Ce deuxième tome m'a davantage plu que le premier. Certainement car nous avons des réponses, des révélations bouleversantes, nous comprenons mieux certaines choses, même si tout ce côté onirique me dépasse un petit peu... Et n'est pas sans me faire penser à certains mangas - je ne saurais expliquer pourquoi - qui mélangent le réel à l'imaginaire ''rêvé'' (par exemple avec la duologie « Underwater - le village immergé »).
L'histoire prends donc légèrement plus de consistance, ce qui est un très bon point. D'où l'importance de donner sa chance à une série graphique avec le deuxième tome - au moins - car si je ne l'avais pas fait, je me serais sans doute arrêté au précédent...
Petit plus : j'ai beaucoup aimé le personnage de Charlie ici, une personne compréhensive, à l'écoute et qui prends la défense de notre jeune fille ''dans la lune''.
Pour conclure : un récit qui se révèle touchant et dont l'onirisme et la poésie semble avoir une ''explication'', bien que, Olive et son monde intérieur n'arrive pas à me convaincre à 100% : cette histoire avec l'astronaute par exemple, j'ai du mal, ce n'est pas assez clair pour moi. J'espère maintenant trouver la suite à la médiathèque : plus que deux tomes avant de terminer cette courte saga. :-)
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Je n'avais pas trop apprécié le premier tome que je trouvais vraiment bizarre dans son traitement. Il faut dire que l'héroïne Olive est vraiment à l'Ouest dans un monde imaginaire. Pour autant, c'est une élève qui doit passer son bac dans la vie réelle. Il y a une dualité parfois déconcertante.
J'ai décidé de laisser une chance à ce titre qui nous entraîne loin d'une zone de confort dans un voyage initiatique assez particulier autour d'un mystérieux accident d'avion et de la disparition d'un astronaute.
Ce second tome va nous apporter quelques réponses crédibles notamment sur les véritables origines de notre héroïne ce qui pourra bien expliquer des choses sur le comportement d'Olive sur fond de drame familial. J'avoue que cela a pu relever mon appréciation sur l'oeuvre car jusqu'ici, j'étais vraiment perdu dans toutes ces excentricités.
Nous sommes à mi-parcours et le cosmonaute n'a toujours pas été retrouvé. Il faudra voir comment les auteurs peuvent encore nous étonner. Il faut poursuivre le voyage.
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Deuxième tome d'une série de bandes dessinées en quatre tome, cet album est vraiment intriguant et nous plonge de plus en plus au coeur de la vie mi rêve mi réalité d'Olive l'héroïne. L'intrigue se révèle petit à petit, j'ai adoré et je recommande cette série !
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Ah bah c'est vachement mieux ! Je crois qu'avoir surtout une raison logique à ce monde onirique m'a beaucoup aidé à mieux apprécier la BD dont les graphismes sont chouettes et très agréables. Olive, complètement perchée dans son monde, revient de plus en plus à la réalité grâce à sa coloc' déterminée. Ce 2nd volume lance le réel attrait car je m'étais laissée influencer par une Booktubeuse/stagrameuse et j'étais partie pour me dire qu'on n'avait pas les mêmes goûts cette fois-ci...
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Olive revient dans la suite de sa quête, avec un second tome qui dévoile bien l'intrigue et rassurera les lecteurs circonspects à la fin du précédent. Le tout, avec des dessins et des couleurs toujours aussi sublimes.
Lire la critique sur le site : ActuaBD
Il n'y a pas à dire, ce second album démontre que plus que jamais cette jeune série est déjà en passe de devenir un immanquable ! Très recommandé !
Lire la critique sur le site : Sceneario
Ceci est l’œuvre de mon inconscient et la preuve que mon inconscient existe.
- Un astronaute sur notre lune bleue, quoi de plus prévisible !
- Coin coin.
Dans le 170e épisode du podcast Le bulleur, on vous présente le parcours de Missak Manouchian, récemment entré au Panthéon, à travers deux bandes dessinées sorties récemment chez Les Arènes BD et Dupuis. Cette semaine aussi, on revient sur l’actualité de la bande dessinée et des sorties avec :
- La sortie de l’album Copenhague que l’on doit au duo Anne-Caroline Pandolfo et Terkel Rijsberg, publié aux éditions Dargaud
- La sortie de l’album Le champ des possibles que l’on doit au scénario de Véro Cazot, au dessin d’Anaïs Bernabé et c’est édité chez Dupuis
- La sortie de l’album L’homme miroir que l’on doit à Simon Lamouret et aux éditions Sarbacane
- La sortie de l’album The Velvet underground, dans l’effervescence de la Warhol factory que l’on doit à Koren Shadmi et aux éditions La boite à bulles
- La sortie de l’album Sept vies à vivre que l’on doit à Charles Masson et aux éditions Delcourt dans la collection Mirages
- La réédition de l’album Mauvaises herbes que l’on doit à Keum Suk Gendry-Kim et aux éditions Futuropolis
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