Le projet de domination de la nature, dont la robotique n'est que la continuation est devenu dément. En donnant des droits à sa création, l'homme se pose comme un dieu. Mais établir des droits pour les robots, c'est leur conférer une dignité égale à la nôtre et c'est se placer à coup sûr dans l'impossibilité morale de pouvoir agir un jour contre ces mêmes robots