Voilà un livre sur lequel j'ai du mal à me prononcer. L'histoire est bien et aurait dû me captiver. Le problème principal est la lourdeur du texte. C'est lourd, c'est lent et j'ai eu un mal de chien à retenir qui était qui, qui avait fait quoi, ce qui était arrivé à l'un vu qu'on n'en parlait plus, etc. C'est compliqué et il y a des personnages en veux-tu en voilà. Un vrai labyrinthe.
Je me suis peu attachée aux personnages (nombreux nombreux). Le seul qui m'ait plus est Simmu, et ça uniquement parce que je trouvais sympa qu'il puisse changer de sexe à volonté. C'était pour moi le seul véritable attrait du bouquin. Sinon, à part ça, tout et tout le monde souffre, et tout et tout le monde meurt. Youhou.
Heureusement pour ma santé mentale, le livre est découpé en plusieurs parties, ce qui m'a quand même donné l'impression d'avancer un minimum.
En fait, le sujet principal, c'est les maîtres (de la mort, des ténèbres,…) qui jouent avec les humains (je peux pas m'empêcher de citer Metallica et son Master of puppets). Pratiquement 500 pages qui représentent un claquement de doigts de vie dans l'éternité des maîtres.
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Elle s'était montrée idiote, de la manière dont seul quelqu'un de purement intelligent et finaud pouvait être idiot, et elle percevait maintenant son idiotie.
C'était le moment de la mort du soleil et tout le camp en était ensanglanté .Dans le rougeoiement , les trois frères se hâtèrent de rencontrer le roi leur père et jetèrent devant lui l'enfant qui sentait le lion.