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3,59

sur 904 notes

Critiques filtrées sur 2 étoiles  
Stephen King et moi c'est un peu les montagnes russes avec plus de déceptions que de bonnes surprises, cependant j'avais bon espoir car mes deux dernières lectures de l'auteur la Tour Sombre tome 1 et Carrie m'ont fait changé de point de vue.

Dans Revival certains aspects sur la quatrième de couverture m'ont tout de suite plu, ce petit village un peu reculé, limite sectaire, le côté drogue et alcool avec le personnage de Jamie.

Et pourtant avec au début de ce récit la rencontre de Jamie qui a 6 ans et du nouveau révérend Charles Jacobs, je pensais que j'allais beaucoup aimé cette lecture. Malheureusement cela a fonctionné un petit temps avant que le soufflé ne retombe.

Ces thèmes sont plutôt récurrents chez l'auteur mais malheureusement ici à mes yeux la magie n'a pas opéré et je suis resté sur la touche, j'ai en fait toujours le même souci, j'arrive bien à avancer au début des récits de l'auteur mais rapidement je trouve qu'il y a beaucoup trop de page en trop, trop de descriptions inutiles à mes yeux.

Beaucoup aime le fait que King écrive des récits avec des personnages très bien travaillés mais je ne trouve pas de mon côté et le principal mot que j'aurai pour qualifier la plupart des livres de l'auteur et l'ennui à mes yeux.

Et pourtant je persévère me disant que je dois sûrement passé à côté de quelque chose au vu du succès de l'auteur, je me doute bien cependant au vu de sa biographie très bien fourni que tous ses récits ne peuvent pas être bon.

Je lirai de nouveau l'auteur en espérant que la prochaine lecture sera un meilleur moment que celle-ci.
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Bon, adieu le nouveau Stephen King...

Je préfère frayer à travers vos anciennes oeuvres, qui, pour moi, sont beaucoup plus intéressantes.
Après Docteur Sleep, on ne m'y reprendra pas une troisième fois...

Où est passé l'auteur génial qui me faisait frissonner? Où sont passés vos livres pleins de rythme et bien approfondis?

