Du 1er au 6 décembre, le Salon c'est aussi à la télé, de 17h à 20h !
Un NOUS tissé de bonheurs simples, colorés, essentiels.
Regarder les mouches voler, Claire Garralon, À pas de loups Éditions, 2021
Un délicat décryptage de l'exposition «Notre usine à Nous!» et des démarches de 8 artistes qui disent «Nous» en textes et en images.
Claire Garralon/5
5 notes
Résumé :
En mars 2020, l'auteure a conçu un rituel de déconfinement consistant à réaliser quotidiennement le portrait d'un primate : macaque, chimpanzé, mandrill, colobe, entre autres. Elle souhaitait montrer la fragilité de leur expression immobile. Elle leur a ensuite donné la parole, imaginant qu'une anthropologue se présenterait à eux afin de les interroger sur leur définition du bonheur.
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Critiques, Analyses et Avis (1)
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Cet album jeunesse se présente sous la forme de faux témoignages autour du bonheur, de ce que cela représente pour les différents personnages. Différents personnages qui ont différentes visions du bonheur, évidemment.
Chaque portrait est comme une petite interview avec une mise en contexte et une présentation rapide de la personne. A la toute fin, la personne est représentée sous la forme d'une espèce de singe sur un fond qui reprend sa définition du bonheur. C'est très original et les différents textes sont vraiment beaux, plein d'émotions, de diversité et de simplicité.
Un album jeunesse qui donne le sourire et permet de se recentrer sur l'essentiel.
Chaque portrait est comme une petite interview avec une mise en contexte et une présentation rapide de la personne. A la toute fin, la personne est représentée sous la forme d'une espèce de singe sur un fond qui reprend sa définition du bonheur. C'est très original et les différents textes sont vraiment beaux, plein d'émotions, de diversité et de simplicité.
Un album jeunesse qui donne le sourire et permet de se recentrer sur l'essentiel.
Citations et extraits (2)
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- Je pensais que j'y aurais pas droit. Toi, Régis, personne t'aimera, je me répétais. Alors quand Sylvie m'a dit qu'elle m'aimait avec ses petites lèvres toutes bien dessinées, je me suis mis à pleurer. Je ne pourrais plus vivre sans elle. C'est mon petit moineau.
[p26]
[p26]
Vous savez, en basque, on ne dit pas "accoucher" mais "erditu", ce qui se traduit par "se diviser en deux moitiés".
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