L'essentiel de la journée de vendredi en vidéo
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Oriane Lassus/5
7 notes
Résumé :
Avec Quoi de plus normal qu'infliger la vie ?, Oriane Lassus interrogeavec une intelligence acide et sensible la question de la nulliparité. Et si la réponse n'était pas si évidente que ça ? Et si on pouvait ne pastrouver ça " normal ", justement, de procréer ? A travers le regard et l'environnement d'une protagoniste anonyme, c'est le jeu d'influences imposé par une société normative qui est questionné, et la difficulté pour les femmes de faire un choix intime : " ... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (1)
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Décapant !
Une bande-dessinée qui annonce la couleur dès le titre. La maternité est au centre de l'album, et, en creux et plus généralement, la parentalité.
L'histoire d'une femme déterminée à ne pas avoir d'enfants et qui affronte les jugements du corps médical, de ses ami·es, de sa famille, en bref de la société !
En parallèle, on voit bien les jugements de tout ce petit monde une fois que l'on devient mère. Faire comme-ci, dire comme-ça, cette manière, non plutôt celle-là, en bref la société qui met son nez dans l'éducation.
Le graphisme est pour le moins torturé et peut donner un côté repoussant. Personnellement, cela ne m'a pas gêné.
Des fausses pubs ou des parodies de unes se retrouvent inséminées au gré des pages. Elles sont particulièrement réussies et pertinentes.
Une bande-dessinée "no kid" qui ne mâche pas ses mots et ses dessins. Qui clame haut et fort que la liberté à disposer de son corps ne s'arrête pas aux frontières de la grossesse. C'est cynique parfois, déterminé toujours.
Une bande-dessinée qui annonce la couleur dès le titre. La maternité est au centre de l'album, et, en creux et plus généralement, la parentalité.
L'histoire d'une femme déterminée à ne pas avoir d'enfants et qui affronte les jugements du corps médical, de ses ami·es, de sa famille, en bref de la société !
En parallèle, on voit bien les jugements de tout ce petit monde une fois que l'on devient mère. Faire comme-ci, dire comme-ça, cette manière, non plutôt celle-là, en bref la société qui met son nez dans l'éducation.
Le graphisme est pour le moins torturé et peut donner un côté repoussant. Personnellement, cela ne m'a pas gêné.
Des fausses pubs ou des parodies de unes se retrouvent inséminées au gré des pages. Elles sont particulièrement réussies et pertinentes.
Une bande-dessinée "no kid" qui ne mâche pas ses mots et ses dessins. Qui clame haut et fort que la liberté à disposer de son corps ne s'arrête pas aux frontières de la grossesse. C'est cynique parfois, déterminé toujours.
Citations et extraits (1)
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- Quel lundi à deux balles
- M'en parle pas... Mes organes génitaux internes sont en train de fondre...
- Aïe bichette
- Tu sais quoi ? C'est comme si on m'avait offert une grosse télé, j'en voulais pas, je la regarde jamais... Mais tous les mois je dois payer la redevance !
- M'en parle pas... Mes organes génitaux internes sont en train de fondre...
- Aïe bichette
- Tu sais quoi ? C'est comme si on m'avait offert une grosse télé, j'en voulais pas, je la regarde jamais... Mais tous les mois je dois payer la redevance !
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