Tokyo Ghoul, tome 1

Alors que des attaques de créatures cannibales sévissent en ville, Ken Kaneki est bien plus intéressé par une jolie fille qui rencontre souvent, jusqu'à ce qu'il se fasse lui même attaquer. Seule la transplantation d'organes de son agresseur lui permettra de réchapper à la mort. Son agresseur étant une goule, Ken devient alors mi-humain mi-goule et va lutter contre sa nouvelle nature.

Ce tome est un très bon tome introductif. Je n'avais pas du tout lu le résumé et j'ai beaucoup aimé cette histoire.

Ken est un personnage plutôt attachant. J'ai beaucoup aimé sa morale et ses principes qui l'empêchent de céder à ses pulsions. C'est un jeune homme assez naïf au départ, mais au fond il est courageux.

J'ai trouvé le point de vue très intéressant. En effet, habituellement lorsque des créatures sévissent en ville, on suit des survivants, des guerriers. Ici, on suit une créature apprenant à vivre dans sa nouvelle condition.

Côté dessins, les traits de l'auteur sont agréables de précision. Les goules sont totalement déformées lorsqu'elles attaquent, les rendant vraiment dérangeantes.

Ce premier tome est un très bon tome d'introduction qui donne envie de connaître la suite. Il n'existe que peu de scènes d'action, de combats, mais il est certain qu'elles seront plus présentes dans les tomes suivants.
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D'ordinaire je ne suis pas fan des histoires d'horreur (bien que j'ai eu une période adolescente avec notamment Dean Kontz et Dan Simmons), et encore moins quand des êtres types zombiessontimpliqués. Bon d'accord ici ce ne sont pas des zombies, mais des goules.

Pourtant Tokyo Ghoul a su me captiver par son approche différente du sujet. Ici point de combat manichéens entre les gentils humains et les mauvais monstres. Non, le héros se retrouve à cheval entre les deux espèces, ce qui le place - et le lecteur avec lui - dans une situation bien plus nuancée.

Tout d'abord le fait que les goules nous ressemblent autant est perturbant. Elles peuvent se cacher partout du voisin, au collègue, en passant par le petit ami. Et si certaines sont de véritables sauvages, une bonne partie d'entre elles sont intégrées et aspirent à une vie paisible. À travers le regard de Kaneki et ses découvertes de ce monde parallèle, on se questionne sur la notion d'humanité. La présence des enquêteurs spécialisés anti-goules renforce encore ces questionnement, certains d'entre eux étant tout aussi - sinon plus ! - monstrueux que les goules.

Mais ce manga est avant tout un titre d'action et d'horreur. Il y a donc un certain nombre de scènes plutôt trash. Elles sont cependant justifiées par l'intrigue, pas d'hémoglobine gratuite. Les dessins sont techniquement beaux, ce qui accentue le côté horreur.

Un titre qui me plaît beaucoup, mais après ces quatre premiers tomes je fais une pause dans sa lecture car il est plutôt prenant émotionnellement.

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Je me suis laissée prendre par ce manga qui propose une version moderne du mythe des zombies (ici appelées goule). le héros est attachant et voit son monde basculé dans un univers fantastique qu'il n'osait imaginer.
Un bon tome d'introduction qui me donne envie de lire la suite.
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J'en entendais parler depuis un moment autour de moi, j'ai donc décidé de me lancer dans la lecture du premier tome et je ne suis pas déçus un histoire captivante, des dessins géniaux et des personnages passionnants.
Je n'ai donc pas hésité très longtemps et je l'ai commandé pour la médiathèque.

Des le premier chapitre nous plongeon dans un Tokyo en proie à la terreur générée par la présence des ghoul qui se nourrissent de chaire humaine.Notre personnage principal Kaneki loin de se soucier de ses créatures qui pour lui n'existent probablement pas va faire les frais de l'appétit de l'un de ses monstres.Chance ou malédiction il survivra à cette attaque grâce à l'effondrement d'une poutre sur la ghoul ,mais gravement blessé le médecin en charge de son opération décidera de lui transplanter les organes de la ghoul qui lui faisait défaut.Maintenant hybride Kaneki se retrouve tiraillé entre son nouvel appétit pour la chaire de ses semblables et son humanité.
Alors humain ou ghoul ?