Hélas...
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Jamie Morton a grandi dans une famille nombreuse dans le Maine, aux Etats-Unis. Nous découvrons sa vie des années 1950 jusqu'à nos jours : sa jeunesse, son adolescence, sa vie d'adulte avec les tournées avec des groupes puisqu'il est guitariste rythmique, sa descente aux enfers à cause des drogues, sa renaissance et son nouveau job dans une boîte d'enregistrement/studio. Durant sa vie, il rencontre le révérend Daniel Jacobs qui est passionné par l'électricité. Il le rencontrera trois fois.
Que dire ? J'attendais beaucoup de ce roman où la critique en quatrième de couverture de Publishers Weekly indiquait « On est littéralement sonné par la fin, l'une des meilleures de King ». Passé la centaine de page, je me suis dit Ok S. King installe ses personnages. Arrivée à la moitié du roman, je me demande où S. King veut m'emmener. J'ai tenu jusqu'à la fin à cause de cette critique m'attendant à quelque chose d'inoubliable. Ben je suis restée sur ma faim ! « sonné par la fin » alors pas du tout !
Je ne le conseille pas alors que je suis une grande fan. C'est une grande déception.
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« Revival » a la particularité d'être, à la fois, mon dernier livre lu de l'année 2017 mais aussi le premier de Stephen King. le nom de l'homme ne m'était pas inconnu mais je ne connaissais pas l'auteur.
C'est ma chère et tendre comparse @lireencore93420 de la communauté Instagram, sachant que suis friande de thrillers, qui m'a proposée de le découvrir à travers cette oeuvre.
Ses conseils étant toujours judicieux, j'ai obtempéré. L'ouvrage ou plutôt l'ebook définitivement refermé, je dois concéder que, pour un baptême, j'en ressors un peu déçue.
Dès le commencement, nous faisons la connaissance du narrateur, alias Jamie Morton, soixante ans environ, qui nous embarque au coeur de sa vie, de sa petite enfance à l'instant T.
Il décortique les différentes étapes de son existence en insistant sur les bonheurs, joies, peines, échecs, réussites vécues lors de ces décennies.
C'est ainsi que nous apprenons, qu'alors âgé de six ans et habitant avec sa famille à Harlow, dans le Maine, il croise un nouveau mais non moins important membre de la communauté en la personne de Charles Jacobs, nouvellement nommé Ministre du culte de sa paroisse. Va alors naitre une indéfectible amitié proche de l'ensorcellement entre les deux hommes qui sont unis par une passion commune : l'électricité.
Au fil des pages et des évènements, une question primordiale va se faire jour : Qu'est-ce qui sépare la passion de l'obsession ? Pour notre responsable du prédicat, cette source d'énergie n'est-elle véritablement qu'un passe-temps ou bien est-elle plus importante ?
Quand notre acteur principal tombe à nouveau sur son ancien acolyte, plusieurs années après, ce dernier a considérablement changé. Il s'essaye désormais aux revivals ou assemblées religieuses destinées à ranimer la ferveur des fidèles. Est-ce pratiqué sainement, sans arrière-pensées ou des motifs inavouables se cachent-ils dessous ? M. Morton va-t-il découvrir quelque chose ? Dans l'affirmatif, comment va-t-il réagir ?
Chut ! J'en ai déjà trop dit. Choisissez cet écrit, installez-vous confortablement et plongez-vous dedans avec j'espère ravissement.
La trame porte sur un sujet intemporel, vieux comme le monde, si j'ose m'exprimer ainsi. A savoir : Qu'y a-t-il après la mort ? Que se passe-t-il ? Est-ce ou pas épouvantable, terrorisant, alarmant ? Pourrons-nous un jour le savoir en amont ?
Même si la partie dans laquelle nous rencontrons notre protagoniste et le révérend jusqu'à son départ précipité est plaisant, il manque un je-ne-sais-quoi pour la rendre fantastique.
Si je n'avais qu'un seul mot pour décrire cette intrigue, je dirais : Troublante. Ce n'est pas un récit rempli d'horreurs, de montres qui traquent leurs victimes comme, peut-être à tort, je m'y attendais. Nous surfons plutôt sur des peurs connues par la majorité d'entre nous. En prenant pour base des interrogations existentielles touchant à la fin de vie, S.K. crée un scénario déconcertant, perturbant, louche, voir inquiétant mais, à mon sens, non effroyable, non terrifiant.
L'écrivain parle convenablement de la dépendance, de l'obsession. C'est tout à son honneur, mais ce n'est pas effrayant. Juste désolant.
Canevas long, banal durant les trois quarts. A mon sens, l'absence de rythme est le gros point négatif de cette construction. À tout moment, j'ai espéré, en vain, que cela s'accélère. Je m'attendais à plus d'actions, de folie, de retournements, de suspens.
Le côté surnaturel est évidemment présent mais il ne m'a rien apporté en peps. le final est bien ficelé, intéressant à suivre mais prévisible. le dénouement ne m'a pas laissée pantoise.
Non conquise par le thème et la façon de l'aborder, j'ai, en revanche, trouvé l'écriture riche, lyrique, très agréable à lire. Notre romancier a incontestablement une belle plume.
Les personnages, Qu'en dire ?
Je n'ai pas éprouvé une empathie particulière pour Jamie. Il est agréable à accompagner. Il n'est ni rebutant, ni attirant.
Au début, M. Jacobs pasteur érudit, charismatique, intelligent, proche de ses concitoyens m'a titillée davantage. J'ai été émue par son immense tristesse et son profond désarroi face à la tragédie qui le touche. J'ai compris, alors, son besoin de tout remettre en question. Par la suite, son obsession pour sa passion combinée au drame de sa vie m'a gênée, voir apeurée.
Vous l'aurez compris, ce bouquin n'a pas été un coup de coeur. L'ensemble apparait laborieux, fade, sans grand intérêt.
Je reste sur ma faim et j'éprouve un sentiment mitigé à propos de cette histoire qui ne m'a pas « électrisée » pour reprendre l'expression du moment. La magie n'a pas opéré tout simplement.
Ne voulant pas rester sur cet échec, Je m'attellerai dans un futur proche à la lecture d'un autre de ses opus pour me faire une plus juste opinion de ses capacités de romancier.
A entreprendre ? Avis circonspect et non tranché. Je ne peux me prononcer. A vous de décider.


