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4,1

sur 1410 notes
Si on aborde ce livre comme un roman policier historique comme pourrait le laisser croire le résumé on se trompe totalement.
On est dans un roman d'aventures historique, avec des relents de science et de religion, un livre qu'on ne peut pas lâcher une fois commencé, je l'ai pour ma part lu en 5 jours sans jamais éprouver le moindre moment d'ennui n'ayant de cesse de savoir si Andreas, Aléa et Robin pourront aller au bout de leur quête tant leurs ennemis sont puissants et déterminés : du roi, son frère en passant par Nogaret, Marigny, le grand inquisiteur ou les cavaliers noirs.
Et sans cesse on se demande qui était dans cette pièce, qui manque au tableau ou dans les différents registres et qui a accompagné Andreas depuis Compostelle.
Je me suis vraiment immergé dans ce livre qui aurait mérité encore quelques chapitres même si avec la fin la boucle est bouclée.
Surprenant et génial ...
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" Il est permis de violer l'histoire, à condition de lui faire un enfant " ..Alexandre Dumas.
En fait, le polar historique d'Henri Loevenbruck est l'enfant " métissé" d'Umberto Eco, d'Alexandre Dumas, de J.R.R Tolkien, de Robin Hobb et d'autres auteurs de Fantasy...
Andréas Saint Loup est apothicaire à Paris, mais il a été trouvé, élevé par l'abbé Boucel de l'Abbaye de Saint Magloire et, ensuite il est allé en Espagne pour parfaire son métier. Il vient de remplacer son apprenti Jehan par Robin qui va l'aider dans sa boutique.
Un matin, Andréas découvre chez lui l'existence d'une pièce vide entre 2 étages et, plus tard : il constate qu'un personnage d'un portrait a été effacé !
Entretemps, il n'est pas allé à la Messe des Cendres car il est athée, il a voulu défendre des prostituées et, pour ces motifs
mineurs : il va être emprisonné, puis s'évader et, décider d'aller à Compostelle avec la " fillette" Magdala la Ponante et Robin.
A Béziers, Aalis est la fille d'un couple de drapiers qui s'opposent aux visites incessantes de leur progéniture chez un vieux Juif : Zacharias qui sera tué par le père ! Elle va mettre le feu à leur maison et s'enfuir pour échapper au Prevot et, errer de fermes en fermes.
Magdala est morte en défendant Andréas et Robin, mais sur le chemin de Compostelle, Aalis va se joindre à eux.
Ils sont poursuivis par 2 cavaliers noirs : les Mal'achin, par l'Inquisiteur Guillaume Humbert, plus tard par Guillaume de Nogaret ( conseiller du roi ), par les Marigny ( Chambellan et ministre de Philippe le Bel ) et, plus tard par Charles de Valois ( frère du roi ) qui lui reprochent d'être hérétique ! Ils croiseront Jacques de Molay : le grand maître des Templiers qui est en prison suite à l'éradication de son ordre, des membres de la " Schola gnostica" et, comme Andréas veut éclaircir ces mystères, et découvrir le livre "Shatirum lâ-mi'umma " : ils iront jusqu'au Mont Sinaï, puis au monastère Sainte Catherine qui dépend du patriarcat de Jérusalem. Les cavaliers noirs sont en train de les atteindre , quand l'higoumène Athanasios leur offre l'hospitalité et les laisse entrer dans la basilique et surtout dans la bibliothèque pour trouver leur livre et ses mystères ! Mais quel est ce trésor caché dans le Buisson Ardent ?
Un roman de 794 pages très documenté, avec des citations latines de philosophes, avec de l' "argot" parisien chez les fillettes, de l'Occitan et, "adoncques " l'ancien français qu'utilise Henri Loevenbruck pour nous narrer les péripéties de son héros qui est austère mais, qui distille outre ses préparations d'apothicaire beaucoup d'humour tout au long du récit !
Un clin d'oeil à Gaphanie avec qui je devais lire ce polar !