Ken aime lire, essentiellement des romans de Sen Takatsuki traitant de meurtres et d'horreur. Il lit aussi la Métamorphose de Kafka, qui est un assez bon parallèle avec ce qui lui arrive.

Dans ce monde, les goules existent donc et les humains connaissent leur existence, même s'ils ne savent pas à quoi elles ressemblent. Ça nous offre d'ailleurs un petit passage amusant entre Ken et son ami qui tentent d'imaginer à quoi elles peuvent bien ressembler.

Qu'est ce qui différencie un humain d'un monstre ?
Ken est devenu un hybride mais refuse de manger de la viande humaine. C'est un très bon dilemme qui est posé. Coincé entre deux mondes, un auquel il n'appartient plus et un auquel il refuse d'appartenir.

Les bases sont bien posés pour nous introduire dans un univers particulier. Les goules ont un code, une organisation, des rebelles et des pouvoirs.

C'est bien construit et suffisamment intriguant pour donner envie de connaître la suite, d'autant plus que les personnages qui sont présentés jusque là sont bien intéressants.

C'est sombre, tourmenté, glauque, très psychologique et en même temps bien violent. Une très bonne introduction !
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Enfin de nouvelles créatures qui nous changent des zombis et autres vampire et loup garou. Cette fois, les ghouls, ces êtres mangeur de chair humaine, sont à l'honneur dans ce manga.
contrairement à ce que l'on pourrait penser, l'aspect "horreur" laisse le pas à l'aspect psychologique. Puisqu'un jeune garçon va se retrouver malgré lui transformé en ghoul sans pour autant renoncer à son humanité.

Un bon manga qui ne laisse pas indiffèrent.

J'ai découvert ce manga en anime et je le lis maintenant. J'ai tout de suite adhéré à cette histoire de goules.

Suite à un "accident" la vie de ce jeune garçon va être transformée, et il va avoir bien du mal à se faire à sa nouvelle vie.

Ce premier tome est introductif, avec un nombre de scènes de combat limitées, mais je sais que ça arrivera par la suite. J'aime le fait que notre héros, Ken, résiste énormément à sa nouvelle condition et n'accepte pas "d'emblée" tout ce qui lui arrive. Cela rend l'histoire beaucoup plus "crédible" selon moi.

J'ai pris plaisir à découvrir Ken et Toka (je l'adore) qui a un caractère bien trempé et peu conventionnel (ondecouvrira ça dans les prochains tomes).

Hâte de lire la suite !

Ce manga parle d'un garçon qui aime une fille, sauf qu'elle est une Ghoul et elle se fait écraser par une poutre. Et le garçon s'est aussi pris un bout de poutre donc il a dû se faire opérer. Il a reçu les organes de la fille Ghoul, du coup il est humain et Ghoul.

(Critique de la série)

Commençons par le personnage principal : Ken Kaneki. Bon, déjà, son nom n'est pas spécialement stylé. Son chara design lui donne un air naïf et gentillet. Bref, le Kaneki des premiers tomes est un gentil héros carrément paumé. Mais c'est aussi un personnage qui subit une incroyable évolution, qui prend une maturité parfaitement collée avec l'univers et qui nous montre des côtés sombres, violents mais aussi des réflexions très intéressantes. Ken Kaneki du T1 et Ken Kaneki du T14 n'ont rien à voir. L'auteur a su parfaitement bien gérer son héros pour le rendre attachant, crédible et équilibré entre force, courage et réflexion. Et puis, dans les derniers tomes, on fait difficilement plus classe comme héros. Les personnages secondaires sont assez bien développés. Je pense à Toka, Yoshimura, Nishiki, Amon, Jûzô ou Akira. Cependant, beaucoup de nouveaux personnages apparaissent à partir du tome 13 et j'avoue avoir été un peu perdue durant la bataille finale du tome 14… Peut-être que l'auteur aurait dû les introduire plus tôt. Par contre j'aimerais voir un peu plus les grandes figures d'Aogiri et des goules comme Uta et Yomo dans Tokyo Ghoul Re. J'espère qu'ils y seront !

