Hegel n'est encore ici, pour l'essentiel, qu'un tout jeune homme qui traduit de son mieux le contenu des évangiles en langage kantien.
Sa présentation n'offre pas grand intérêt sauf pour la fin, où il expose très clairement comment la moralité, dont la dimension surnaturelle ne se manifeste jamais positivement, y est condamnée par la positivité religieuse, alors que cette dernière réussit le tour de force d'employer l'effectivité politique à ses fins.