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3,9

sur 1014 notes

Critiques filtrées sur 2 étoiles  
Ouvrage décevant, beaucoup de répétition, une thèse pas toujours convaincante et souvent confuse. L'homme aurait vaincu, la famine, les épidémies et la guerre....?

S'il n'est pas contestable qu'il aspire à toujours plus pour la maitrise de sa destinée et dans sa quête du bonheur, on ne peut qu'être surpris par la faiblesse des arguments mis en avant par l'auteur pour balayer d'un revers le la main toute idée de transcendance, que l'on soit croyant ou non.

Des théories néanmoins interessantes sur les ressorts de l'évolution de l'homme et l'humanisme comme religion post-moderne, portant en lui les germes de sa propre fin.

Enfin un futur qui, selon Hariri, pourrait être structuré par l'idée que les organismes ne sont que des algorithmes, que la vie ne se réduirait finalement qu'à un processus de traitement des données, que l'intelligence se découple de la conscience et que dès lors les algorithmes non conscients mais très intelligents pourraient nous connaitre mieux que nous même et orienter nos choix fondamentaux.

De fait, il est fort dommage qu'au terme de 426 pages, Hariri finisse par poser les questions qui nous intéressent vraiment : les organismes ne sont-ils que des algorithmes, de la conscience ou de l'intelligence laquelle prévaut ?
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"Au cours des derniers siècles les chercheurs n'ont découvert aucune preuve empirique de l'existence de Dieu, mais ils ont trouvé des explications bien plus précises de l'existence de la foudre, de la pluie et des origines de la vie. Par voie de conséquence, exception faites de quelques champs subalternes de la philosophie, aucun article publié dans une revue scientifique à comité de lecture ne prend au sérieux l'existence de Dieu"... Il est sérieux là ? :-)
Je précise que je suis non croyant mais quand je lis ça j'ai beaucoup de mal à apporter du crédit à tout le reste. L'auteur fait le même type de démonstration sur l'âme, les chercheurs qui ont scruté tous les recoins du coeur et du cerveau humain ne l'ont jamais découverte donc elle n'existe pas… Ce n'est ni sérieux ni honnête.
Devant l'avalanche de louanges qu'a recueilli ce livre j'avoue avoir un un de mal à dire avoir été déçu mais c'est pourtant le cas. Je n'ai pas été époustouflé par ses prévisions tournant autour de l'utilisation des algorithmes, du "bigdata" ou de l'intelligence artificielle. Il me semble que ces sujets ne sont pas nouveaux même si l'auteur imagine leur évolution dans les prochaines décennies. Dire que les Gafa nous connaitrons mieux que nous même ou que la technologie viendra renforcer les pouvoirs de l'homme n'est pas si novateur, c'est déjà en partie notre réalité. Mais au fond pourquoi pas si l'auteur analysait les conséquences de ces évolutions sur nos vies futures. il le fait parfois et c'est, selon moi, plus intéressant mais trop rarement.
J'ai bien sûr appris multitudes de choses et suis certainement passé à côté de beaucoup d'autres mais, aussi bien sur le fond que sur la forme (qui ne laisse que peu de place au doute), je n'ai pas adhéré. Je suis par contre tout à fait ouvert aux remarques de ceux et celles qui ont aimé ce livre pour tenter de comprendre ce qui les a séduits.
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Après Sapiens qui traitait de l'histoire de l'humanité, et que j'ai bien aimé, Harari nous inflige une resucée avec Homo deus. Ce livre m'a barbé, vous l'aurez sans doute compris, et j'ai mis un temps fou à le finir. Autant j'avais apprécié le récit du développement de Sapiens, la partie plus liée à la philosophie ne m'avait pas enthousiasmée, et ce livre insiste beaucoup dessus….