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Ce livre, a mon sens, ne mérite qu'un qualificatif : hallucinant !

Tout y est : le Moyen-Âge ( pour ceux qui aime, of course), les mystères ésotériques, le suspense....un énorme coup de coeur. le genre de roman qu'on ne peut cesser de lire tout en regrettant de le lire aussi vite.

Je le recommande vivement à tous.
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Templiers, Inquisition, Croyances, Passages souterrain... Mystère qui remonte aux origines de la bible.

J'ai tremblé pour ce vieux grincheux d'apothicaire, accompagné de son jeune apprenti Robin et de notre jeune Aalis. Trois personnages au grand coeurs.

Ce livre ne se lit pas, il se dévore.


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quel pavé ! Voyage garanti, pas de résumé, ça serait trop long, mais sachez que ce petit trio va connaître bien des péripéties, une sorte de chasse à l'homme pour un mystérieux secret qui sera la quête de ce roman. Beaucoup d'action, de mystère, le style est bien équilibré et l'auteur nous accompagne tout le long de ces 800 pages (éditions poche), donc pas de découragement, parfois un petit moment de lassitude mais rien de bien méchant, car l'action est au rendez-vous à la page suivante. J'aime beaucoup les romans historiques pour les connaissances offertes, ici on est servi, c'est garni, appréciable mais jamais trop pompeux, un juste de ce qu'il faut pour nous émoustiller notre curiosité, assouvir notre soif de savoir.

Le seul point dont j'ai moins apprécié : les règlements de compte entre les différentes autorités royales et religieuses. C'est lors de ces passages que la lassitude s'est fait sentir car moins d'intérêt pour ma part.
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Je viens d'achever la lecture de ce roman et je suis quelque peu dépitée. Beaucoup de choses m'ont plu. Mais la fin m'a fortement déçue, pas du tout à la hauteur de l'ensemble du récit. Il s'agit d'un roman historique qui se déroule au Moyen-Âge, à l'époque de Philippe le Bel, on y retrouve plein d'ingrédients du genre, que j'ai trouvé plutôt bien traités. L'intrigue, en dehors de sa conclusion qui laisse à désirer, se tient bien, de nombreuses péripéties l'émaillent. Il est juste un peu dommage (mais fait parti finalement de ce qui fait que la fin laisse à désirer) que quelques éléments qui auraient pu et dû servir de départ à un arc narratif n'aient pas été exploités par l'auteur. Les personnages manquent un peu d'épaisseur, à part Andreas Saint-Loup, l'apothicaire, mais c'est un taiseux ! Pour ses deux acolytes, le rôle de Robin est celui d'un faire-valoir, quand à Aalis, dont le personnage est aussi important que celui de l'apothicaire dans la première partie, il est dommage qu'ensuite elle se cantonne au rôle banal de la jeune fille innocente. Les autres personnages sont nettement plus convenus. J'ai bien aimé l'insertion d'éléments historiques, architecturaux ou géographiques pour plonger le lecteur dans l'ambiance. Sauf à trois ou quatre occasions où l'auteur s'est mis à dresser des listes (petits métiers des rues, marchandises, ...) juxtaposant des éléments qui auraient gagnés à être insérés moins lourdement dans le récit. J'ai aussi bien apprécié les nombreuses adresses au lecteur. Je suis plus réservée sur la langue employée, qui oscille entre le français contemporain et des expressions moyenâgeuses pour les passages les plus réussis, pour tomber dans le caricatural quand l'auteur fait parler argot les prostituées ou quand il met des expressions occitanes dans la bouche d'Aalis. le mélange est étrange et manque de naturel. Pourtant la lecture reste assez fluide, addictive, ce qui explique d'autant mieux qu'au final j'ai été globalement assez déçue, ce roman ne soutient pas la comparaison avec le Nom de la Rose, L'embaumeur, le parfum ou même Les piliers de la Terre.
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C'est un fantastique et mystérieux voyage dans le temps !
J'adore et j'en redemande…

Pas besoin de graines de pavot comme cet apothicaire pour voyager. Pas besoin de d'ecstasy de junkies pour m'envoyer en l'air. Cet excellent roman historique fut pour moi à lui seul, un gros « trip » qui me téléporta, dès l'engloutissement de ses premières pages, dans ma période favorite, celle du Moyen-âge.

