On lira La désapparition aussi pour l’intelligence de son écriture qui combine avec brio le français régional et le créole pour dire les réalités luxuriantes et déjantées de la société créole. Ce roman remet au goût du jour les mythologies d’autrefois et puise son souffle dans la nostalgie pour la société de plantation, dans le creuset de laquelle s’est forgée l’âme martiniquaise au long des siècles.
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