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4,04

sur 1213 notes
Composé de trois nouvelles, ce recueil inclassable par son mélange de genres, s'articule autour de la vengeance et du rapport entre l'homme et la nature.

L'automne évoque l'arrière-saison, celle de la maturité, des questionnements et des regrets. Il éveille la conscience du temps qui passe et de l'imminence de la mort.

J'ai particulièrement aimé la noirceur de certains personnages qui, dans la peine, n'ont trouvé que la vengeance comme véritable exutoire.

Jim Harrison se confirme comme un excellent passeur de savoir et de sentiments. Son verbe fait jouer saveurs et sens et l'environnement devient son terrain de jeux.

Sa prose simple et concise alliée au lyrisme continue de me subjuguer.


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Décidément j'apprécie beaucoup cet auteur pour sa sensibilité à fleur de peau, son approche lucide, souvent désenchantée de l'âme humaine, sa manière de peindre les êtres tels qu'ils sont : dans leur complexité, leur inertie, avec leurs doutes ou leurs obsessions. L'écriture sophistiquée, tourmentée, jamais inutile papillonne entre les êtres et les sentiments. L'omniprésence de la nature donne un écho magique aux hommes en souffrance, établit avec eux un lien invisible, une sorte de respiration complice.
Nordstrom le solitaire, inapte à communiquer, à partager, se recroqueville sur lui-même, semble extraire de ses propres cellules la sève qui lui permet d'exister. Il erre, tel un spectre, dans un monde qui ne le perçoit pas et qui pour lui est un décor sans âme.

Le drame accompagne chacun des pas de Cochran, type qui a vécu plusieurs vies et continue de tracer sans se retourner, sans rêve ni envie jusqu'à ce qu'il rencontre la femme de son meilleur ami. Pas de rédemption : la violence le rattrape et fracasse la passion qui aurait dû le sauver.

Trois frères, trois destins emportés dans le souffle morbide de la guerre, aux passions mort-nées ou avortées. le jeune Samuel décède sous les balles allemandes, Alfred semble survivre dans une existence sans éclat, faiblement éclairée par son amour pour une femme au mental fragile qui en aime un autre : son frère. Et ce troisième frère donc, Tristan, exalté, écorché vif, brûle la vie par les deux bouts, se lance dans des entreprises périlleuses voire insensées et danse avec la mort pour la défier tandis qu'elle s'acharne à lui retirer des êtres chers. Récit terrible et bouleversant, à l'instar de l'épitaphe concernant celui qui dans la fratrie a vécu le plus longtemps : « Toujours seul, à l'écart, résolument solitaire, Tristan est enterré en Alberta. »
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Il s'agit de 3 nouvelles distinctes, mais ou, passions, vengeances vont faire chavirer le destin de ces " héros" , sous la plume de Jim Harrison : cet écrivain poète et essayiste amoureux des grands espaces de l'Amérique du Nord et de l'Ouest !
***Une vengeance : Cochran, ex militaire de carrière, ex pilote de chasse mène une vie rangée en qualité de civil, séduisant et séducteur : il va s'éprendre de la " protégée" Myryae du Senor Mendez dit "le requin" : un proxénète qui a fait sa fortune dans la drogue . Ce Western-Mafieux a viré au drame car le récit débute par la découverte par un paysan mexicain Mauro de ce qu'il reste de Cochran après la visite du mafieux et de sa bande, il sera soigné par Diller, médecin dans une mission ménnomite et, avec l'aide d'Amador, le texan va tout faire pour se venger et retrouver son aimée !
Entre temps, Tibey, l'a mise sous héroïne, et dans un bordel ignoble, mais finalement, il la fera désintoxiquer et la placera dans un Couvent sous haute surveillance ! Elle se meurt et, Tibey et Cochran réunis pour se battre réalisent qu'ils aimaient la même femme qu'ils sont en train d'enterrer !
***L'homme qui abandonna son nom .
Nordstrom a fait des études en sciences économiques, il gagne bien sa vie de fiscaliste dans une compagnie pétrolière, il aime danser depuis son enfance, cuisiner et aime la nature, les balades ! Il est marié à Laura qu'il a rencontré pendant leurs études, avec qui il s'est marié et a eu une fille qu'il adore : Sonia. Sa femme s'est investie dans une grande carrière de production ! Il a tout pour être heureux, mais elle le quitte et il commence une introspection sur sa vie, et ses motivations ! Il va finalement laisser ses biens, son argent à son ex et à sa fille pour vivre simplement dans un coin perdu et profiter de la beauté de la nature, de son gout pour la cuisine ! Une vengeance contre son incapacité à réussir sa vie, ses amours !
***Légendes d'automne : une nouvelle qui a donné le titre au roman, qui est (à mon avis ) la + réussie, mais j'ai , déja vu le film au moins 2 fois et donc , je manque d'objectivité ! Trois frères : Alfred, Samuel et Tristan doivent partir à la guerre en Europe ! Ils habitent dans un ranch près de Choteau (Montana) avec leur père, l'ex colonel William Ludlow et leur vieil ami cheyenne " Un Coup ". Leur maman est partie car elle ne supporte plus la vie sauvage au ranch ! Susannah, sa cousine vient les rejoindre et tous en sont amoureux mais c'est avec Tristan, le trappeur de Lynx qu'elle va se marier ! Samuel est tué à la guerre, et Tristan qui adorait son cadet va fuir, il va faire des voyages dans le monde, des trafics divers, et finalement libérer Susannah de son engagement ! Elle va se marier avec Alfred qui est devenu député, et Tristan lors d'un de ses retours au ranch va épouser la fille De Decker et Pet : Isabel ( 2) et avoir 2 enfants qu'il va abandonner à ses beaux parents après l'accident mortel de leur mère ! Tristan n'a qu'une idée venger sa femme, et quand les autorités viennent le chercher, son vieux père va tirer !
Jim Harisson a donné un destin tragique à cette famille et en particulier à son "héros" rebelle, qui se bat comme un indien et bouleverse sa vie et celle de ses proches par cette fureur de vivre ou de mourir ? Dans le canyon , 23 ans après : gisent Samuel, Deux, Susannah, Ludlow, Un Coup, Isabel, Decker, Pet et quelque part dans l'Alberta : Tristan qui a peut-être retrouvé la paix !
L.C thématique de janvier 2022 : un(e) auteur(e) U.S/Canada.
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Légendes d'automne, ce sont trois histoires aux couleurs arides et au ton sauvage. La première mêle amour et vengeance, la seconde est le spectacle d'une vie somme toute banale, et la troisième expose l'homme à des violences de toutes sortes.