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J'ai trouvé avec plaisir un livre de Stephen KIng que je ne connaissait pas à la bibliothèque. Je suis une fan inconditionnelle...
Là je retrouve la prose incomparable de cet écrivain hors du commun. L'histoire en elle même est prenante mais moins terrifiante à mon avis que certains autres de ces romans.
Mais Stephen King reste reste un maitre dans l'art du suspens.
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J'avais envie de lire Revival parce que King présente ce roman comme une sorte d'hommage aux grands auteurs à qui, comme beaucoup d'autres écrivains, il doit sa carrière. Il cite en épigraphe des noms aussi glorieux que Mary Shelley, Bram Stoker, Lovecraft, Clark Asthon Smith, Robert Bloch, Arthur Machen... Et même Derleth. du beau monde.

Mais qu'est-ce qu'il en fait, de ce beau monde ? Tout d'abord, pas grand chose. King fait du King. le narrateur raconte son existence, de sa petite enfance à sa vie adulte de musicien raté et toxico. Sa vie est liée à celle de Jacobs, un prêtre qui, rapidement, se détourne de la religion. le début est excellent, en bonne partie grâce au personnage de Jacobs. King dépeint à merveille cette Amérique classique, avec des familles, des jardins, des premières expériences sexuelles et des dimanches à la messe. Jacobs, au début, rentre très bien dans le moule, mais quand sa femme et son fils meurent, il rejette brutalement le christianisme pour se tourner vers sa vraie passion : l'électricité. Pendant la moitié du récit, tout fonctionne à merveille, l'écriture simple de King est au service d'une lente montée de la tension, et le parcours du narrateur, qui se débat d'abord dans la banalité de l'adolescence puis dans les griffes de la drogue, est suffisamment captivant. Il parvient à installer quelque chose, un parcours de vie touchant, une atmosphère titillante. Bon, par contre, on voit de loin où il veut en venir : un savant fou passionné par l'électricité, et qui en plus est attristé par la mort de sa femme et de son fils, avec en plus une mise en avant des orages et des éclairs, sachant que le roman est un hommage à, entre autres, Mary Shelley... Et en effet, c'est bien là qu'il va. Pas très subtil.

Petit à petit on se dit que le final va être décevant. Et, bingo, la fin est mauvaise. Vraiment très mauvaise. du pastiche sans âme de Frankenstein et de Lovecraft. Déjà, King est vraiment d'un manque de subtilité confondant. Il balance des noms et des termes comme un ado écrivant sa première nouvelle inspirée de Lovecraft. Allez, hop, un petit grimoire, il faut bien, c'est obligé, par ici de Vermis Mysteriis. Et une citation de Lovecraft, aussi. Mais il faut la répéter au moins trois fois, pour éviter que le lecteur l'oublie. Et puis autant citer le nom de Lovecraft, pendant qu'on y est. Et parler des Great Ones. Et pareil pour Mary Shelley. Une perso s'appelle Shelley, son mari est un poète, leur enfant s'appelle Mary, et son fils à elle Victor... Et le tout en préparation d'une scène de résurrection par la foudre C'est sûr, ça serait dommage qu'on passe à côté de l'hommage : alors King nous l'enfonce dans la gorge à coups de marteau.