Plus de la moitié du livre reprend et résume Sapiens ; la suite met en valeur la domination du libéralisme, menacé par le techno-humanisme et les algorithmes. Ces arguments développés dans les 50 dernières pages du livre sont le seul intérêt de ce gros ouvrage. Toutefois, et c'était déjà valable pour Sapiens, on aimerait bien que le récit soit plus étayé par des sources ; il y a certes un peu de biblio, mais c'est léger et semble partial. le livre est-il une vison personnelle ou une synthèse de l'état des sciences ? Je penche pour la première hypothèse, avec un doute sur la légitimité de son auteur.
Lien : http://jimpee.free.fr/index...
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Je n'ai pas aimé cet essai de science-fiction.
Le style est bon, le rythme soutenu, la vulgarisation est efficace, mais ces qualités nous trompent: le fond n'y est pas. L'auteur s'est servi d'une masse de fiches de lecture mises bout à bout pour soutenir une thèse tout à fait irrationnelle. Les sujets sont intéressants - éthique animale, dataïsme - mais la démonstration est un château de sable. Dommage.
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Si j'étais injuste et méchant, ce que je suis bien tenté d'être quand je lis dans le Point que Harari serait « le penseur le plus important du monde », ou sachant que son ouvrage est encensé par de dangereux personnages comme Bill Gates, Mark Zuckerberg, Barack Obama, Carlos Ghosn, je dirais bien qu'en fermant Sapiens et Homo Deus, que j'ai enchainés, je pense à ce que Shakespeare disait dans la fin de Macbeth, puisque ces deux romans sont censés nous enseigner ce qu'est notre vie : c'est « un récit conté par un idiot, plein de bruit et de fureur, et qui ne signifie rien ».
Mais soyons juste : Harari n'est pas du tout un idiot.
En revanche, ses deux ouvrages me font bien plus l'effet de propager des bruits, parfois fort discutables comme de nombreuses critiques ici même l'ont déjà souligné, qu'un véritable enseignement, une thèse. Et sans que l'on perçoive finalement clairement quel sens il donne à cette somme d'informations (Harari semblant prendre à con compte bien des théories voire des idéologies, notamment libérales, tout en soulignant parfois des critiques bien venues… bref, mangeant un peu à tous les râteliers).
Que signifie tout cela ? Bien difficile de le dire finalement : Homo Deus (qui est loin d'être uniquement orienté sur l'avenir et passe déjà les ¾ de l'ouvrage à redire ce qui a été dit dans Sapiens) par exemple, ne saurait être ni véritablement pris pour un avertissement (quoi qu'il en formule certains) ni pleinement pour un pamphlet pour le « business as usual » et une croyance aveugle dans le progrès (quoi qu'il semble louer certaines postures très « progressistes », étant à cet égard un bon sapiens – ce singe qui se raconte des histoires sur son importance).

Si je comprends aisément que l'on puisse être séduit par le style et la capacité à accrocher son lecteur (un vrai talent) et si j'admets sans problème qu'il y a bien des choses intéressantes (les chapitres qui concernent les données paléoanthropologiques surtout) je suis quand même très gêné par nombre de positions : aussi bien les âneries classiques sur le communisme (non pas que certains régimes soient inattaquables bien sûr, mais ils ne sont pas les caricatures indiscutables qu'il véhicule à gros traits, notamment sur l'écologie) que celles qui concernent les vertus du marché, de la science, du fameux « progrès » ; et encore par nombre d'affirmations très péremptoires et réductrices, qui se fondent sur les conclusions actuelles des « sciences de la vie » – biologiques surtout –, comme si ces sciences étaient l'alpha et l'omega de la compréhension de l'homme et de la vie, ainsi que des affirmations (dont certaines qui me semble radicalement – au sens propre – fausses ; par exemple sur le rôle des religions théistes – dans l'histoire et notamment celle de la violence humaine – ou, au contraire, la non prise en compte de leur rôle parfois – par exemple comme frein au développement d'une économie accumulative).