J'ai lu cet ouvrage il y a plusieurs mois (années ?) et, à défaut de substance, il m'en reste une sensation. Celle d'un malaise dû à un ennui pourtant conscient de se trouver face à de la qualité. La plume de Jim Harrison a du caractère et pourtant ne m'émeut pas ; ses mots ne trouvent aucune résonance en moi. Je sens bien qu'il touche à des tragédies modernes, et les sujets qu'il aborde ont beau, dans l'idée, m'intéresser, mon marbre ne vibre pas.

Alors je laisse à d'autres cette lecture sur le fil ténu de la damnation et de la rédemption… elle trouvera nécessairement un écho chez certains.
Lien : https://auxlivresdemesruches..
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J'avais bien des attentes concernant ce recueil de trois novellas :

J'aime énormément le film "Légendes d'automne".
J'aime les grands espaces américains et la littérature américaine contemporaine et Jim Harrison est présenté comme une référence en la matière.
La quatrième promet "Trois hommes, trois vengeances, trois histoires d'une intensité et d'une violence à couper le souffle".
Très bien, tout pour me plaire.

Lecture...
Première impression : c'est... viril. C'est bien la première fois que je ressens ma condition de femme en lisant un bouquin ; d'habitude, je n'ai aucun mal à m'identifier aux personnages masculins même violents, même animés de désirs qui me sont étrangers... mais là, impossible. Je reconnais une belle plume et des passages auréolés d'une certaine grâce mais je suis restée complètement étrangère aux trois novellas.

De grands espaces du Midwest point. La nature est rapidement évoquée dans "Légendes d'automne" mais sans plus.
La quatrième grossit l'importance de la thématique de la vengeance : fallait-il trouver à tout prix un lien entre les trois histoires, même hasardeux ? C'est plutôt mince comme lien...

