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EAN : 9782819503156
366 pages
Les Nouveaux Auteurs (04/04/2013)
3/5   3 notes
Résumé :
Un flic à la fois intègre et hors la loi...Un double jeu des plus dangereux !Le commisaire Maxime Hobart, mis au placard pour son zèle dans une affaire scabreuse, semble attendre la retraite, la mort dans l'âme. Tout va basculer, à la suite de la visite d'une jeune femme qui lui fait une requête des plus étranges... Foudroyé par cette beauté superlative, Hobard accédera à sa demande mlagré le désaccord de sa hiérarchie. Cette investigation le conduira, entre autres,... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (1) Ajouter une critique
Le commissaire Maxime Hobart a été mis au placard suite à excès de zèle mais tout bascule lorsqu'il reçoit la visite d'une jeune femme qui lui fait une étrange requête. Ses investigations vont le conduire jusque dans le milieu de la prostitution belge.
Entre enquête criminelle et quête d'identité, il croise la route de personnages aux intérêts dangereusement opposés. Simple, efficace et parfois simpliste, avec quelques échos des scandales les plus récents ayant eu lieu dans le plat pays, ce thriller nous entraine dans les méandres inattendus de la politique où l'on retrouve pèle mêle les services secrets français avec une incursion du Mossad. C'est très plaisant à lire, l'humour de l'auteur est bienvenu et l'histoire toute politique sous-jacente est bien vue.
Lien : https://collectifpolar.com/
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Citations et extraits (5) Ajouter une citation
Anton appuya sa main contre sa poitrine, désespérément, comme s’il voulait empêcher son cœur d’en sortir. À nouveau cette tachycardie qu’il redoutait à la moindre émotion se manifestait, plus violente qu’à l’accoutumée. Il s’allongea, torse nu, face contre le carrelage frais, guettant le martèlement désordonné de son cœur. Il en ressentait les pulsations affolées jusque dans sa gorge. De longues minutes passèrent avant qu’il ne perçoive plus qu’un battement régulier entre ses côtes. Il se redressa et regarda de nouveau l’enveloppe. Le cachet de la poste l’avait instantanément ramené vingt ans en arrière.
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Un mort, des doutes… Je n’étais pas paranoïaque mais Gaénnec m’avait tendu tant de pièges que l’idée d’un de ses traquenards m’a instantanément assailli. Tous mes sens se sont contractés, j’ai reculé dans mon fauteuil, comme pour m’éloigner d’un danger invisible. J’espérais que ce mouvement lui avait échappé et me repris aussitôt :
— « Confirmer les causes d’une mort », dans mon métier, on appelle ça une autopsie… Est-ce à cela que vous pensez ?
Elle mit plusieurs secondes avant de répondre :
— Autopsie… Peut-être. Oui. Quoique le terme me répugne un peu.
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Il revoyait Kupfer gravir la passerelle de ce vieux cargo en partance pour Haïfa. La veille de ce départ, ils avaient déambulé de bar en bar, inquiets, et arpenté les quais déserts du port d’Anvers. Aux premières lueurs de l’aube, Anton était resté sur sa décision : il ne suivrait pas Kupfer en Israël. Même si cela était le refuge le plus sûr, il valait mieux se séparer. Ils n’avaient plus rien à partager. Ils étaient l’un pour l’autre un miroir dans lequel subsistait le reflet des cauchemars qu’ils avaient traversés.
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La mémoire douloureuse, il tenta de se raccrocher à cette amnésie avec laquelle il vivait depuis longtemps. Il essaya de se raisonner. Après tout, se disait-il, qu’est-ce que cela change ? L’existence de Kupfer n’était que virtuelle, vingt ans de silence peuvent tenir lieu de mort. En vain. La mort de Kupfer agissait comme un antidote, effaçant lentement Anton Drajick, tandis qu’apparaissait, dans une brume, à peine esquissé, le visage de Maxime Hobart.
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— Vous avez dû entendre bien des aveux dans votre métier… Les miens relèveraient plutôt d’une confession sordide… Telle que vous me voyez, je ne suis que le résultat d’un tas d’argent sale, la fille d’une prostituée d’Ostende et d’un proxénète…
Ces mots m’avaient littéralement paralysé. K.-O. assis.
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