Bien dommage finalement que Harari ne prenne pas au sérieux certaines des leçons qu'il tire chez d'autres (qu'il ne cite pas le plus souvent). Parmi elles, je pense avant tout à ce que disait le sociologue (catégorie de scientifiques fort peu citée par Harari, quoi qu'il les pille souvent allègrement) Max Weber : « l'homme est un animal suspendu dans les toiles de significations qu'il a lui-même tissées ». Harari ,me semble-t-il, aurait pu essayer davantage de se départir des discours dominants de notre époque (toiles significations dans lesquelles nous sommes suspendues actuellement), plutôt que de railler facilement celles du passé (même s'il prône, de manière étonnement décomplexée d'ailleurs, une lecture bouddhiste de la seule sagesse possible). Ce faisant – n'accordant finalement que peu de crédit aux phénomènes sociaux et politiques de domination et de violence symbolique, par exemple, qui sont pourtant très fortement renseignés (à cet égard, et sur une même échelle, j'ai lu avec un bien plus grand profit – et je conseille donc : La fin de la Mégamachine de Fabian Scheidler) – Harari peut effectivement facilement passer pour un des porte-voix de la politique actuelle du « en même temps » : certes on peut formuler bien des critiques et des craintes quant à notre évolution (sociale, cela va sans dire) et à nos modes de vie, mais continuons de croire que ce qui nous a jusque-là fait gagner le toit du monde (dominer les autres animaux et les ressources de la planète, se gausser de l'idée d'une « loi » plus importante que celle que les hommes veulent bien se donner – et donc se croire libre de tout entreprendre – valoriser l'idée même de personne qui serait plus importante que le collectif-le commun, etc.).
Malheureusement les désastres écologiques, la croissance des inégalités, la crise du sens, que nombre d'entre nous constatons, que bien d'autres observent et renseignent, et avec quelle pertinence, me semblent montre que c'est tout l'inverse qu'il faut faire : ROMPRE radicalement avec ce modèle.
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Les deux tiers du livre s'avèrent être une redite du premier, et la dernière partie ne vaut que pour ses anecdotes. C'est une sorte d'ouvrage de vulgarisation et de compilation, parsemé d'exemples. On en arrive à des raccourcis qui semblent au mieux grossiers, au pire, carrément faux. Je ne comprends pas trop le succès du livre, finalement, car ce n'est ni un ouvrage scientifique, ni un essai où se dégage une vraie pensée. C'est juste une espèce d'anthologie couplée aux opinions bien marquées de son auteur. Il en ressort au long de la lecture, un sentiment de futilité, voir carrément d'agacement, que les anecdotes souvent intéressantes ( pour ceux qui les ignorent ) n'arrivent pas à compenser.
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Avec toute la modestie de lecteur que je suis, je me permets d'apporter une critique négative à ce livre. Au fil des pages, après un début prometteur, il m'est rapidement apparu que l'auteur a sans doute été dépassé par l'ampleur du thème abordé, et que le contenu de ce livre est plus une opinion personnelle de l'auteur que le fruit d'un travail de recherche approfondi et objectif.
Les principales critiques que j'émets à l'égard de cet ouvrage sont les suivantes :
