Avec son écriture fluide,
Jean-Claude Libourel, nous raconte l'histoire d'
Antonin Maillefer que sa mère, la belle Adélaïde, a laissé en 1911 le jour de son onzième anniversaire, décidée à rejoindre l'Afrique "tu verras lui dit-elle quand j'aurai assez d'argent, je reviendrai te chercher, et nous serons heureux toi et moi.....".
Madame Alice, son institutrice femme sans enfants, le prend sous son aile et l'élève avec beaucoup d'amour ; tandis que lui continue sa vie dans l'espoir du retour de sa mère.
C'est un très beau roman sur un fond d'amour, de solitude, de première guerre mondiale, d'héritage, une énigme que nous ne découvrons qu'à l'issue de ce beau roman.