix sur ce roman est très personnel: L'Alsace et sa période historique douloureuse durant la seconde guerre mondiale avec leurs jeunes hommes enrôlés dans l armee nazi; qu'on a appelé "les Malgré-Nous".J'en ai entendu beaucoup parler durant mon enfance. Une enquête scientifique?
Et voilà ma curiosité attisée.
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C'est le premier roman de Jean-Luc Espinasse que je lis.
Allez c'est parti, on rentre rapidement et directement dans le vif du sujet puisqu'on plonge dans les eaux méditerranéennes phocéennes.
Un journaliste marseillais quinquagénaire, fringant et sportif va trouver une caméra étanche au fond d'une calanque.
Curieux comme un pou, il va découvrir des vidéos intrigantes et bien mystérieuses . Qui va l'emmener dans une quête haletante et trépidante jusqu'en Alsace!
Où il est question de sciences physiques, de jeune femme acolyte bien immorale,de sphère, de manuscrit intime et de physicienne alsacienne.
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Le rythme du récit est soutenu , il n'y a pas de temps mort, pas de fioritures, on va à l'essentiel et tout cela avec de l'action et des rebondissements bienvenus.
J'ai été captivée par l'histoire réelle scientifique de cette période tragique. Un pan inconnu pour moi.
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Un récit qui doit tout aux personnages empathiques, aux secrets déterrés et à la crédibilité des évènements. Peut-être un petit bémol pour les explications scientifiques où je n'ai pas tout compris.
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L'auteur a su entremêler avec brio et originalité l'histoire d'une physicienne dans la grande Histoire. Une belle réussite!

Quel plaisir de retrouver la plume de cet auteur que j'apprécie tant ! Chaque nouveau roman est une découverte totale qui sait nous prendre au dépourvu et nous emmener sur des sentiers inattendus et originaux. C'est donc avec une grande impatience que je l'ai débuté, d'autant plus que le titre m'intriguait au plus haut point.

Je dois admettre que le début du roman m'a totalement déroutée et que j'ai eu du mal à entrer dans l'histoire, principalement quand nous étions sur le thème de l'énergie perpétuelle. Ce genre de thème ne faisant pas partie de mes intérêts ou de mes préoccupations, cela a ralenti mon rythme de lecture et n'a pas éveillé totalement mon intérêt. Pourtant, l'histoire nous réserve bien des surprises et va bien au-delà de ça et ce fut tant mieux pour moi !

Si l'on met de côté ce thème peu accrocheur pour moi, l'enquête en elle-même m'a totalement passionnée ! J'ai adoré suivre les recherches d'Antoine, d'autant plus qu'elles nous renvoient aussi un peu dans certains événements de la deuxième guerre mondiale, période qui, elle, me passionne plus que tout.

Autant dire que son enquête ne sera pas de tout repos et qu'elle nous réserve bien des surprises et des rebondissements. Une fois de plus, l'auteur nous montre toute l'ampleur de son talent et nous embarque dans une histoire dont les fils se délient de façon complètement inattendue. Je ne parle même pas des révélations finales que je n'avais pas vues venir.

En bref, oui j'ai eu du mal quand l'histoire tournait autour des thèmes scientifiques, mais l'enquête est tout bonnement haletante, ce qui fait, qu'une fois de plus, je me suis régalée avec un roman de cet auteur !

Marseille est une très grande ville, mais Antoine aime son quartier plutôt retiré, rurale et surtout conviviale. Ici, chacun connaît tout le monde et tout le monde est capable de savoir où vous êtes à n'importe quel moment de la journée. le nouveau Marseille a pourtant redéfini le paysage. L'arrivée du MUCEM (Musée des civilisations méditerranéennes) a changé la vie d'Antoine. Connaissant la valeur des objets et aimant l'histoire et les anecdotes, Antoine se retrouve propulsé en tant que chef de sécurité du musée national.