Un raisonnement qui s'appuie sur une démarche critiquable : une analyse partielle de faits historiques retirés de leur contexte (par exemple le fait que les religions dictèrent la conduite des royaumes, alors que les royaumes ont surtout eu besoin de la religion comme ciment de la société médiévale, ce qui a justifié l'inquisition, le siège de la Rochelle, les Cathares etc…tout comme la conversion au Catholicisme de Constantin 1er (ou Henri IV)). L'auteur utilise également des exemples simplistes et inappropriés pour valider son raisonnement. Par exemple, page 209 « Quand elle se vendent, les religions ont tendance à souligner leur belles valeurs. Oui, mais Dieu se cache souvent dans les clauses en petits caractères des énoncés factuels. La religion catholique se présente comme la religion de l'amour universel et de la compassion. Merveilleux ! Comment objecter à cela ? Mais alors pourquoi tous les hommes ne sont-ils pas catholiques ? Parce que quand vous lisez les notices en petit caractère, vous découvrez que le catholicisme exige aussi une obéissance aveugle à un Pape qui ne ‘commet jamais d'erreurs', même quand il ordonne aux fidèles de partir en croisade ou de brûler les hérétiques sur le bûcher. Ces consignes pratiques découlent pas uniquement des jugements éthiques, un résultat plutôt de la réunion de jugement éthique et des énoncés factuels. ». Ainsi, avouons-le, imputer la baisse majeure du nombre Catholiques à la seule obligation de devoir croire en un Pape infaillible est tout simplement une ânerie.
Son interprétation de la Bible prête parfois à rire, précisant en page 198 « On dit souvent que Dieu aide ceux qui cède, c'est une manière détournée de dire que Dieu n'existe pas, mais que si notre croyance en lui nous pousse à faire quelque chose nous-mêmes, ça aide. ». de même, son interprétation toute simpliste du péché originel ne voit aucunement dans la condamnation d'Adam et Eve par Dieu la conséquence que Dieu a voulu l'homme libre, et que ce dernier en retour a souhaité non pas s'abandonner à Dieu mais le rejoindre dans une déité qui permet de discerner le Bien et le Mal, et de pouvoir agir non pas selon le bien seul. Dostoïevski posera cette question de la liberté laissée par Dieu à l'homme dans les Frères Karamazov et j'invite tous les lecteurs à parcourir ces pages qui sont tout simplement magnifiques.
L'auteur traite longuement de la religion, allant jusqu'à émettre des contre-vérités comme en page 204. « Pour les religions, la spiritualité est une dangereuse menace, les. Les religions s'efforcent typiquement de brider la quête spirituelle de leurs fidèles. », oubliant que les religions incitent à la prière, la retraite et le détachement des choses matérielles, et l'élévation spirituelle.
Harari aborde également des questions philosophiques traitant de l'existence de l'âme, de l'esprit, à travers des analyses scientifiques basées sur le cerveau et les échanges neuronaux. Harari traite ainsi de la conscience et de l'esprit sans pourtant jamais les définir…Démontrer l'existence de l'esprit ou de l'âme par une démarche scientifique est tout simplement un non-sens, tout comme essayer d'associer la foi et la raison dans une croyance…La raison, la science s'appuient sur des faits et des théories, non des concepts ou des convictions.
Enfin ; l'analyse de l'histoire de l'humanité jusqu'à ce jour s'appuie sur quelques éléments insuffisants mais sans doute faciles à comprendre, comme la religion, l'humanisme, la science. À chacun pourra aisément comprendre que s'il Indéniable que ces composantes. Des piliers majeurs de l'histoire, elles ne peuvent l'expliquer à elles seules. le livre ‘La fin de la Mégamachine' (de Fabian Scheidler) est beaucoup plus documenté et sérieux en ce domaine, sans doute le fruit d'un travail beaucoup plus intense et d'une objectivité bien plus respectable.
Bref, si j'adhère au constat actuel du monde dressé par l'auteur, la lecture de livres (cf ‘Mes livres' de J.F. Bellamy, Chantal Delsol, Michel Onfray ou encore Albert Camus, Raymond Aron) m'a convaincu que Homo Deus est un livre creux, dont l'auteur ne pourrait soutenir l'analyse face à des contradicteurs sérieux.