Nous sommes au début du 14e siècle, où le roi Philippe IV le Bel règne en maître. Il est considéré aujourd'hui par un grand nombre d'historiens sérieux, comme un des grands monarques que la France ait eu, mais aussi comme un « intrigant » et un manipulateur.
Mais quel homme de pouvoir, ne manipule-t-il pas ses sujets et son peuple dans l'histoire du monde ?

Philippe IV le Bel sera un fin investigateur, qui le conduira à obtenir le plus retentissant procès de tous les siècles ; le procès des Templiers.
*

Certes pour apprécier pleinement la richesse de ce roman médiéval, il faut connaitre un peu et s'intéresser à cette période de l'histoire de France, de l'an 1313, de l'après procès des chevaliers du Temple. Et de la Sainte Inquisition, qui n'avait rien de pure et d'angélique par les méthodes d'interrogation qu'elle employait ; la terrible « Géhenne ».

Mille bravos à Henri Loevenbruck !
Il a fait un énorme travail de recherches historiques. Il s'est aussi documenté sur le mode de vie médiévale, sur les corporations de l'époque et sur les intrigues politiques bien réelles, qui fleurissaient dans le royaume de France.

Son histoire solide en devient très cohérente et rend superbement bien cette ambiance moyenâgeuse. On y découvre un monde qui sait bâtir de magnifiques cathédrales, et dont leurs constructions ne furent jamais à ce jour égalées, ni reproduites. Mais un monde aussi où une médecine française douteuse et archaïque peine à gagner de la confiance des prélats et des seigneurs.
Un monde où se côtoient, dans une même rue sale et encombrée, des prostituées, des enfants paumés, des marchands ambulants, des apothicaires et leur savoir sur la vertu des herbes, des ermites illuminés qui prêchent parfois des paroles jugées blasphématoires et des charlatans de tous poils, vendant des potions dites « magiques ».


Tout un monde hétéroclite qui se croise, qui s'entraide, qui s'épie aussi et qui se jalouse parfois. Les dénonciations pour hérésie ou pour pratique de choses dites « occultes » étaient monnaie courante pour chasser souvent son rival du coin de la rue.
*

Tout comme la grande historienne et médiéviste Barbara Frale avec « Les Souterrains de Notre-Dame », l'auteur a lui aussi, très habilement mélangé des chemins de vie. Il a fait croiser le destin de personnes réelles et ayant existé, avec celui de personnages fictifs comme Andréas Saint-Loup.

Andréas Saint-Loup est un apothicaire de renom. Son grand savoir sur les herbes et leur pouvoir de guérison, force le respect mais aussi la jalousie de sa corporation, dans tout Paris.
Andréas est un homme très singulier, est un solitaire et est lui-même une énigme avec un passé des plus étranges.
Il est aussi un homme brillant et érudit. Ses grands maîtres philosophes, s'appellent Thomas d'Aquin ou Roger Bacon, dont il use et abuse de leurs citations.
*

Des événements surnaturels vont ébranler les certitudes de cet apothicaire à l'esprit très cartésien et vont aiguiser sa grande curiosité.
Les choses vont se précipiter pour lui. Pour avoir défendu quelques prostituées, Andréas sera jeté au cachot. Il sera interrogé par un certain…Guillaume de Nogaret

« J'ouvre une parenthèse en rappelant au lecteur, l'importance du rôle qu'a tenu ce sinistre juriste et conseiller proche du roi Philippe le Bel.
Le roi qui était en conflit avec le pape Boniface VIII, ordonna à son bras droit, Guillaume de Nogaret de lancer en 1303, des accusations d'hérésie contre Sa Sainteté. Ce qui permit de déposer Boniface VIII et de mettre à sa place Clément V, un pape rallié à la cause du roi de France.
C'est encore Guillaume de Nogaret, qui sur ordre du même roi, lança une énorme campagne de diffamation et de haine contre les Templiers et qui les firent arrêter en octobre 1307.

