Le tome 1 installait les personnages, ce tome boucle l'histoire avec brio. On ne déflorera l'astuce qui permet de lier les tomes, c'est très bien pensé. Mais ce tome est centré sur la situation au Rwanda en 1994. Hutus contre Tutsi. L'impuissance de l'Onu et de puissances occidentales. La folie meurtrière et ses raisons historiques. le scénario est habile et le fait de découper l'action sur deux fronts qui se rejoignent donne du rythme au récit. le meilleur tome de cette série.
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Finalement, ce n'est pas le grand final que j'attendais.
J'aurais aimé un peu plus de détail sur le chapitre manquant du tome 1 qui est à peine évoqué.
C'est un bon prétexte pour parler du Rwanda, et des massacres de 1994. Je crois que c'est la première fois que je lis une BD qui en parle.... il y a pourtant tant de chose à dire.
Mais voilà.
Série finie : je n'en garderai pas un souvenir particulier, si ce n'est le plaisir de la lecture
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J'ai bien aimé le concept de cette série, les époques et événements qu'elle présente, mais j'ai été un peu déçue par la conclusion qui va un peu vite à mon goût...
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Une vision romanesque qui apporte une belle cohérence à un projet éditorial original dont la lecture procure plaisir et émotion.
Lire la critique sur le site : ActuaBD
Les auteurs ont su garder une certaine ligne cohérente que ce soit au niveau du rythme, de la narration et du dessin. Pas une fois, je ne m'y suis ennuyé à lire les aventures des membres de la famille Brossard.
Lire la critique sur le site : Sceneario
Dans le 172e épisode du podcast Le bulleur, on vous présente Barcelona, âme noire, que l’on doit au scénario conjoint de Denis Lapière et Gani Jakupi ainsi qu’au dessin de Ruben Pellejero, Martín Pardo et Emmanuel Torrents et qui est édité chez Dupuis sous le label Aire libre. Cette semaine aussi, on revient sur l’actualité de la bande dessinée et des sorties avec :
- La sortie du premier tome sur deux de Sans Francisco 1906 un album baptisé Les trois Judith que l’on doit au scénario de Damien Marie, au dessin de Fabrice Meddour et c’est à retrouver aux éditions Grand angle
- La sortie de l’album Sang neuf que l’on doit à Jean-Christophe Chauzy et aux éditions Casterman
- La sortie de l’album Carcajou que l’on doit au scénario d’ElDiablo, au dessin de Djilian Deroche et c’est édité chez Sarbacane
- La sortie de l’album Vivre libre ou mourir que l’on doit au scénario d’Arnaud Le Gouëfflec, au dessin de Nicolas Moog et c’est publié chez Glénat dans la collection 1000 feuilles
- La sortie de l’album Oh, Lenny que l’on doit à Aurélien Maury et aux éditions Tanibis
- La réédition en intégrale du diptyque Le convoi que l’on doit à Denis Lapière au scénario, Emmanuel Torrents au dessin et c’est publié chez Dupuis dans la collection Aire libre.
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