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EAN : 9782746526181
323 pages
Le Pommier (25/01/2023)
4.08/5   6 notes
Résumé :
On part en exil pour fuir la guerre, la famine, des conflits politiques ou familiaux ; on part en voyage pour découvrir le vaste monde, changer d’horizon. Mais pourquoi revient-on ? Qu’est-ce qui pousse Ulysse à abandonner Calypso et à retourner à Ithaque ? Pourquoi l’explorateur du bout du monde rentre-t-il chez lui ? Pourquoi quitter l’extraordinaire, l’aventure, le dépaysement pour retrouver le quotidien dans sa banalité ?
Du désir de retour, les livres pa... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (4) Ajouter une critique
Ce livre, je l'ai acheté après avoir entendu parler Céline Flécheux de son livre dans l'émission : « Un jour dans l'histoire », émission de la radio télévision Belge de langue Française (RTBF) et après l'avoir vue en vidéo. Mon impression était qu'elle possédait bien son sujet, ce qui m'a rendu « partie prenante » du sujet. Je me suis également demandé qui est au juste Céline Flécheux ? Cette dame est philosophe, maître de conférences, professeure avec une formation complémentaire en histoire de l'art.

Elle définit une série de mots : partir, venir, revenir, aller, retour, repartir, devenir, entrer, rentrer… Avec sa formation en art, elle utilise des sculptures, peintures et autres supports artistiques pour interpréter le texte de Luc chapitre XV : le fils prodigue ; et la résurrection de Jésus. Au centre du livre des photographies matérialises ces deux pôles de réflexions. Au crédit du livre, je me dois de signaler un index fort utile des noms propres cités dans le coeur de l'ouvrage et dans la bibliographie. Cent vingt titres figurent dans la bibliographie.

Le livre est divisé en neuf chapitres dont les trois premiers sont consacré à l'Odyssée d'Homère où il est question du retour d'Ulysse en Ithaque. Retour parsemé d'épreuves. La colère des dieux s'opposait au retour d'Ulysse en Ithaque. Ulysse qui dû avoir recours à bien des ruses pour s'en sortir. En revenant à Ithaque Ulysse doit se battre pour redevenir, roi, père et mari.

Ayant lu plusieurs versions de l'Odyssée d'Homère avec les trois premiers chapitres je me remémorait ce fabuleux récit.

Dans un chapitre l'auteure décrit les aléas des départs et retours des grands explorateurs qu'étaient Christophe Colomb, Magellan, Marco Polo, Cook.

Ulysse et le fils prodigue reviennent du voyage, du départ, transformés par les aventures, mûri par les épreuves, enrichis par l'expérience. Il reviennent appauvris, ils ont perdu des années de vie, leur jeunesse. Leur retour est un rendez-vous avec eux-mêmes.

Rien ne nous est révélé des retours de Christophe Colomb, ceux-ci étant considérés comme purement fonctionnels, ils sont uniquement des occasions de repartir. Pour ces grands explorateurs leur véritable patrie est l'aventure.

Si Marco Polo revient sans encombre, Colomb revient avec la soif insatiable de repartir, et ce jusqu'à sa mort. Ni Magellan, ni Cook ne finirent leur vie chez eux : ils finirent massacré par les populations indigènes à l'autre bout du monde. Les récits des grands explorateurs n'ont cessé d'alimenter l'imaginaire des romanciers séduits par leurs aventures. La fiction s'est emparée de l'un ou l'autre récit. C'est le cas de Swift qui a écrit : « Les voyages de Gulliver. »

Avec cette lecture, j'ai découvert certains livres qui ont alimentés les réflexions de Céline Flécheux et j'ai acquis un complément d'information sur la mythologie grecque. Nonobstant, cette lecture aura été pour moi laborieuse. J'aurais, je crois, mieux fait d'abandonner cette lecture qui a focalisé une grosse dose d'énergie et où bien des aspects sont restés sans réponse, mais il se fait que c'est dans mon tempérament de m'obstiner à relever un challenge. Est-ce bien raisonnable
d'aller coûte que coûte au-delà de ses possibilités ?