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Très déçu par ce roman... J'ai réellement eu du mal à lire ce livre (philosophique?) et n'adhère pas forcément aux idées de Harari. Algorithmes, datas...Je me suis forcé à le terminer par respect pour les recherches effectués par l'auteur. Je ne lirai pas son 3ème romain.
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A noter : J'ai lu ce livre en anglais

Homo Deus est la suite de Sapiens : Une brève histoire de l'humanité (cliquez dans le texte afin de lire le commentaire) par professeur Yuval Noah Harari. Pendant que Sapiens nous explique les évènements dans l'histoire de l'humanité jusqu'à la XXIème siècle, l'écrivain nous présent son pronostic dans le futur de l'espèce – comment on va gérer la technologie qui change rapidement et aussi nos challenges avec l'intelligence artificielle ? Nous serions les mêmes ou il y aura un changement fondamental – le cas principal l'écrivain a construit dans le livre précèdent était la façon dont notre espèce a réussi à surmonter plusieurs contraintes sans un changement fondamental dans la structure de l'ADN. L'écrivain réponds aux ces questions dans ce livre.

Il a créé du terme « homo deus » pour décrire l'espèce qui va remplacer Homo Sapiens et l'impact le génie génétique et l'intelligence artificielle vont avoir. L'écrivain a commencé bien, par expliquer comment on vit dans le temps plus mieux pour l'humanité puisque pour la première fois dans notre histoire, plus de personnes meurent de maladies liées à l'obésité que de malnutrition, plus de personnes meurent de suicides que de guerre et de peste, entre autres. le livre est splitté par trois parties, la première qui explique comment homo sapiens ont conquis le monde, et puis c'explique comment les homos sapiens donnent un sens pour le monde, et la dernière partie qui explique comment nous sommes en train de perdre du contrôle et le pronostic de l'écrivain sur l'avenir.

Comme mentionné déjà, le livre a commencé bien, avec beaucoup des faits amusants comme ; comment toutes les émotions humaines sont les réactions biochimiques dans le cerveau ; et si elles pouvaient être récréées ? Cela me permis d'entrer dans le livre immédiatement. Comme son livre ancien, c'explique un topique scientifique dans le langage profane. Mais, la ressemblance était une faiblesse pour ce livre, où plusieurs fois, je me suis senti que l'auteur a répété les mêmes contenus de son livre ancien pendant la deuxième partie – où il explique comment les mythes sont essentiels pour coopération, etc. Cela m'a semblé un moyen d'écrire un autre livre très similaire au précédent, y compris en ce qui concerne la taille, alors que ce l'écrivain souhaitait transmettre aurait peut-être en deux fois moins de pages si nous supprimions les redondances.

J'ai aussi vu le même problème que Sapiens, où l'écrivain a compris mal le mot « religion » - où il explique comment « humanisme » et « libéralisme » sont religions et ces seront les religions du futur. Bien sûr, il y a des similarités entre religion et les idéologies susmentionnés ; pour commencer, les deux sont mythes humains qui beaucoup de personnes croient afin de créer une société stable. Mais, cela la fin des similarités – religion est associée au divin et normalement, il y a un créateur (c'est une raison pour laquelle plusieurs théologiens débattent si le bouddhisme est une religion) et prétend d'avoir les réponses pour toutes les questions et sûrement pas les idéologies susmentionnées (personne ne demanderait à un philosophe humaniste d'expliquer comment l'univers est né). C'est la même logique comme « Mon chien a une queue. Les chats aussi ont une queue. Ainsi, mon chien est un chat ». Ces aspects du livre m'ont fait craquer.

Il faut également mentionner que la façon dont l'écrivain a mentionné certains faits évidents comme conclusions ; pour citer un exemple, il a essayé de prouver comment les humains ne sont pas différents des autres animaux et qu'il n'y a aucune preuve de l'existence de l'âme. Je n'ai rencontré jamais les plus fervents partisans et croyants du concept de l'âme qui s'agit que c'est un concept scientifique ou médical. Il y avait un argument similaire dans l'esprit aussi. Bien que je fusse étonné que les scientifiques ont mené des expériences pour confirmer l'absences de ce concept ce qui était intéressant, cela n'ajoute pas de valeur au livre, ni de connaissances au lecteur / à la lectrice.

Pour conclure, ce livre peut être lu pour raison de continuité et pour quelques faits intéressants, mais certainement pas aussi instructifs que Sapiens. Ce livre est un cas classique de ruine d'un bon départ - le livre traitait très peu du pronostic de l'auteur. Cependant, j'admets que si j'évalue le contenu en ignorant toutes les parties redondantes du livre, je dirais qu'il est assez instructif. Cela sauve la réputation de l'auteur dans mes livres pour qu'il puisse lire son prochain livre, mais pas la note de ce livre, je lui attribue une note de deux sur cinq.
Lien : https://lastute.blogspot.com..
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J'ai été incapable de terminer ce livre tant il m'ennuyait. Vision tellement pessimiste de l'humain, tellement déprimant.
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