Sarapis… Rien que le nom me fait déjà pouffer de rire… C'est comme avec le mot enrichi…
Cet album d'Alix est une version, en moins drôle, du "Fils d'Astérix" puisqu'il est question de l'enlèvement de Césarion (Ptolémée XV), le fils de Cléopâtre et de Jules César.
Enfin, vous savez ce que l'on dit "Maman sûrement, papa peut-être", mais nous ne sommes pas ici pour discuter de la paternité, ou pas, du César.
La série Alix, je l'ai apprécié lorsque j'étais plus jeune, je possédais (et possède encore) 19 tomes, dans l'ordre, et je les relisais avec plaisir.
Ce qui me plaisait, c'était le côté historique, les dessins en ligne claire et les personnages d'Alix et de Enak. Puis, avec l'âge, je me suis détournée de la série, trouvant le personnage d'Alix un peu trop lisse.
Comme avec les aventures de Marc Dacier, c'était dimanche, après un repas en famille, la chaleur, l'impossibilité d'aller promener le chien sous peine de fondre avec la pauvre bête poilue, donc, j'ai pioché dans les Alix, puisqu'ils se trouvaient à portée de ma main.
Une fois de plus, Alix est l'homme de la situation, il est envoyé en Égypte pour tenter de retrouver le petit Césarion, tout en se faisant mettre des bâtons dans les roues par les complices de l'enlèvement, afin que lui et Enak n'arrivent jamais près de Cléopâtre.
On a de l'action, des complots, du suspense et quelques surprises dans la résolution de cet enlèvement qui n'est pas tout à fait comme je le supposais au départ.
Cela ne va pas me faire renouer avec les aventures d'Alix, mais au moins, j'ai passé un bon moment de lecture, trouvant cet album mieux que le suivant (La dernière conquête).
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Un épisode de qualité à l'intrigue soutenue qui permet de conserver un intérêt constant à la saga, pratiquement trois ans après la disparition du grand maître regretté Jacques Martin.
Lire la critique sur le site : Sceneario
N'empêche que l'on ne sait jamais...
Alix 42 Alix Senator 14