« Ethel Durville joue à être belle, femme, fille, amante, actrice, autre. Elle a des pelures, des apparences. Elle conjugue le verbe avoir ou ne pas avoir, mais dans le tourbillon d'une vie pas très sage, elle a perdu le verbe être. Elle n'est pas, elle fait semblant d'être.
La Femme publique est un texte fiévreux, une sorte de cauchemar que des villes comme Paris suscitent, au ras du bitume, dans l'atmosphère étouffante des chaleurs citadines, lorsque la pro...
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