Fin des aventures de Francesca Cahill en demi teinte.
J'espérais que les histoires secondaires auraient une avancée plus ou moins importantes mais certaines ne sont plus évoquées et d'autres ont eu un rétropédalage en beauté. Certes la rivalité entre les deux frères a donné de l'impulsion dans l'histoire. Mais là toute la profondeur apportée dans le personnage de Leigh Ann dans le précédent tome est balayée. Tout cela pour aiguiser la jalousie de Calder et envisager une fin avec Bragg. J'ai lu la série dans un temps relativement rapproché, on dirait que l'auteur ne se rappelle plus le déroulement de certaines histoires. Ce qui laisse un goût inachevé.
Après maints rebondissements le mariage de Francesca avec Calder est arrivé. Mais un message lui parvient avant la cérémonie l'invitant à l'inauguration du tableau de son nu volé il y a quelques mois. Afin de sauvegarder sa réputation elle vole dans un traquenard lui faisant rater son mariage, Calder n'est pas prêt de lui pardonner.
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J'ai adorée cette série sur les aventures de Francesca Cahill. Je ne peux que la conseiller !
En ce qui concerne ce dernier tome, je suis contente (et un peu triste) de connaître la fin des aventures de Francesca.
Pour sa dernière enquête, Francesca part à la recherche d'un tableau qui pourrait ruiner sa réputation à tout jamais ...
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Triste d'avoir fini cette série. Calder me manquera :p. Contente d'avoir enfin eu la fin après tant d'années. Peut-être un jour......
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Les femmes n'étaient pas censées se servir de leur cerveau, aspirer à une vie professionnelle et émettre publiquement leurs opinions.
De toute sa vie, elle n’avait jamais poursuivi qu’un seul but : aider ceux qui n’avaient pas eu, comme elle, la chance de naître sous une bonne étoile. Et depuis qu’elle avait découvert ses talents d’enquêtrice, elle n’avait de cesse de secourir les victimes innocentes de crimes odieux.
La femme dont il était tombé autrefois amoureux n’avait jamais existé. Ce qui avait existé, c’étaient ses rêves. Et sa naïveté de jeune homme optimiste.
Le sexe avait été le vecteur de leur réconciliation. Pour le reste, ils n’avaient jamais partagé quoi que ce soit : ni les mêmes valeurs, ni les mêmes intérêts. C’est pourquoi, quand la tragédie les avait frappés, ils s’étaient retrouvés sans rien.
.je me suis égaré un moment. Mais tu sais pertinemment que je ne crois pas à l’amour. Ce n’était que du désir, rien de plus. Heureusement, j’ai fini par reprendre mes esprits. Quelle mouche m’avait piqué de vouloir m’enchaîner à une femme pour le restant de mes jours ? Quand le désir se serait envolé, que serait-il resté de notre mariage ?..
Pour autant, il n’était pas le parfait gentleman qu’il prétendait être. Il était fait de chair et de sang, comme tout le monde, et il avait des désirs plus ou moins inavouables.