Mais les visions de Shelley et Lovecraft sont radicalement différentes. La première est totalement ancrée dans un déisme chrétien, la seconde dans un matérialisme athée. Et les deux ne vont pas bien ensemble. D'ailleurs, ce final ne va même pas avec le reste du roman. King fait du King, il est verbeux, très verbeux, mais ça passe, et tout d'un coup il balance la bombe lovecraftienne : une vision de l'après-vie maladroitement pompée dans les récits du maitre. Et le lecteur se dit : tout ça pour ça ? Parce que cette vision, bien que parée d'un mince et bancal vernis lovecraftien, n'est qu'une classique peinture de l'enfer chrétien : des âmes humaines persécutées par des démons sous la surveillance d'un démon en chef. Et placer le vocabulaire lovecraftien, comme cyclopéen par exemple, n'y change rien. C'est d'une rare banalité. C'est juste... l'enfer, quoi. Sujet mal amené et déjà traité un milliard de fois, souvent bien mieux. Banal aussi de faire dire au narrateur qu'il y a un savoir qu'il vaut mieux ignorer (cliché lovecraftien). Ou finir sur une scène dans un asile (énième cliché lovecraftien). Ou, pire encore, faire du narrateur une clé, un élu, sans s'embêter à expliquer pourquoi.

C'est dommage, parce que je ne nie pas avoir avoir beaucoup aimé la première moitié, voire les deux premiers tiers de Revival. King y dépeint fort bien une histoire de passage à l'âge adulte dans l'ombre d'une personnalité mystérieuse, celle du prêtre renégat. Mais la suite n'y semble qu'à peine rattachée, et quitte à lire un mauvais pastiche lovecraftien, autant se tourner vers les nouvelles de ses admirateurs indiciblement nombreux. Elles ne manquent pas, et au moins, quand on se rend compte à fin que c'était fort mauvais (c'est à dire la plupart du temps), on a moins l'impression de s'être fait arnaquer.

Lien : http://lespagesdenomic.blogs..
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Très déçue par le nouveau Stephen King. Mr Mercedes était bien meilleur. Je me suis ennuyée, et il faut attendre la tout fin du livre pour, enfin, retrouver un peu l'auteur. Mais ça sent la fin baclée. C'est dommage, mais je trouve que les livres de Stephen King sont de plus en plus inégaux. Enfin, quand à celui là, faites l'économie de ne pas l'acheter !
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Très déçue de ce roman. J'ai faillit l'abandonner (interruption de 3 mois) mais étant une fan de l'oeuvre de Stephen King, je l'ai repris pour le finir.
D'habitude, j'adore comment King raconte ses intrigues et décrit ses personnages. Je dévore les pages même si parfois le scénario n'est pas très original ou palpitant.
Mais dans 'REVIVAL' je me suis terriblement ennuyée : trop de détails, distance vis à vis du personnage principal, intrigue minimaliste qui n'attisait aucune curiosité.
Je recommande plutôt : Dolorès Claiborne, 23/11/63 et le Fléau qui sont mes romans préférés de Stephen King.
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L'histoire est banale, mais les personnages sont attachants avec leurs multiples fissures, dues a une vie très compliqué.
Je me suis accrochée jusqu'à la fin, mais suis restée sur ma faim. J'étais habituée à un rythme plus vif, à un suspense plus intense venant de l'auteur...j'ai donc été déçue.
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Je viens de terminer le livre et: Oh mon Dieu ! Quelle déception ! Certes l'écriture reste sans reproche, fluide, rythmée, des détails sans vous endormir, mais l'histoire... Un personnage principal avec peu de contenance, une absence de volonté, une fin évidente en grande partie dès la page 200 (soit la moitié du livre) et autant de pages inutiles. La même histoire en nouvelle de 12000 caractères pourquoi pas, mais là...

Alors certes, ça reste le maître alors on s'accroche, on voyage dans les Etats-Unis des années soixante à nos jours, on s'interroge sur l'Electricité mais cela ne nous tient pas en haleine.

Bref, pour moi le moins bon King que j'ai eu l'occasion de lire.
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