Bref, je n'ai rien ressenti.
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J'ai lu "Légendes d'automne" de Jim Harrison pour galoper sur un cheval les cheveux au vent avec Brad Pitt, ou dit plus sérieusement, pour découvrir Jim Harrison et la nouvelle à l'origine de ce très beau film.
Elle se mérite cette nouvelle, il faut d'abord lire la sombre mais belle "Une vengeance ..." et "L'homme qui abandonna son nom".
Un point commun entre ces trois nouvelles : la vengeance.
Parce qu'il aime la femme qui ne fallait pas, Cochran en paie le prix fort, tout comme l'objet de son désir.
Mais celui qui est laissé pour mort est finalement bien vivant et n'a plus qu'une idée en tête : se venger et retrouver la femme qu'il aime : "Sa détresse était celle d'un homme qui se laisse entraîner par sa passion aux plus profondes limites de l'être et qui sait qu'un voyage de retour est très improbable.".
Recueilli, soigné, le voilà prêt à reprendre la route : "Je vous souhaite d'échapper à vos ennemis et de trouver votre vengeance, si c'est cela que vous désirez.".
Cette histoire m'a énormément touchée, par son coté sombre et violent, mais également par la forme de beauté qui s'en dégage.
L'écriture de Jim Harrison est simple, précise, nette, et ne rend cette histoire que plus percutante.
C'est d'ailleurs une caractéristique que j'ai ressentie tout au long de ma lecture de ce livre.
Je ne m'attarderai pas trop sur la deuxième nouvelle, je n'ai pas accroché à l'histoire et au personnage, je l'ai trouvée plus fade que la première et sans grand intérêt, d'ailleurs son personnage principal fait également des découvertes sur lui et sur le monde en général qui ne présentent pas non plus un grand intérêt : "Assis sur la souche et pliant sous le poids de son deuil auquel s'ajoutait la mort imminente de cette voûte de feuilles déjà roussies, il comprit confusément que la vie n'était rien d'autre qu'une accumulation d'actes quotidiens et sans cesse répétés.".
Ou alors je suis passée à côté de quelque chose sans m'en rendre compte.
Quant à "Légendes d'automne", c'est une nouvelle d'une beauté troublante, tenue par le personnage de Tristan, un homme sauvage et proche de la nature qui connut dans sa vie des moments d'intense bonheur et à l'inverse, d'intense malheur
Il n'est pas facile de pénétrer dans le coeur de Tristan, Susannah pense y avoir réussi mais elle apprendra à ses dépens qu'il n'en est rien, et c'est la jeune et quelque peu sauvage Isabel II qui y réussira et partagera durant sept ans la vie de Tristan : "Ils dormirent enlacés l'un à l'autre et toute solitude disparut enfin de la terre.".
"Il y a peu de choses à dire au sujet du bonheur; il se contente d'être lui-même, placide, presque somnolent.", mais il y a beaucoup à dire du malheur et c'est presque ce qui se dégage le plus de cette nouvelle et qui viendra toucher si durement Tristan plusieurs fois dans sa vie : "Les anciens qui vivent toujours dans la région se demandent encore aujourd'hui si c'est l'alcool, la prison, le désespoir ou simplement l'avidité qui firent basculer Tristan hors des lois.".
L'amour y est présent à bien des niveaux : celui d'un père pour ses enfants, celui de trois frères, celui envers la nature et plus particulièrement le Montana, au coeur de cette nouvelle, celui d'hommes envers des femmes mais des amours qui ne sont pas toujours payés en retour.
Il est difficile de rester hermétique au personnage de Tristan ainsi qu'à la puissance de cette histoire, c'est sans nul doute celle qui m'a le plus touchée et transportée et si je devais lui faire un tout petit reproche, cela serait d'être trop elliptique à un moment donné.
Avec le recul, le film qui en a été tiré a su garder l'esprit et le côté sauvage de l'histoire et est donc à ce titre une réussite qui se regarde aussi bien avant ou après cette lecture.

Les trois histoires du recueil "Légendes d'automne" ne sont pas réellement des nouvelles mais plus des courts romans contenant une urgence de vie et une explosion de mots qui donnent un rythme effréné au récit et une certaine forme de brutalité qui secoue le lecteur mais dans le bon sens du terme.
L'écriture de Jim Harrison est vivante et passionnée et transporte le lecteur de la même façon, une très belle découverte qui ne peut laisser personne indifférent.
Lien : http://lemondedemissg.blogsp..
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Trois nouvelles, j'ai adoré la troisième!
Il ne fait pas bon pour Cochran de séduire Miryea, l'épouse de son ami Tibey, caïd mexicain de la drogue, quoiqu'il arrive que ce dernier aie des remords...

Deuxième: Nordstroem a fait de la danse classique mais après 18 ans de mariage et de réussite, suite à leurs ambitions, leurs chemins se séparent. S'ensuit un humble questionnement sur sa virilité, son manque d'imagintion. Il donne tout à sa fille et son ex-épouse pour aller faire cuistot aux Caraïbes.

La troisième , ma préférée, est un récit coloré une vraie saga, où se rencontrent beaucoup d'existences différentes sous un halo de mystère cheyenne.

On est en 1914. Lundlow, colonel à la retraite et propriétaire d'un ranch au Montana envoie ses trois fils à la guerre.

J'ai beaucoup apprécié le style 'à l'américaine', sobre, une humilité de l'auteur, une économie de mots qui laisse l'histoire avancer. (contrairement à certains auteurs qui cherchent à vous en mettre plein la vue en remplissant si bien de beaux mots une histoire assez creuse.)

Et c'est un véritable tour de force que réalise Jim Harisson, de nous livrer, en une centaine de pages, une vraie saga, avec des histoires de guerre, de famille, d'amoures et de deuils, de trafic d'alcool et de tour du monde en bateau.