L'une des passions d'Antoine est la plongée. Au petit matin, il décide de se rendre à Pomèges, avec son pneumatique, pour aller cueillir quelques huitres dans les 25 mètres de profondeur. Au cours de la plongée, il est attiré par les profondeurs et continue sa descente. Il trouve une caméra portative de sport dans les 35 mètres. le visionnage des vidéos lui montre une plongée bloquée dans un endroit qu'il reconnaît et un accident (de plongée). Il cherche à savoir si le plongeur est toujours en vie, via ses contacts et les réseaux sociaux. Une femme anonyme le contacte, lui annonce qu'il s'agit de son ami : Christian Delbar et qu'il était à la recherche d'un trésor dont elle a les instructions de géolocalisation sur un carnet...

Jean-Luc Espinasse se repose maintenant après sa brillante carrière dans la publicité et le marketing. Dans le secteur de la presse quotidienne, l'auteur s'est attaché à mettre une empreinte plus volumineuse et moins régulière en s'attelant à l'écriture de romans. Il s'agit de son quatrième roman, après L'accident : aux confins de l'indicible, le candidat et Intelligences (tous les trois publiés chez IS Edition)....
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Un thriller passionnant mêlant aventure et chasse au trésor !

Je me suis vraiment régalée avec cette histoire qui ne nous laisse pas une minute de répit. J'adore ce mélange de faits historiques, aventure, science et thriller. Tout y est pour que l'on soit happé par l'histoire dès les premières pages.

Antoine Bogossian se retrouve en possession d'une caméra après une plongée au large de Marseille. En la visionnant, il découvre plusieurs données qui vont appâter le détective en lui. Il se lance alors dans une chasse au trésor qui va le mener à une étrange jeune femme, puis à la recherche d'une scientifique qui aurait découvert l'énergie libre et perpétuelle pendant la seconde guerre mondiale...

Le récit est mené tambour battant, on ne s'ennuie vraiment pas car on alterne régulièrement entre présent et incursions dans le passé avec rappel de faits historiques. le roman est court, il ne fera donc pas peur aux personnes qui craignent les pavés, mais il est suffisamment long pour bien poser l'intrigue et la développer. C'est peut-être juste la fin que j'aurais aimé voir plus détaillée, tout cela finit un peu vite à mon goût, mais pour le reste, c'est parfait. L'écriture de l'auteur est prenante, facile à lire et maîtrisée.

C'est un roman qui plaira au plus grand nombre, n'hésitez pas !
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Service presse via SimPlement.pro.

Jean-Luc Espinasse est un ancien Directeur Marketing dans les domaines de la publicité et de la presse quotidienne et qui a décidé de s'adonner à sa passion, l'écriture. "J'avais seize ans, et j'étais une meurtrière" est son quatrième roman.

Avec un style recherché et agréable, l'auteur mêle thème scientifique et futuriste avec des faits historiques avérés. de nos jours à la seconde Guerre Mondiale, de Marseille en Alsace, on suit Antoine Bogossian, homme dans la force de l'âge, solitaire et tenace, dans les tréfonds d'une quête de la vérité, d'une enquête à suspense, dans un passé où s'entremêlent les engagés volontaires contre les STO. On est invité à se plonger dans une véritable collecte d'informations, de recherche de personnes, d'informations vieilles de plusieurs dizaines d'années pour comprendre le contenu de la vidéo.

L'auteur réussit dans cette fiction aux allures scientifiques à respecter la chronologie des événements historiques, à crédibiliser son histoire au travers des témoignages de survivants, de manuscrits oubliés. On voyage de Marseille en Alsace où les villages de l'est respectent autant l'omerta pratiqué dans le sud. le rythme est naturel, l'intrigue très bien construite et le personnage, qui nous fait part de ses réflexions, rendent cette enquête historique palpitante.

L'histoire de ce roman est immersive, intéressante et intrigante. L'empathie pour les personnages, pour notre histoire et toute son horreur, et la découverte scientifique plausible ont rendu ma lecture captivante jusqu'au dernier mot. L'auteur a été capable de mêler des faits réels, de la fiction, des découvertes scientifiques et des choix difficiles dans un contexte particulièrement difficile (la guerre) sans nous fioritures ni fadeur.
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