Céline Flécheux possède bien son sujet, mais j'eu préféré qu'elle vulgarise le sujet afin qu'il soit à la portée de davantage de lecteurs. Pour moi, son texte était imbuvable par moment. J'ai souvent été rebuté par de longues phrases de cinquante mots ou plus.
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Nombreux sont les récits, réels ou fictifs, parlant de départs et de voyages ; l'expérience du retour est en revanche beaucoup moins documentée. de même, la philosophie semble s'être assez peu emparée du sujet. C'est par ce constat que Céline Flécheux entame son ouvrage. Comme pour combler un vide.
Que signifie revenir ? Quels sont les points de vue de "celui qui revient" (comme un symbole, le français n'a pas de mot spécifique pour le désigner) et de "celui qui voit revenir" ? Quels sont les différents types de retours ? Comment les arts (peinture, littérature...) abordent-ils ce thème du retour ? Autant de questions parmi d'autres que pose l'auteure dans ce très bel essai plein d'érudition.
S'il existe peu de récits de retours, l'un d'entre eux au moins est emblématique et fondateur de la littérature mondiale. Il s'agit de L'Odyssée, le récit du retour d'Ulysse, après la prise et le saccage de Troie, vers son île d'Ithaque, vers son palais et sa femme Pénélope. L'Odyssée, écrit Céline Flécheux, et j'ai trouvé ces développements très intéressants, est l'inverse de L'Iliade. Elle représente le passage d'un "monde merveilleux, héroïque et mythique, (...) où se confrontent les dieux par humains interposés" à un monde humain, normal. Autrement dit, c'est le retour à l'ordre, non pas seulement à l'ordre de la paix mais aussi à l'ordre des choses. Quantité d'épreuves sont nécessaires pour passer de l'un à l'autre, sans lesquelles il n'y a pas de retour possible. Les autres héros tels Ménélas, qui sont retournés sans épreuves, sont restés dans le monde héroïque, ressassant indéfiniment le passé, regrettant leurs anciens moments de gloire. Pour que le retour s'accomplisse, il est besoin de temps et d'épreuves de transition. Ainsi Ulysse passe dix ans à se perdre en Méditerranée, il lui faut jusqu'à renoncer à la divinité (l'immortalité lui est offerte par Circé puis par Calypso) pour retrouver son humaine condition ; mais en acceptant la vie et la mort, il s'ouvre aussi à la possibilité de l'amour, celui de Pénélope qui l'attend sans faillir et celui de son fils Télémaque.
On peut soupçonner souvent avec de tels sujets qui ont été épluchés et réépluchés une légère tendance à la surinterprétation. Je doute, en ce qui concerne L'Odyssée, qu'Homère ait eu seulement la moitié des intentions qu'on lui prête, ni qu'il ait réellement songé à toutes les symboliques qu'on y décèle aujourd'hui. Évidemment c'est un exercice intellectuel des plus stimulants et passionnants, mais ce ne sont là qu'interprétations qui sont probablement pour la plupart parfaitement déconnectées. On décrypte Homère comme si c'était une oeuvre divine parfaite, mathématique, et que tout devait être signifiant. C'est un peu parfois le cas ici, mais comme finalement partout ailleurs dès qu'on cherche à trop analyser. On fait de chaque détail, de chaque image, l'expression d'une volonté de l'auteur : par exemple p.75, comme quoi l'oeil unique du Cyclope nous met "en présence d'une dissymétrie qui fait écho à celle qui est à l'oeuvre dans le retour [d'Ulysse]"... Si Homère avait réellement songé à tout ce qui a été dit qu'il avait songé, ce ne serait pas un homme mais un dieu de l'Olympe !
Après la figure mythologique d'Ulysse, l'auteure en vient dans son étude aux grands explorateurs, c'est-à-dire à l'histoire. Colomb, qui dans son journal est apparemment remarquablement bavard pour décrire les préparatifs de ses voyages, leurs épisodes successifs, les découvertes qu'il fait, les "Indiens", ne dit pas un mot des impressions liées à ses retours. Alors même que ce sont précisément ces retours, et en particulier le premier, qui grâce à son témoignage et aux "preuves" qu'il apporte, ont élargi le monde et ouvert l'horizon. Même chose pour Magellan, dont le voyage autour du monde (ou circumnavigation), de manière paradoxale, "fait du retour le sens même du voyage".
Devant ce vide des documents historiques, Céline Flécheux se tourne donc vers les oeuvres de fiction, pour combler les pages blanches. Notamment l'ouvrage de Zweig consacré à Magellan. Il y est dit que l'explorateur, à ses retours du royaume des Indes, se sentait comme à l'étranger, devait affronter l'indifférence des autres, la solitude, l'impossibilité de raconter. Celui qui revient apparaît changé par l'expérience, mais le lieu où il retourne, lui, est resté exactement le même la plupart du temps, les autres sont restés avec leurs habitudes, il est difficile de se réinsérer. On ne se sent plus à sa place. On a envie de repartir. Comme Gulliver, dont la femme est le type de "l'oubliée du retour", en quelque sorte l'anti-Pénélope.
Céline Flécheux complète sa réflexion en abordant les hypothétiques "retours dans le temps", en fait impossibles du fait de l'irréversibilité du temps et son incompressibilité. Reste à croire aux "chimères" de la résurrection et du rajeunissement. Mais le temps, inexorablement, "va vers le devenir, c'est là son seul sens". Revenir n'est alors qu'une apparence. Partie sur le temps que j'ai trouvée plus technique et moins accessible, même si la lecture du tableau de la Résurrection du Christ par Piero della Francesca m'a véritablement passionné.
Enfin, malgré la trentaine de pages qui lui sont consacrées à la fin, le mythe de l'Éternel Retour de Nietzsche, est resté très mystérieux pour moi... J'ai seulement compris (je crois) qu'en ce sens qu'il est cyclique il serait une affirmation, une revalorisation de la vie, contre la promesse des religions transcendantales, notamment chrétienne, d'une vie après la mort, d'une récompense finale au terme d'une existence linéaire. Récompense pour laquelle on serait prêt à sacrifier sa vie sur terre, la seule qui existe pourtant.
Un grand merci à Babélio et aux éditions du Pommier pour cet objet très soigné, agréable à lire, à regarder (présence d'un petit cahier central portant les illustrations des peintures évoquées dans le texte) et à manipuler. Je recommande donc, mais préviens tout de même qu'il est préférable de se lancer dans la lecture de cet ouvrage avec déjà un petit bagage en littérature antique et en philosophie.
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Un livre passionnant pour celles et ceux qui aiment réfléchir en particulier sur leur façon de considérer leur avenir. Est-ce réaliste ou fantasmatique de vouloir, par exemple revenir « au bon vieux temps » ou « retourner à la nature » ? Ce bon vieux temps que nous avons connu n'existe plus et la nature est un concept si vaste que tous ceux qui prétendent vouloir y retourner n'aspirent pas forcément à la même vie : une nature d'homo sapiens ? une nature d'agriculteur ? une nature de végan ?

