La question du vivant est aujourd’hui particulièrement critique, à l’époque du réchauffement climatique, de la disparition progressive de très nombreuses espèces, de l’accroissement démographique et des conséquences que celui-ci peut avoir sur la faim dans le monde. En reprenant ce quasi-mot d’ordre, “Vivants d’abord”, que le peintre Zao Wou-Ki avait écrit en mai 1968 sur l’estampe offerte aux étudiants de l’école nationale des beaux-arts en lutte, nous voulons non ...
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