Il serait aussi intéressant de savoir où l'auteur Henri Loevenbruck a puisé ses sources. Car il nous révèle de quelle manière mourut Guillaume de Nogaret, ce qui ne fût jamais mentionné par les historiens.
Alors mythe ou réalité ? »


C'est donc dans cette prison, dans la tour du Temple que l'apothicaire fera connaissance de Jacques de Molay. le dernier Grand Maître de feu l'Ordre des Templiers est aussi emprisonné dans une petite cellule lugubre et humide de la tour.

Jacques de Molay confie un gros secret à l'apothicaire, qui s'avèrera être la première piste pour sa future enquête.
*

Andréas Saint-Loup ayant retrouvé la liberté grâce à son parrain, l'abbé Boucel, va alors se lancer dans une quête éperdue, un jeu de piste, une course folle à travers une partie de la France et de l'Egypte.
Parcourant les routes, accompagné par Robin son nouvel apprenti apothicaire, Andréas ira à la rencontre de moines, d'érudits, de maitres et d'adeptes de « la Scola gnosticos », une société secrète très mystérieuse.
Toutes ces personnes aussi étranges qu'impénétrables, lui confieront à chaque rencontre, des secrets. Des indices énigmatiques qui permettront à l'apothicaire doté d'un bel esprit d'analyse, de continuer sa quête de Paris, à Etampes et à Bayonne.

C'est dans cette dernière ville de Bayonne que Andréas et Robin rencontreront Aalis, une jeune fille décidée et têtue qui a laissé derrière elle sa ville de Béziers et un passé très douteux et trouble.
Elle fera le restant de la longue route avec eux jusqu'à Saint-Jacques-de-Compostelle et plus loin encore jusqu'au mont Sinaï.
*

La quête de ce nouveau Graal devait être d'une importance cosmique, pour que de très hauts et puissants dignitaires puissent poursuivre avec hargne et assiduité nos trois enquêteurs.
On y retrouve l'abominable et sanguinaire Guillaume Humbert, Grand Inquisiteur de France.
On y rencontre aussi Charles de Valois en personne, frère du roi Philippe IV le bel, qui semble avoir emboiter le pas au Grand Inquisiteur.
Mais Charles de Valois ne veut pas seulement stopper la course et la mort de Andréas Saint-Loup, il a des comptes personnels à régler avec son ennemi juré, Enguerrand de Marigny, grand conseiller de Philippe le Bel et coadjuteur du Royaume.

Mais les plus inquiétants poursuivants de Andréas, Robin et Aalis, sont les Mal'ach, deux féroces et terrifiants cavaliers blonds vêtus de noir. Ces deux cavaliers, qui semblent venus des enfers et dont personne en ce bas monde ne connait leur identité, les suivront à la trace jusqu'au monastère de Sainte-Catherine du Sinaï.
*

Une petite réflexion cependant qui ne changera rien à ma note.
J'ai trouvé le dernier chapitre du roman plus condensé et plus hâtif dans le dénouement de l'histoire et la quête de Andréas Saint-Loup.

