Alexandre avec la fille
de gizmo son compagnon de cellules, font faire monter les actions d'une
société gaziere. Michel
bonnefond pdg de la société millenia va engagé
les actif de sa société. jean
Paul Hubert ministre des
finances va faire obtenir les autorisations. et Thierry
minez en conte avec la
mafia russes va les faire
entre dans la combine.
et Sylvie fontaine l, ex d,
Alexandre va s, occupé du
montage. mais ceux qu'il
save pas c'est qu'il vont
tout perdre.
une plongée passionnante
au sein de la bourse.👍
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Fin du cycle 2, "Pour solde de tout compte" annonce la couleur : la vengeance d'Alexandre, avec manipulations boursières et financières pour faire tomber ceux qui l'ont enfoncé 12 ans plus tôt.
C'est fidèle à ce que l'on attend, alors pourquoi annoncer un Tome 5 ? n'est-il jamais possible d'arrêter une série qui marche juste parce qu'elle est finie, et pas Dallasiser toutes ces BD qui nous plaisent ? je repense à XIII qui devait à l'origine n'avoir que 13 épisodes, et qui porté par le succès en a une vingtaine. Et les rebondissements finaux sont mauvais par rapport à la trame initiale. Fin de la parenthèse, jamais ouverte par ailleurs.
Pour revenir à Dantès et aux 4 tomes, l'intrigue est sympa et on suit assez facilement les acteurs de cette histoire. Cependant, même si la documentation est bonne et le sujet bien traité, je préfère nettement sur ce thème les 2 albums OPA et Business Blues de Largo Winch, qui apportent une dimension plus forte et surtout plus folle à ces manipulations boursières, peut-être parce qu'au final ceux de Largo ont été écrits avant la crise boursière de 2008 et donc n'ont pas un goût de "recollage" à l'actualité.
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La vengeance est un plat qui se mange froid. Tel est le principe qu'applique Alexandre alias Dantès. le piège se referme sur notre association de malfaiteurs en col blanc. le rythme est haletant jusqu'à la dernière page.
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Ce qui est intéressant dans ce tome, c'est le revirement de situation. La vengeance de Dantès ne se déroule pas tout à fait comme prévu. En cela, l'adaptation moderne est différente du roman de Dumas. J'ai bien hâte de lire la suite.
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La vengeance suit son cours et se déroule comme le plan était prévu. Mais trop d intervenants dans le scénario de départ peut engendrer des grains de sable dans les rouages.
Je suis assez surpris par le fait que les personnages qui veulent se venger communiquent assez facilement sur leur plan avec d autres personnes, alors qu ils ont réussi à attendre si longtemps pendant les préparatifs de la vengeance.
Sur le plan graphique je reste toujours un peu déçu par le manque de dynamisme et le côté très vieille école.
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Paris, été 2001
Mr Minez :
Mais …Laissez-moi !
Gradenko :
Notre patience est à bout maintenant, monsieur Minez. Nous voulons des réponses.
Et surtout, nous voulons notre argent.
Mr Minez :
Ecouter, Gradenko. Je vous l’ai dit. Votre argent est en train de faire des petits. Ce n’est vraiment pas le moment de le retirer.
Gradenko :
C’est moi qui décide du moment, et ce moment, c‘est maintenant.
JE VEUX MON ARGENT !
- se sentir trahi alors qu'on ne se reproche rien, et en effet vexant. si la
confiance se présente masquée c'est
qu'il y a un bug dans votre programme.
Dans le 144e épisode du podcast Le bulleur, on vous présente Inséparables, premier tome de Jumelle, nouveau projet autobiographique de Florence Dupré la Tour, édité chez Dargaud. Cette semaine aussi, on revient sur l’actualité de la bande dessinée et des sorties avec :
- La sortie de l'album monsieur Apothéoz que l’on doit au scénario de Julien Frey, au dessin de Dawid et c’est sortie chez Glénat dans la collection Vents d’ouest
- La sortie de l’album Madones et putains que l’on doit à Nine Antico dans la collection Aire libre des éditions Dupuis
- La sortie de l'album Mademoiselle Sophie ou la fable du lion et de l’hippopotame que l’on doit à Vincent Zabus pour le scénario, Hippolyte pour le dessin et c’est édité chez Dargaud
- La sortie d’Elliot au collège avec un premier tome baptisé Panique en sixième, un album qui nous vient de Théo Grosjean et des éditions Dupuis
- La sortie de l’album Ambroise Paré, le père de la chirurgie que l’on doit au scénario conjoint de Jean-Noël Fabiani-Salmon et Pierre Boiserie, au dessin de Vincent Wagner et c’est publié aux Arènes BD
- La sortie en intégrale de Capucin, autre album que l’on doit à Florence Dupré la Tour et aux éditions Gallimard
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