Grosse déception que ce tome où l'intrigue est paresseuse : Carlo est un légume suite aux événement du tome précédent, alors un pirate, surgit d'on ne sait propose à Nao et Rabah une mission pourrie en échange d'une opération faite par un savant fou radié de partout. Rabah a cassé son vaisseau, il en a donc commandé un tout neuf sans avoir le moindre argent pour le payer. Mais le fameux pirate est d'accord pour le payer toujours pour faire la fameuse mission pourrie...
Tout se résout facilement, même la mission (pourrie je le rappelle) rapporte finalement suite à une entourloupe de dernière minute (la mission étant de libérer des otages, bien dociles, en échange d'or).
Bref Nao se laisse entrainer par Rabah sans rien dire, si ce n'est gifler son fils qui s'oppose au fait que son père a cédé une partie des terres de la planète, alors qu'il a lutté contre cela dans les précédents tomes...
Trop de contradictions et de facilités scénaristiques. Dommage car le personnage de Nao reste intéressant.
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Après un tome 17 qui concluait parfaitement le récit précédent, on retrouve Nao et ses amis (enfin son ami) dans une aventure… et bien très décevante.
Nao et Rabah vont s'allier à un pirate pour guérir leur ami Carlo de son amnésie et sa paralysie - c'est une noble quête mais le récit tourne court. Une histoire bien plate où Nao va giflé son fils (scène étonnante et bien inutile), où Rabah va obtenir son nouveau vaisseau de manière trop facile, où les pirates vont obtenir une île sur Aquablue très facilement… en fait, tout est trop facile dans cet album, aucun suspense, aucune intrigue et une conclusion aussi plate que possible.
Bref, ce dix huitième album des aventures de Nao est très décevant et n'apporte rien à la série. Je trouve même le dessin très fade et loin de la qualité des albums précédents. Une déception de long en long.
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Par Odin, ça sent l’embouteillage monstre à l’entrée du Walhalla des cafards !