L'auteur Henri Loevenbruck aurait pu aisément faire un deuxième tome en développant ce dernier chapitre, sur ce très long voyage en Egypte. En l'étayant, en le brodant d'autres personnages et d'autres faits historiques et en y ajoutant quelques mystères de plus.
Ce qui aurait aussi permis de ne pas précipiter certaines morts et aussi d'expliquer l'identité de quelques personnes, qui ne furent pas révélées à la fin de ce superbe roman.
*


« Avec aussy moult remerciements a Gente Dame, Rhapsodie. Je ne me soy point langui de cette fort belle narration »
(Sieur Alain)
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Andreas Saint Loup est un apothicaire renommé à Paris. Sceptique, anticonformiste, farouchement indépendant du pouvoir en place. Un jour de janvier 1313, il se trouve confronté à un mystère: tôt le matin, il découvre dans sa demeure une pièce dont il ne connaissait pas l'existence et dans la journée, il tombe sur un tableau qui le représente en compagnie de quelqu'un... sauf que ce quelqu'un semble avoir disparu de la toile. Toujours préoccupé par ces étrangetés, le voilà obligé de s'enfuir avec son apprenti pour échapper aux troupes de Philippe le Bel et au Grand Inquisiteur qui l'accusent d'hérésie. Dans sa cavale, il rencontrera Aalis, une jeune fille qui a quitté Bézier dans l'urgence également. Ensemble, le trio nous emmènera jusqu'au Mont Sinaï.

Philippe Loevenbruck signe ici un roman historique vraiment agréable à lire, même par les éventuels allergiques à l'histoire. Entre le roman d'aventure et le thriller ésotérique, cette brique nous permettra de suivre le chemin de Saint Jacques de Compostelle et de poursuivre la route jusqu'en Egypte. Grande fresque du moyen âge de l'inquisition, l'Apothicaire nous permet d'accompagner des personnages vraiment sympathiques, un peu hors normes, un peu rebelles. Outre le trio principal, nous croiserons la route de quelques prostituées au langage fleuri, foncièrement drôles.
L'intrigue en elle-même est intéressante, ménageant du suspens grâce à la couche "aventure" du récit et est teintée de fantastique. J'avoue ne pas avoir vu venir la fin jusqu'au dernier moment. Jubilatoire !

J'ai opté pour la version audio et la prestation de Jean-Christophe Lebert est vraiment remarquable. Il est indéniable que celle-ci a encouragé l'immersion dans cette Europe moyen-âgeuse et a renforcé la saveur de certains dialogues grâce au jeu de voix du lecteur.

Décidément, Henri Loevenbruck est vraiment un auteur intéressant !
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J'adore ce genre de bouquin mêlant érudition et histoire. Les aventures s'enchaînent et notre curiosité est piquée. Mais qui était le mystérieux personnage accompagnant l'apothicaire ?
On file sur les chemins du pèlerinage de Compostelle suivis par une horde de gros méchants. C'est plaisant et le personnage principal est très attachant. Il a un côté cynique et drôle que j'ai beaucoup apprécié.
Je dois cependant reconnaître que ce livre a quelques longueurs qui auraient pu être évitées. Malgré tout, un très bon moment de lecture.
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Trop fort, M. Loevenbruck, trop fort. Ce sont mes mots à la fin de ma lecture et j'éclate de rire.
J'attends d'un romancier qu'il me raconte une histoire, m'élève l'esprit, me fasse voyager, rêver et m'instruise. En cela l'apothicaire est une totale réussite. J'ai pris beaucoup de plaisir pendant cette lecture, jouissance du mot bien choisi, extase devant l'érudition. J'aime beaucoup que l'auteur me donne ses opinions sur moult sujets au travers des aventures de nos trois amis. Et puis il y a tellement d'humour. Bon il est vrai à un moment donné je me suis un peu ennuyée car la trame était trop identique. Ils partaient d'un endroit, repartaient vers un autre après une péripétie etc. Je n'aime pas non plus que l'on m'interpelle pendant ma lecture mais c'était fait avec beaucoup d'humour alors je pardonne, je pardonne.
Ce roman est un hommage aux livres, à la connaissance et à la science contre toute pensée religieuse. C'est une belle réussite.
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