Revenir est un verbe qui englobe tant de sens, tant au propre qu'au figuré. Partir au travail ou en cours le matin pour revenir le soir, n'implique pas un retour similaire à celui qui suit une absence d'un mois ou encore moins d'une vingtaine d'années. Comment gérer l'évolution des choses et notre évolution propre. L'émigré politique, peut-il retourner si facilement dans son pays ? Celui qui « revient à lui » après un long coma est-il le même qu'avant cet épisode ? Et le monde qui l'entoure est-il le même ? Et ses proches, sont-ils les mêmes ? Celui qui bénéficie d'une résurrection devrait aussi bénéficier d'une réinsertion. Sans compter qu'il n'y a pas que des fils prodigues dont le retour est fêté, mais il y a ceux dont le retour n'est pas souhaité.

Pensez aussi au soldat qui revient de guerre et ne retrouve pas sa famille telle qu'elle était. Un de ses parents est peut-être mort ; sa femme a peut-être refait sa vie ; ses biens ont peut-être disparu. Et lui même, aliéné par toutes les souffrances qu'il a vues et vécues, il ne dormira plus paisiblement ou aura perdu la raison pour nier ces horreurs.

Céline Flécheux convoque des mythes, des penseurs, des philosophes qui ont exploré ce thème et tout revient à dire que l'être humain veut grandir, améliorer sa vie, mais qu'il voudrait qu'advienne un moment où tout serait parfait. Il refuse en cela ce qui lui semble entamer ce qui existe (mais qui est en train de s'obsolétiser), il ne veut rien laisser alors que ce n'est plus adapté à l'évolution ; il veut « revenir aux fondamentaux » quand il faut construire un présent en harmonie avec les personnes, les moyens, les techniques, les méthodes et l'environnement tels qu'ils sont.

Une réflexion poussée, magnifique et prodigieusement contemporaine.
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Je tenais tout d'abord à remercier Babelio et les Editions le Pommier (que je découvre) pour cet envoi et de me donner l'opportunité d'écrire un avis sur cet essai.

Avant de le lire, je me suis interrogée sur ce terme "revenir". J'ai surtout lié ce verbe au retour au pays que ce soit lors de la fin d'un long voyage, d'un bref séjour, que ce soit contraint ou volontaire. J'ai posé des questions à mes proches concernant les retours chez elles après de longs voyages. L'une d'elle, partie un an au Canada, appréhendait le retour dans son pays d'origine car elle n'avait plus d'endroit "à elle", plus de logements ni d'attaches matérielles. Une autre partie travailler en Ecosse a mal vécu son retour au pays suite et a perçu son retour comme un échec. Pour ma part, même si j'apprécie voyager, je suis presque soulagée de rentrer chez moi et de retrouver mes habitudes et mon cocon intérieur. Mais place à la lecture maintenant que j'ai le livre entre les mains.