J'enchaîne, suite à certaines critiques Babélio, avec 'L'amour aveugle' de Patrick Cauvin ou il raconte les slips et les chaussettes qu'il met dans sa valise pour partir en vacance..... et c'est autre chose...

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Après avoir été subjuguée par ses romans , "Dalva" et "La route du retour", quel bonheur de replonger dans l' univers de Harrison,où le désir, les paysages et la bonne chère se disputent la première place.

"Légendes d'automne" est l'un des recueils de nouvelles les plus connus de Harrison, notamment si comme moi vous avez suivi de près la filmographie de Brad Pitt, et b̵a̵v̵é̵ ̵d̵e̵v̵a̵n̵t̵ admiré sa prestation dans le rôle de Tristan dans l'adaptation de la nouvelle éponyme.

J'ai encore une fois été conquise par l'écriture brute et poétique de Harrison, qui forge des histoires qui bousculent, et raconte les passions et les souffrances qui fondent l'identité des Etats-Unis.

Dans les trois novellas : "Vengeance", "L'homme qui changea de nom" et "Legendes d'automne", ce sont bien ces passions qui balaient tout sur leur passage, particulièrement la vengeance. Celle de trois hommes trahis par ceux qu'ils aiment, qui prennent en main leur destin et agissent pour leur liberté, souvent désireux d'un retour à la nature, à la simplicité et une propension certaine à bien profiter des plaisirs de la vie. Il y a toujours un bon petit plat qui mijote dans les pages de Harrison, une fille qui fait tourner la tête, ou une bonne bouteille qu'on s'apprête à descendre, mais il n'y a pas que ça. La profondeur des questionnements existentiels qui traversent chacun de ses textes, l'humour, et la beauté, que Harrison sait déceler dans la nature qui l'environne, font de ses textes des incontournables de ma bibliothèque.

Si j'ai aimé la tension de "Vengeance" à la frontière mexicaine et l'histoire de la famille Ludlow au fin fond du Montana (le personnage de Tristan et son amitié pour Un-coup ❤️), j'ai été vraiment séduite par la 2e nouvelle, et je garderai longtemps en tête l'image de cet homme qui danse chez lui, seul.

Ecrivain de la nature et de la folie de l'existence, du retour à la terre et de la bonne bouffe, j'ai déjà hâte de poursuivre la découverte de son oeuvre!
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Quelle déception ! Autant j'ai aimé les 2 nouvelles réunies sous le titre "Nageur de rivière", hymne à la nature et aux grands espaces de l'ouest américain, autant j'ai été déçue par les trois nouvelles de ce recueil qui tient son titre du troisième récit : "Légendes d'automne".
Ma déception est principalement due à la sécheresse de ton de "Légendes d'automne" justement ; car la densité des informations que Jim Harrison délivre dans ce récit, tellement schématisé, laisse cruellement le lecteur sur sa faim. Oui, tant et tant d'événements se produisent dans cette centaine de pages que le lecteur s'imagine avoir affaire à un résumé, qui par sa froideur et sa concision, due inévitablement au raccourci induit par ce format, empêche le lecteur de se couler dans ce récit qui aurait dû l'emporter, tant le départ en était prometteur ; ce que réussit parfaitement le film qui en a été tiré !
On cherche ici désespérément le souffle des grands espaces ainsi que l'humanisme qui animent habituellement la prose de Jim Harrison, ce qui disparaît ici sous un amas d'informations beaucoup trop abondant pour permettre au lecteur de communier avec cette nature sauvage, dont Jim Harrison s'est fait le chantre.

Quant aux deux autres nouvelles, la première conte la vengeance d'un homme, gravement blessé, suite à un tabassage, et laissé pour mort dans la nature, et elle émeut bien davantage, car elle donne aux différents personnages infiniment plus de substance, tout en décrivant leur évolution psychologique.

Pour la seconde, profondément différente et apparaissant anachronique dans ce recueil, du moins à mon sens, elle nous décrit un homme, fatigué de tout ce qui a fait son existence et qui libère par la danse son corps et son esprit de toutes les scories accumulées durant sa vie conjugale et son expérience professionnelle.

Dans une des nouvelles, il est rapporté que Teddy Roosevelt prétendait : "j'aime boire le vin de la vie avec un peu de cognac dedans" ...
Hélas, on cherche désespérément le cognac dans ces trois récits, sauf le premier qui nous en offre une goutte ... mais c'est insuffisant.
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Ce recueil de trois sublimes nouvelles m'a paru beaucoup plus homogène dans sa qualité que "En route vers l'Ouest" que j'avais lu précédemment. J'y ai retrouvé les ingrédients qui m'avaient séduite dans "Dalva". Des personnages quasi fantomatiques et hors du commun qui m'habitent encore après avoir refermé le livre, une humanité pure, profonde et un besoin de retour à des valeurs simples et à une nature apaisante pour panser les maux d'une société trop violente.
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