Les premiers tomes peuvent paraître longuets, mais ils sont très bien tournés et ils permettent une immersion lente mais agréable dans le monde bipolaire de Tokyo Ghoul. On découvre vite que la capitale japonaise est déchirée entre les Goules et les Humains. La cohabitation est impossible – sauf exceptions – et les Goules doivent vivre cachées pour espérer survivre. C'est dans ce monde violent, sanguinaire et cruel que tombe Ken Kaneki. Devant faire face à na nouvelle nature de Goule, il apparaît d'abord comme un espoir pour espérer une cohabitation entre les deux mondes opposés. Malheureusement, et ce que je trouve un peu décevant, c'est que cette facette de l'histoire est mise de côté au fil des tomes pour faire plus de place aux batailles. Je dois avouer que celles-ci sont particulièrement épiques et entraînantes, mais l'ambiance mystérieuse et les questions des premiers volumes m'a un peu manquée à le fin. Parlons-en, de cette fin ! J'étais assez excitée de savoir comment allaient se dérouler les choses pour nos amies les deux « Chouettes ». En apprenant que la Chouette à l'oeil rouge était l'enfant de Yoshimura, j'ai été assez surprise mais j'attendais le T14 pour en apprendre plus. le combat entre le CCG et les Goules de l'Antique était intense et bien géré. Quant au dernier chapitre… l'auteur a voulu d'une fin ouverte. La fin est…. très ouverte, en effet ! (Heureusement qu'il y a TG:Re)

Le dessin de Tokyo Ghoul, c'est beau, bourrin, doux, brut et très artistique. Il faut s'habituer au style de l'auteur et aux mélanges de couleurs farfelus des couvertures et autres images colorées. J'avoue avoir un peu été déroutée au début. Puis notre oeil s'habitue à passer de visages doux aux traits fins à des expressions inhumaines au coup de crayon brut. L'auteur sait marquer les moments clefs de l'histoire en réalisant des dessins magnifiques comme très trashs. Cependant, je grommelle un peu devant les scènes de combat pas toujours claires. Ishida a tendance à mettre plusieurs personnages sur une même case avec beaucoup de mouvements, des projectiles et le tout n'est pas forcément très lisible. Surtout quand on lit le manga sous petit format… et qu'on doit s'éclater les yeux pour aller ce qui se passe au milieu d'une scène de combat sur deux pages !

Quant à l'originalité de l'oeuvre… en soit, le concept de base n'est pas très très original. Une minorité différente chassée et persécutée par une police spéciale… Mais Tokyo Ghoul ne tombe pas dans la banalité et la continuité. le manga a quand même su se démarquer avec ses premiers tomes philosophiques, ses personnages hauts en couleur et son côté gore (mais pas trop).
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Mon avis lecture : C'est le genre de lecture qui se lit extrêmement vite, en à peine une heure je l'avais terminé. C'est le premier manga que je lis, habituellement c'est mon homme qui en lit, pas moi. Mais j'avais envie d'élargir mes horizons littéraire et il m'a conseillé celui-ci. Vu que c'est le premier volet de la série, il sert davantage d'introduction pour nous mettre dans le bain de l'univers que l'histoire va traiter et ce que l'adolescent concerné par toute cette folie va devoir traverser et affronter. J'ai vraiment beaucoup aimé le style et la manière de lire en commençant par la fin du livre. Les illustrations sont géniales et le gore est bien fait. Lire sur les goules me change des histoires habituelles que je peux dévorer en temps normal. Et là, c'est l'univers de la culture japonaise en plus ! C'est décalé et ça ne tourne pas autour du pot. Maintenant, il faut absolument que je me procure la suite !