Selon l'autrice, Céline Flécheux, le retour est un mouvement en boucle, "qui n'est pas statique, mais suppose un départ, un déplacement, un détour, un séjour, puis un retour" (page 16).
Elle prend énormément d'exemples littéraires pour illustrer son essai. Une grande majorité de ses exemples concernent l'oeuvre d'Homère et le voyage d'Ulysse. D'autres références sont également apportées comme par exemple Platon, les grands explorateurs, la parabole du Fils prodigue et bien d'autres références surtout liées à la mythologie. Tout au long du livre, Céline Flécheux développe différents points en rapport avec la thématique du retour : l'étymologie, les récits, la temporalité etc.

Je tenais à saluer le travail d'écriture, les nombreuses références riches et bien documentées (et expliquées), la bibliographie pertinente et intéressante ainsi que le livret central qui permet d'illustrer certains propos.
L'autrice s'y connaît, cela se sent et cela m'a permis d'être emportée par cet essai.
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critiques presse (1)
LeMonde
07 mars 2023
Céline Flécheux, professeure à l’université Paris-VIII, au fil d’un essai original, Revenir, où elle cherche à cerner en quoi consiste l’« épreuve » du retour. Car c’est un moment faussement simple.
Lire la critique sur le site : LeMonde
Citations et extraits (6) Voir plus Ajouter une citation
Revenir dans le temps, la transition :
Les récits de ceux qui reviennent d’expéditions lointaines, par exemple, sont pleins de ces impressions d’être décalées, de ne pouvoir reprendre le rythme immédiatement, de ne pouvoir réintégrer la place qu’ils ont quittée. […]. Ceux qui accueillent celui qui revient ne comprennent pas ce qui se passe, et le « revenant » ne parvient pas à exprimer ce qu’il ressent. Il faut beaucoup d’amour pour laisser passer ce moment de transition et accepter, pendant un moment, de mal se comprendre. […]. C’est peu à peu que celui qui revient reprend le cours normal des choses ; c’est peu à peu que son corps retrouve un rythme qui lui convient, peu à peu que l’intimité se recrée avec les proches.
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Ulysse est sauvé du mauvais sort que lui réservait Circé grâce à l’intervention d’Hermes, qui le met en garde contre le maléfice de la magicienne en lui indiquant les vertus d’une plante nommée « môly », l’herbe de vie. Il est intéressant de relever que ce pharmakon est composé d’une « racine noire, et la fleur, blanc de lait », qui reflète parfaitement les deux facettes opposées de la personnalité de Circé, celles du jour et de la nuit. Ainsi Circé est fondamentalement double, d’une dualité qui la lie à la vie et à la mort, à l’obscurité et au jour, aux profondeurs de la terre et à la clarté du soleil. Mais ces entités, elle ne les tient pas comme séparées et statiques, elle les met en mouvement, les inscrit dans le temps, les fait passé d’un état à un autre. Grâce à elle alternent nuit et jour, départs et retours. De son île, contrairement à Eolie, on part et on revient.
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Pénélope joue sur le registre de l’attente, « elle se fait attendre et elle attend ». Elle a élevé son fils, a tenu en main le palais autant que possible, est restée fidèle à son époux. Ce dernier le sait : tout le monde, jusqu’à sa mère dans les Enfers, le lui a assuré. Vingt ans durant, elle a dû repousser les prétendants, dont le nombre dépasse probablement la centaine. Elle a vu mourir de chagrin la mère de son époux ; son beau-père, jadis vaillant, devenir un misérable vieillard et quitter le palais. Son fils, encore très jeune, peine à s’affirmer comme le nouveau chef d’Ithaque. Ce qui occupe Pénélope, c’est donc avant toute chose le temps.
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Toutefois, l'impossibilité de la réversibilité [du temps] ne nous condamne pas à la nostalgie. Au contraire, elle développe en nous une conscience temporelle qui favorise le récit, la mise en abyme des histoires, les flash-back, retours en arrière opérés par les montages, coupures, interruptions, reprises, etc. Le sens du temps sera certes toujours le même, mais nous explorerons la possibilité, grâce à l'impossible réversibilité, de travailler le temps en artistes.
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On recule quand on a l'impression d'avancer, on crie "terre" avant d'avoir accosté et voilà qu'on repart pour des semaines d'aventure à l'autre bout du monde, sans plus aucune connexion avec le monde où l'on souhaite pourtant rentrer.
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